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Musicman

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Toute les publications en date du Musicman

  1. Chu ben d'accord avec toi. Je ne veux pas lancer un débat. Désolé de laisser croire ça. Chu trop petit pour les grosses cylindrées. Alors je ramasse tous les arguments possibles pour me convaince que chu pas handicapé. Voilà la vérité.
  2. Nic 1190, Effectivement, parce quej'ai pas assez de temps j'ai du prendre mon suv, histoire de ne pas perdre 4 jrs de route à 80 km . La vitesse sur l'asphalte est le seul inconvéniant de la TW200, avec le fait qu'il faut tuner le carburateur pour l'altitute (y'a pas de montagnes assez hautes dans l'est de l'Amérique du Nord anyways). Pour le reste elle bouffe tout. C'est difficile à imaginer si on en a jamais essayé une. Si le reste de la planette roule en petites cylindrées, c'est pas juste une question de prix. Je songe à augmenter le cylindré, en allant peut-être vers la Versys 300, histoire de rouler aisément à 120 km/hr toute la journée. J'aI roulé avec des GS 1200, GS 800, V Strom 1000, Ninja 1000, HD 1750 cc, HD V-Rod, BMW 1200 de route, Kawa Vulcan 1000. Je conclu qu'il n'y a aucun aventage à rouler en grosses cylindrées, à moins d'être deux sur la moto, ou bien vouloir partir très, très longtemps en autonomie totale avec une grosse tente et une cafetière 12 tasses ( honnêtement vous en connaissez beaucoup des gens qui font ça?). Selon un collègue ingénieur spécialisé en motorisation et usinage, au dèlà 650 cc (avec les moteurs d'aujourd'hui), on perd le " précieux équilibre" qui fait qu'une moto est une moto et non pas un autre véhicule. Ceci étant, chu comme tout l'monde, je salive lorsque je regarde les grosses GS 1200 full électroniques. Mais dans mon cas c'est émotif, c'est pas rationel.
  3. On est en Amerique du Nord. Tout l'monde ne jure que par les grosses cylindrées. Moi je me dis qu'y a des gens qui font le tour du monde en bicique à pédale. Image ce que tu peux faire avec 16 HP entre les jambes.
  4. Stayves, Pas besoin de réserver quoi que ce soit pour aller rouler sur Anticosti. Une fois sur place tu peux décider si tu veux camper commando ou si tu veux aller dans un camping ( il y en a un à Port Meunier et l'autre à l'épave du Wilcox). La majorité des motocyclistes et cyclistes que j'ai rencontrés sur l'île ont dormi où ils voulaient. Toutes les routes sont publiques, car le territoire appartient au gouvernement québécois. Là oů il y des restrictions c'est quand vient le temps de pêcher, de chasser et ou de prélever une ressource. Ainsi, si tu t'aventures sur le territoire d'une pourvoirie, ils ne peuvent pas t'empêcher d'y rouler, mais ils ont l'exclusivité pour la pêche, la chasse et la cueillette.
  5. Voici un p'tit résumé de mon vogage sur Anticosti.
  6. Wow! J'ai posé une tite question sur le coin d'une table pis et j'ai obtenu une réponse digne de celles qu'on donne à un sous-ministre. Un gros merci à ceux qui ont pris le temps de faire les recherches et de rédiger leurs réponses. Je considère ce dossier clos en ce qui me concerne.
  7. Merci firefight pour les infos. Vive les forums car on ne trouve pas tout sur Google.
  8. Salut, Qui sait si on peut passer les douanes à Saint Just de Bretenières? J'aimerais rejoindre le Baxter State Park en passant pas l'arrière pays. Merci
  9. Voici mon coup de coeur des dernières semaines: la chaîne Youtube de Wanderer. Une moto d'assaut, des montagnes, du timelapse, pis des séquences de drone. Chu comblé. Voici son dernier clip:
  10. Chez www.fortnine.ca ils vendent des bits JIS. 5$ pour un paquet de 2. J'aime bien l'idée car on peut choisir la bonne longueur du manche selon le besoin.
  11. Effectivement, si les japonais mettent des vis étoiles sur leurs carburateurs et autre pièce délicates, c'est bel et bien pour éviter de trop les serrer. Voici une photo de vis JIS. Tous mes moteurs japonais à carburateur ont des vis étoiles poinçonnées.
