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Guillaume_MTL

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Toute les publications en date du Guillaume_MTL

  1. *VENDU* À vendre: 2 roues(19 pouces et 17 pouces) de KTM 690 Warp 9. Bonne condition. Pour rabaisser votre enduro R ou modifier votre supermotard. 500$ pour chaque roue P.s: la roue 17 vient avec le pneu Motoz Tractionator GPS si vous le voulez
  2. *vendu* Bonjour à tous, Je vend un Kit intake Rottweiler pour 701 avec le sac de storage. https://www.rottweilerperformance.com/rottweiler-intake-system-701-husky/ https://www.rottweilerperformance.com/690-701-enduro-internal-soft-bag/ Merci! Valeur: 500$ CAD Prix demandé: 250$ CAD
  3. *Vendu* Disc Guard Enduro Engineering pour Husqvarna FE/TE tous ceux avec calliper Magura. Neuf dans l'emballage 100$ https://www.gnarlyparts.ca/Enduro-Engineering-Rear-Disc...
  4. Je crois avoir entendu que le projet avait avorté. À ma grande déception
  5. Très bon vidéo. Je l'ai regardé au complet sans rien sauter (ce qui m'arrive très rarement)
  6. L'immatriculation est valide donc pas d'inspection a passer. Il suffit de passer à la SAAQ et faire la transaction comme si la moto était au Québec.
  7. Bonjour, Ceci est une annonce un peu différente. La moto qui est à vendre est situé en Europe. Plus précisément au Moto Camp dans la ville de Idilevo en Bulgarie. http://motosapiens.org/motocamp/Info Il s'agit de la moto d'un ami, Dominic, qui est décédé la semaine passé après un combat de deux ans contre le cancer. Sa moto est en Bulgarie car nous avons effectué un voyage de deux mois sur la Trans Euro Trail à l'automne dernier. Ce périple était son rêve, un rêve qu'il tenait à accomplir avant de partir pour son dernier voyage. La moto est une WR250R 2015 avec moins de 25000km. Elle a plusieurs modifications, dont un masque Britania Composite Lynx, une tank 3.1 gallon, un seat concept, des sacoches Kriega OS (ils ont un peu fondu, mais rien de grave), handguards, bash plate, GPS mount, elle est full equip pour l'aventure. Ceci dit, la moto a besoin de quelques réparations. Le muffler cover est fondu (il a perdu un spacer et ça collé au pot d'échappement, il faut en mettre un nouveau). Il faut aussi un nouveau chain guard. Si je me souviens bien il y a un problème avec la poignée du gaz, il faut la gosser un peu car elle colle sur le handguard. Bref, il s'agit de réparations mineures, mais tout de même importantes à régler avant de reprendre la route avec la moto. On s'entend que ceci est une vente tel quel, sans garantie. Pour ce qui est du prix, c'est une discussion. Comme vous comprenez il ne s'agit pas d'une transaction normale et j'avoue ne pas être certain comment procéder ici. Le but est d'aider la famille à liquider un bien situé à l'étranger. J'ai moi aussi un WR250R au même endroit et je prévois reprendre la route sur la Trans Euro Trail en septembre prochain (vers le nord). Alors si vous rêvez d'un tel périple et que la seule chose qui vous empêche c'est que vous ne voulez pas le faire tout seul, on peut discuter. Donc si ça vous intéresse ou si vous connaissez quelqu'un qui pourrait être intéressé, manifestez-vous. De même, si vous avez tout autre idée pouvant assister avec cette situation ou même juste si vous avez une idée sur le prix qui pourrait être demandé ce serait aussi apprécié. Merci de votre attention.
  8. Le manteau peut être acheté séparement? Combien de KM a-t-il dans le corps?
  9. Super nouvelle! Merci pour ton implication
  10. La seule journée qui requiert une bonne autonomie c'est le jour 1, j'pense que c'est quelque chose comme environ 250 km
  11. J'ai exactement le même tracé que toi. C'est une belle ride, mais il y a un peu d'asphalte au début et à la fin, rien de dramatique, mais en partant de Gatineau j'ai trouvé que ça faisait un peu trop. Sans parler du traffic qu'on a pogné en revenant le lundi après-midi, pas mal "anti-climatic" comme fin de parcours. Prochaine fois je vais essayer de trouver un point de départ plus proche.
  12. L'hiver ces't fait pour monter les vidéos filmés durant la dernière saison. Je partage avec vous ce petit vidéo de notre ride sur la Swisha Loop en mai 2018. *Attention language cru en début de vidéo* tsé entre boys dans l'bois... p.s: pour une raison que j'ignore je dois toujours sélectionner la meilleure résolution quand je playback de Youtube, cliquer sur le petit engrenage et sélectionner la plus haute résolution Enjoy!
  13. La Royal Enfield Himalayan dont tout le monde raconte du mal est la première version, le modèle BS3. Le modèle qu'on a ici depuis 2018 est le BS4 avec injection. Apparement que plusieurs des défauts de la première version ont été corrigé. Bref, ça reste à voir mais la Himalayan n'a pas encore dit son dernier mot et jusqu'à maintenant les reviews sont quand même positif (pour ce que ça vaut).
  14. Oui il y a plusieurs segments assez rough où est-ce qu'on se disait que ça prendrait vraiment un as de la conduite pour s'y aventurer en grosse cylindrée. Il y avait aussi trois quatre segments de jungle vraiment pas évident, probablement un cauchemar en 990.
  15. J'espère que vous allez écrire un ride report. J'ai toujours été curieux du genre de ride qu'on peut trouver en Gaspésie.
  16. Oups j'avais pas vu ta question. Je ne sais pas si ça ressemble au tracé du Raid Ridaventure, je sais juste que le tracé n'a pas été basé ou créé à partir du tracé du Raid Ridaventure. Une chose est sûr: c'est un excellent territoire pour faire un rally. Iil y a de la trail partout et pour de longues distances
  17. Merci Touche, j'ai mis les photos dans le texte (je voulais le faire mais savais pas comment). Ceci dit, je ne suis plus capable d'enlever celles à la fin du post.
  18. En fait le plan c'était 460 km. Les choses se sont comme juste pas passé comme prévu Ceci dit, en rétrospective on est tous les deux pas mal d'avis que même 460km en hors-route et en mode exploratoire c'est trop.
  19. Voici le petit récit d'une aventure de 1600 km sur quatre jour, sans camping. Mon ami JP m'a proposé de l'accompagner pour tester un tracé sous la forme d'un BDR, c'est-à-dire, une ride de plusieurs jours en hors-routes. Les montures: JP sur sa KTM 690 et moi-même sur ma WR250R, toutes deux chaussées pour les circonstances. Sa copine nous a déposé en pick-up au début de la Scotch. Vers 11:00 on amorçait le tracé. On se permettait un départ tardif car nous avions peu de kilométrage à faire cette journée-là et le tracé tient compte du fait que certain pourrait partir de la région Montréalaise. Après la Scotch on s'est arrêté mangé au petit resto au bout de la Scotch et on reparti vers Namur (presque 100% asphalte, si quelqu'un a des suggestions pour ajouter un peu de hors-route entre la Scotch et Namur on vous écoute). Après Namur le hors-route a commencé pour de vrai. On a ridé de jolies trails et chemins forestiers rapides dans le Papineau-Labelle, traversé une loooooongue section innondé et on a atteint Kiamika plutôt rapidement. Après un petit arrêt essence et crème glacé nous sommes reparti vers Maniwaki, encore une fois dans de jolies trails et chemins forestiers rapides. Vers 16h on a atteint notre motel pour la nuit, le motel des Draveurs à Maniwaki. Le lendemain nous embarquions vers ce qui devait être notre plus longue journée, de Maniwaki vers Val d'Or, avec un arrêt dîner au Pavillon La Verendry Lodge. La journée commença bien, les chemins forestier étaint rapides et variées. Nous devions tester une track que JP avait dessiné dans BseCamp à l'aide de Trak Map. Selon Track Map ça passait, mais il fallait tout de même tester. Nous sommes arrivé à la bifurcation vers le tracé à tester, un panneau indiquait un pont fermé à 1.8 km. Comme il est souvent le cas, le pont était parfaitement utilisable, du moins sur nos motos. La trail était beaucoup plus rocailleuse et techniques que les chemins forestier d'où nous arrivions, mais elle se faisait bien et nous allions bon train. Éventuellement nous avons atteint un pont délabré que nous avons du passer en marchant sur le côté de nos motos. Jusque-là tout va bien. Après ce pont, les choses se corsent, la trail n'est pas du tout entretenue et la