  12. Rectification. Sur mon Vessel japonais j'ai un étoile #2 et un Pz#2. La configuration est franchement différente. La tête Pz#2 ne fite pas du tout sur mes visses JIS #2. Sur la photo on ne voit que les têtes Pz#2 et Pz#3. Ça laisse penser que Pz c'est du JIS. Une image vaut mille mots
  13. En fouillant sur le web, j'ai appris que les visses étoiles des carburateurs japonais étaient faits selon la norme Japan Industry Standard ou "JIS". Ça explique pourquoi le bon vieux Philipps à la fâcheuse tendance à striper les têtes. Un reconnaît les visses JIS à leur petit poinçon sur la tête. J'ai fait quelques téléphones pour me trouver des tournevis JIS. J'ai eu l'air d'un extra-terrestre. Même un concessionnaire Yamaha ne savait même pas ce que c'était. Alors, je m'en suis fait venir un directement du Japon, rien de moins. 26$ livré à la porte avec Amazon. Je l'ai utilisé pour purger mon carburateur. Wow! Ça fite comme popa dans Moman.
  14. J'ai piqué la tune dans le fameux vidéo de Alex Chacon, le gars qui a fait l'Amérique en KLR650. Et oui, ça demande du temps. J'estime à environ 10 h passées devant mon ordi (parce que j'ai défini ma recette. Avant ça prenait plus de temps). Mais j'aime ça. Et le résultat est 100 fois plus puissant que des photos. En tous cas, moi ça me fait triper.
  15. Salut, Du 6 au 18 sept dernier chu allé solo aux USA. J'ai fait la Skyline Drive, le Blue Ridge Parkway, la Drgaon Tail, la Cherohala Skyway et d'autres. Bref, toute la patente. Chu passé par les Adirondacks (la 30) pour y aller. J'ai pris ensuite la 522 jusqu'au début de la Skyline Drive. J'ai passé 2 jours à rouler aux alentours de Robbinsville. J'ai campé seulement 3 fois. Pour le retour, j'ai roulé un peu au sud du BRP pour ensuite remonter vers le nord prendre la 81-aux-millions-de-camions. J'ai tordue la poignée jusque dans les Adirondacks. Pas de pépin, que du plaisir et de belles rencontres motivantes. Je veux continuer à rouler toute ma vie! Un vidéo vaut des milliers de mots. Ça va me faire un beau souvenir lorsque je serai au foyer avec la couche aux fesses. p.s. La p'tite ratonne s'appelle Twisty. Je l'ai sauvée. Elle a fait le chemin du retour avec moi.
  16. Merci, ça me rappel mon voyage de l'an dernier. J'arrive d'une ride de 13 jours et 5700 km sur le Skyline Drive et le Blue Ridge Parkway. C'est super beau, mais le tour la Gaspésie ça laisse pas se place. Différent, mais aussi tripant. J'ai vendu l'idée à deux argentins, un soir de resto avec une table de motards pleine de cartes routières.
  17. Wow! Quel chance d'avoir le temps, la motivation et la compagne pour faire un tel voyage (on fait sa chance n'est ce pas?). Ça fait rêver. Ça donne des idées, des possibilités. Et merci d'avoir pris les heures nécessaires pour monter ton RR. C'est long à faire.
  18. Ouai! Et je relance les dés avec une citation de Paul Nizan. Je l'ai sur mon bureau. C'est souvent l'amorce de réflexions sur l'impact que nous avons sur notre futur. "Les événements ne viennent pas à domicile, les événements ne sont pas un service public comme le gaz et l’eau. Mais il y a des routes, des ports, des gares, d’autres pays que le chenil quotidien : il suffit un jour de ne pas descendre à sa station de métro."
  19. Tartiflette, de quelle chanson il s'agit?
  20. Mercredi pm. Au bureau. Je décide d'aller rider dans la ZEC Rivière Blanche, 90 km au nord de Québec. J'informe mon patron que je prends congé. Il est jaloux. Jeudi matin tôt. J'emprunte la 138 vers Neuville. Je monte ensuite au nord vers Rivière-à-Pierre. Y'a personne. La route m'appartient. Un plein d'essence à St-Raymond. Environ 3$. Avec les 8 litres dans le réservoir je ferai 237 km de chemins forestiers. J'ai aussi un bidon de 5L, au cas où l'aventure m’appellerait davantage. 10:00. J'arrive à l'entrée de la ZEC. Je paye 47$ pour deux droits de passage, deux nuits et une carte. Après le placotage d'usage avec la préposée, j'enfourche mes 16 chevaux direction nord sur la 2 et ensuite la 29. Dans les premières courbes, je fais un dérapage non sollicité. Pas de casse. Mes pneus sont trop durs et je roule trop vite. 15 psi et 50 km/hr devraient faire l'affaire. Je suis seul. C'est pas l'temps de me casser un poignet ou une clavicule. C'est pas parce que j'ai une balise de détresse que je suis en totale sécurité. Je dépasse en toute simplicité une grosse GS. J'espionne le pilote dans mon rétroviseur. Je stoppe un peu partout, sans trop m'attarder. Je ne veux pas arriver trop tard au camping du Lac Batiscan. Je prends le chemin secondaire qui descente jusqu'au camping. C'est plaisant. Les courbes sont en terre battue, ou presque. 65 km/hr. En arrivant au camping je débute sans tarder ma mission: trouver le vieux chemin qui longe le lac vers le sud-est et qui devrait aboutir sur la #7 qui traverse la Zec Batiscan Nielson. Déception. Il est bien là, mais la forêt a repris sa place, sans demander la permission. Après une inspection méthodique du camping, je ne trouve pas d'arbre pour tendre mon hamac. C'est ironique, chu en pleine forêt. J'installe donc tout mon attirail sous l'abri commun. C'est confo. Je siffle une Boréal IPA refroidie dans de l'eau de source. C'est bien meilleur avec de l'eau de source, tout l'monde sait ça. J'ai faim. J'allume mon Trangia. J'ai une recette hyper facile qui ne salit pas les chaudrons: de l'eau et un sac de ramen. Une poche de purée de fruits comme dessert. Chu un gars simple. J'ai encore faim. Pour éloigner d'éventuels oursons, ainsi que leurs mères, j'allume un feu. Je relaxe sur ma chaise pliante. Je pense à mes vieux pêchés, ainsi qu'à ceux que je n'ai pas faits. Je scrute la carte de la Zec. Y'a du choix. C'est l'heure de faire dodo. Je ne distingue plus les couleurs. Je rentre dans mon hamac. Me semble qu'il fait anormalement froid. J'enfile mon duvet. Quelques heures plus tard je me retrouve devant le feu. Je le recharge avec quelques rondins de résineux. Chaleur. Je reste devant, debout, sans bouger, comme mystifié. La nuit sera longue. J'apprendrai plus tard que le mercure est tombé à -2C. Le soleil commence à toucher l'abri. Je sors misérablement de ma torpeur. J'enfile mon anorka cadpat et je tourne le dos au soleil. Je deviens un panneau solaire vivant qui apprécie chaque petit watt capté. J'ai hâte d'ouvrir ma canne de beans. Mais avant, faut exécuter le protocole prévu par la convention de Genève: le café. Tout mon stock est rangé. Mon bike est gréé. C'est un départ. Je remonte la pente et emprunte le premier sentier secondaire sur ma gauche. Ça monte encore. Sentier abrupt lavé par la pluie. Un pierrier. Je passe en 1ère, je me lève sur les pegs et je négocie. Satisfaction. Plus tard, une boule noire traverse le sentier en un éclair. Merde! Un ourson ! Je stoppe. Je joue du klaxon. Je rince le moteur. J’attends. Je ne bouge pas. Rien. Pas de grognement. Pas de boule noire plus grosse. Je rebrousse chemin. De toutes façons, j’avais plus envie d’aller par là. Je redescends vers le chemin principal. Je file vers le nord, destination Chute de la Rivière aux Éclairs. Je passe tout droit. Je fais un U-turn en dérapant, comme un gamin. Le sentier qui mène à la chute est étroit, rocailleux et se termine en cul-de-sac juste après une courbe. Je freine à temps (pas vraiment, j'ai passé proche de me casser la gueule). La chute est superbe. J'emprunte un chemin secondaire. C'est barré par une belle grosse épinette probablement tombée durant l'hiver. Je sors ma scie jack-knife Fiskar. Je l'ai toujours en forêt, été comme hiver. J'aime avoir de bons outils. Je continue encore plus vers le nord jusqu'à la fourche pour se rendre à La Tuque. Je zoom-out sur mon GPS. Chu à la même latitude que La Tuque. Je n’aurais jamais pensé être aussi haut