végétation reprend son dû en empiétant sur la trail, de plus en plus. La cadence ralentit beaucoup, nos motos et nous-même sommes fouettés sans arrêt et l'herbe haute nous cache les roches et débris qui jonchent le chemin en envoyant aléatoirmeent nos motos dans tous les sens. On persévère et plus on s'enfonce, plus on se dit qu'il faut que ça débouche. On finit par arriver dans une petite clairière, il y a un pit pour faire un feu et une belle vue sur une rivière à large débit et... pas de pont, ça débouche pas et la rivière ne se traverse pas du tout, elle est profonde et le débit est fort. Ça fait une bonne heure qu'on roule sur ce tracé et la perspective de revenir sur nos pas teste notre courage. Nous avions vu une fourche un peu plus tôt qui allait sensiblement dans la même direction et qui semblait plus dégagée , nous y sommes retourné pour la prendre avec un espoir renouvellé. Rapidement cette trail s'est elle aussi rétréci et la végétation était dense. Nous sommes arrêté et je suis parti en reconnaissance à pied. Plus j'avançais, plus ça devenait acccidenté et plus je me disais que si ça débouchait on aurait tout un challenge à traverser tout ça. Éventuellement, j'ai viré de bord, la trail finissait plus de de monter et à s'enfoncer dans ce qui m'appraissait de plus en plus comme une jungle à la Darien Gap. Une décision s'imposait: il était temps de rebrousser chemin. Je crois que c'est le moment de spécifier que ma comparaison avec le Darien Gap tient aussi beaucoup au fait qu'il faisait chaud en calvaire et qu'il y avait ben de la bibittes au pouces carrés. Laissez-moi vous dire que l'entreprise était énergivore. Nous sommes finalement revenu sur nos pas, à cette même bifurcation après 2h à 2h30 de travail et une bonne partie de notre énergie pour la journée envolée. Mon niveau d'essence était bas, j'en avais probablement pas assez pour atteindre le Pavillon La Verendry Lodge, notre prochain lieu de ravitaillement. Ceci dit, nos GPS indiquait un point de ravitaillement tout près et sur notre chemin, le camp Bûche. C'était un endroit que je connaissais car le tracé reprenait à ce moment-là celui de la Swisha Loop, que j'ai fait deux fois. Je savais qu'il y avait de l'essence-là, de la trail on pouvait voir la grosse tanque d'essence, mais je n'y ai jamais vu âme qui vive. Nous sommes arrivé sur les lieux, il y avait quelques roulottes, des pick-ups, mais personnes en vue. J'ai cogné à une première roulotte, klaxoné un peu, rien. Au moment où je commençais à me questionner sur un plan B, un homme est sorti d'une roulotte, soulagement. On a remis un peu d'essence dans nos montures et nous sommes reparti de plus belle vers la Verendry Lodge. Nous sommes finalement arrivé et nous sommes débarqué de nos montures avec les mêmes râlements de courbatures et de soulagements qu'à la fin d'une longue journée éreintante, sauf qu'il nous restait beaucoup de chemin à faire encore. Nous avons rapidement mangé et rempli nos motos et avons rassemblé notre courage pour se diriger vers la deuxième portion de la journée. Le hic c'est qu'il était près de 15h et nous avions près de 300 km de tracé non testé à traverser pour se rendre à Val d'Or. Après un bon 50 km de route de gravel, nous avons atteint le début des trails vers Val d'Or. La trail s'est avérée étroite et rocailleuse, pas très roulante. Vers 16h on s'est arrêté et on à essayé d'être intelligent, à ce rythme-là on va arriver à Val d'Or vers 23h, mais surtout, on était fatigué et on commençait à sentir nos capacité réduirent. Lors de notre pasage sur les routes de gravel on avait vu un panneau qui disait Val d'Or 207 km, nous avions deviné que c'était le chemin le plus rapide et probablement le plus facile. On l'avait ignoré, déterminé à tester le tracé. Maintenant que nous savions que le tracé était du sentier étroit et pas roulant, cette option devenait un peu plus pertinente, même si ça voulait dire de faire près de 40 km de route de Gravel pour y revenir. Le choix s'imposait; poursuivre sur les sentiers n'était juste pas prudent. Nous avons rebroussé chemin et avons clanché jusqu'au panneau. De là nous avons poursuivi sur la gravel pour un autre bon 50 km et sommes abouti sur la 117 d'où environ 150 km de bitume nous séparait de Val d'Or. User nos beau knobbies sur du bitume sur 150 km nous brisait le coeur, mais on avait pas vraiment d'autre choix à ce moment-là. On a clanché, la route fût longue et profondément ennuyante, mais nous sommes parvenu à destination vers 19h30 - 20h00. Total de la journée: 600 km, dure journée, disons que jétais heureux de laisser ma monture. C'est fascinant ce qu'un bonne nuit de sommeil peut faire, car dès le lendemain j'étais prêt et gonflé à bloc pour repartir, destination Parent. Nous avons vite trouvé les chemins forestiers vers Lovicourt où nous devions remettre nos tanques à plein. Le tracé nous a mené sur quelques jolies trails roulantes. Très près de Lovicourt le tracé nous a mené dans une trail très bouetteuse et pas entretenue qui semblait mener nulle part. On a rebroussé chemin pour en trouver une un peu plus praticable, après la journée d'hier on voulait éviter de drainer toute notre énergie à s'extirper d'un Vietnam. On a essayé une couple de trail qui débouchait pas et on a fini par retourner sur le chemin forestier qui continuait jusqu'à Lovicourt, le tracé devra définitivement être nettoyé. Nous avons rempli nos tanque et aussi nos camel Pak car il faisait très chaud, donc impératif d'avoir nos trois litres d'eau bien plein. Après Lovicourt nous sommes embarqué sur la 70 trans-Québec et la 83, route de motoneige. Les deux semblent se joindre et se séparer à divers endroits. Les niveaux sont très variés, des fois c'est du chemin forestier large, des fois ça rétréci et c'est un peu plus rocailleux et valloneux, des fois ça devenait de la trail, de rapide a plus technique. On avait du fun noir et avalait facilement les kilomètres. Seule tache au tableau, en traversant plusieurs cours d'eau, l'eau avait fini par entrer par le haut de mes bottes imperméables et j'avais les pieds tout mouillés, ça faisait "squish squish" dans mes bottes, ça ça m'énerve. Nous sommes arrivé au Camp du Lac Faillon vers midi. On a rempli nos motos d'essence et nous sommes reparti vers Parent. Notre prochain arrêt devait être la pourvoirie le Balbuzard, à environ 82km, pour voir s'il y avait de l'essence là aussi, car cette ride en était une de reconnaissance après tout. Le tracé était encore ce mélange de 70 et de 83, de chemins forestiers rapides de une voie à deux voies, de trails rapides à moins rapide et une petite section de Vietnam, une trail pas du tout entretenue, pleine de surprise qui nous a fait redouter de revivre notre mésaventure du jour deux mais qui fût heureusement de courte durée. Nous sommes arrivé à Balbuzard pour prendre des informations, l'endroit est jolie et ils ont de l'essence, un autre bon endroit où s'arrêter. On a repris le tracé, vers Clova cette fois-ci. Nous avions accumulé beaucoup de kilomètres et nous avions pris très peu de moment de repos. L'énergie commençait à sérieusement baisser et j'avais beauoup d'eau dans mes bottes. De plus, à force d'avoir juste grignoter toute la journée, je commançais à avoir très faim. Nous avons donc traversé les 80 kilomètres restant sur le même genre de chemin et nous sommes arrivé à Clova pas mal au bout du rouleau et encore loin de Parent. Une vraie pause s'imposait. J'ai d'abord passé un bon quinze minutes à me dévêtir en partie sur le portillon du bar de Clova, un bar qui semble tout droit sorti d'un saloon, avec le train qui passe en avant. J'ai pu faire sécher mes pieds et mes bottes un peu et je suis allé m'acoter au bar avec JP pour refaire mes forces en buvant un Coke. Il nous restait plus d'une centaine de kilomètre de trail non testé jusqu'à Parent et il était 17h. Même si mes pieds étaient maintenant sèches et que le Coke m'avait regaillardi un peu, il se faisait tard et on avait déjà atteint notre quota pour la journée. Nous avons donc opté de prendre la route de gravel jsuqu'à Parent, un 94 kilomètres que nous avons avalé d'un coup. La leçon du jour était apprise, il est impératif de prendre de vrais pauses, de bien s'occuper du rider sinon la fatigue s'accumule et tu vaux plus rien en fin de journée. À notre arrivée à Parent on a gazé et on est