dans l'arrière pays. Je vire de bord. Je file maintenant vers le sud. J'ai entendu parlé du camping du Lac Bellevue situé dans la Réserve de Portneuf. Je fais un tour du propriétaire. Je confirme, c'est super. Pas étonnant, c'est un parc provincial de la nation québécoise. Ça fera un super camp de base pour continuer mes explorations futures. Sur le chemin du retour, je jette un coup d'oeil un peu trop longtemps sur mon GPS et...BANG! Je fonce tête baissée dans un trou plus large que ma roue avant. Mais j'ai un char d'assaut, y'a pas de casse. Avec ma GSX ça ce serait très mal terminé. Plus tard, je prends une pause. Forte odeur d'essence. Mon bidon de 5L est fondu sur le silencieux. Ça dégoute. Je transvide ce qui reste. J'ai appris un truc de plus: dès que ça cogne dure, on stoppe immédiatement et on fait une inspection. Je croise un gars avec sa V-Strom et une dame avec une grosse GS. Ajustement de pression dans les pneus. On fraternise un brin. Chu fatigué, j'oublie d'enlever mon casque. Quand j'y repense, c'est pas très poli. Ils arrivent de Montréal et couchent au camping Miguick. Je leur raconte que je me suis perdu au beau milieu du chemin, pendant quelques secondes, le temps que la poussière de deux pickups retombe. Je me suis retrouvé dans une série d'ornières hautes et moles. La dame, qui elle non plus n'a pas enlevé son casque, ne bouge plus. Ça doit avoir un lien avec le fait que sa GS semble toute neuve. On se souhaite mutuellement bonne route. J'arrive à la maison y'est passé 20:O0. J'ai décidé de ne pas passer la deuxième nuit en forêt. Chu trop brûlé. Ma nuit à -2C m'a un peu trop taxé. Moi qui a fait plusieurs expéditions hivernales, dont les Mont Groulx à -45C sous la tente, je me questionne. Est-ce que je commence à devenir une moumoune? La réponse commence à être "oui, des fois". Le lendemain, j'ai un party pour le 50ième d'un ami. Il m'avoue qu'il commence à devenir moumoune, des fois. Je cale mon verre de scotch, rassuré.
  21. Ouin. Je comprends mieux pourquoi, quand des gens proposent des rides publiques, d'autres demandent quelles types de motos seront là.
  22. Merci Lonewolf d'avoir pris le temp de me répondre avec autant de détails, surtout à 4 hr du matin. C'est très apprécié. Je me doutais bien que ma question était pas aussi simple. Donc, ça veut dire qu'un gars avec une 200 peut très bien aller rouler avec des grosses cylindrées. Right? À part la vitesse sur l'asphalte (80 km/hr pour moi; j'aurais juste à partir avant), y'a pas vraiment de barrière. C'est l'attitude des pilotes et l'ambiance générale qui va faire que ça sera agréable pour tout l'monde. Right?
  23. Si je peux me permettre 2 petites questions. Chu curieux. J'ai jamais roulé en compagnie de gros cylindrés en sentier. Bref. 1) Vous roulez à quelle vitesse dans la gravelle lâche -billes? Le sable mouvant? Dans le petit pierrier (ruisseau) qu'on voit sur les trois photos pareils et très verdoyantes? 2) Ça veut dire quoi du "rough" avec une aventurière (Ténéré, GS, V Strom, etc.)? Si mes questions sont trop basiques, faites-moi signe. Je ferai mon éduction autrement
  24. Yo, J'ai profité d'un voyage d'affaire de ma blonde pour aller tester mon setup de sacoches (pleines de tout ce qu'il faut pour être autonome, incluant un peu de scotch) et mon nouveau hamac. Chu allé camper dans la ZEC Batiscan Neilson. J'ai roulé samedi le 18 juin avec mon chum Éric. Il est retourné sur Québec le soir même. Moi, j'ai passé la nuit au camping du Lac Neilson. Le lendemain chu monté au nord explorer le chemin qui mène au grand Lac Batiscan. Avoir eu plus de temps je serais sorti du bois en passant par la ZEC de la Blanche. Prochaine fois. J'ai aussi visité les autres sites de camping de la ZEC. Disons que c'est pas la qualité des parcs fédéraux. Le plus beau camping n'est pas dans la ZEC. C'est celui de Shannahan quelque kilo avant la barrière de l'entrée Saguenay. Conclusions: - mon set up de sacoches reste bien en place. Mon bidon de 5 L de gaz aussi. - installer mon hamac (Hennessy) est facile. C'est très confortable. Puisqu'on couche en dyagonale, on est presque à plat. - Éric, un ex gars de motocross, a tripé ben raide sur sa TW200. Avoir su, y s'en aurait acheté une bien avant. - se laver dans l'eau froide, ben c'est froid.
  25. J'ai ajouté des fentes dans l'autre sens de la planche de manière à attacher le sac dans les deux positions possibles. Ça me semble assez solide, ça bouge pas pentoute.
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