parti à la recherche de notre petite auberge. On a trouvé l'auberge, mais pas l'aubergiste. Le petit gîte est dans la maison d'une personne qui semblait avoir oublié notre réservation. On s'est rabattu sur l'hotel central de Parent, un shack pour travailleur forestier, avec des chambres pas climatisé dans un trailer. Vraiment pas le gros luxe. Bouchée rapide et dodo tôt, mais pas facile de dormir dans une chambre dans laquelle tu étouffes de chaleur. J'ai fini par m'endormir. Le train qui passe à 5am et les travailleurs forestier qui se lève à la même heure on sonné le levé pour JP et moi. On avalé un déjeuner rapide et nous sommes embarqué sur le dernier segment de notre aventure, une autre grosse journée d'exploration, cette fois-ci vers La Tuque. Très vite le tracé nous a mené dans de superbe trails, roulante mais tout de même accidenté, du pur plaisir. Encore une fois un mélange de la Trans-québec et de la route de motoneige 83 nous ont mené sur toutes sortes de terrains. On a atteint Wemotaci, qui comme l'indique le nom est un village autochtone, après un segment large et rapide d'une vingtaine de kilomètre sur la Trans-québec. On a fait le plein et acheté quelques trucs à manger à l'épicerie du coin. Chose à mentionner: le décor est dans cette région plutôt répétitif, des fôret, des lacs et des rivières, un peu tous sous le même thème avec un peu de variation. Ça reste très beau, mais pas mal similaire jours après jours. Après Wemotaci, j'ai vu ma première petite montagne, et après un terrain un peu plsus valloneux, mais pas très différents des jours pécédent. La qualité des trails et le challenge ainsi que l'isolement dans la nature reste le plus bel attrait de ce tracé selon moi. Notre avant dernier segment devait nous mener à la pourvoirie relais 22 Milles, notre arrêt essence. La route était roulante pour la plupart du temps, offrant encore une fois des niveaux variés qui garde l'aventure intéressante. Parcours sans embûche jusqu'au relais 22 où nous avons fait le plein pour les montures et les riders (sandwich à la crème glacé pour moi). Pour la suite le tracé nous faisait alterner de la trail à une route de gravel large et roulante. J'avais mis une scertaine distance entre JP et moi afin de méviter un peu de poussière. Au retour dans la trail je suis arrivé à une monté dont je ne pouvais voir la descente de l'autre côté, j'ai fait ce que je fais toujours dans un tel cas, j'ai downshifté et me suis approché prudement du sommet lorsque j'apperçu JP immobilisé. J'ai su tout de suite que mon compagnon avait crashé. Rendu au sommet de la bute j'ai pu voir le piège qui avait engouffré JP: une grande crevasse occupait tout le côté droit de la trail tout de suite après le sommet, un piège presqu'impossible à éviter à moins de pouvoir faire un deadstop au sommet de la côte. La 690 était complétement engouffré dans la crevasse. JP s'y était engouffré et était passé par-dessus la moto qui s'est arrêté net dans le trou. En passant par-dessus ses poignés il s'était foulé le pouce droit. Impossible de continuer sur les trails, juste de tenir le gaz ouvert lui faisait mal. Heureusement nous étions proche de la route de gravel et nous avons pu foncer directement sur 80 km jusqu'à La Tuque. Nous sommes arrivé en ville et avons trouvé une terrasse pour boire quelques bières et manger. JP a mis son pouce sur la glace et nous avons attendu sa copine qui venait nous chercher avec le pick-up. En résumé, un quatre jours intense de ride hors-route, du gros fun noir. Ceci dit, on était tout les deux d'accord que passé 250-300 km de off-road, le plaisir commence à diminuer et la ride devient de plus en plus une corvée sans oublier que le corp commence à souffrir. Ça forge le caractère et c'est intense, mais je crois que ma préférence demeure de garder les rides un peu plus courte. Ça laisse plus de place pour les imprévus et ça donne l'occasion de s'arrêter un peu plus souvent et plus longtemps pour profiter du décor et se décourbaturer. Ce tracé est un "work in progress", si vous connaissez le coin et que vous avez des suggestions nous sommes preneur. Merci de votre attention
  20. Jespère bien vous croiser sur la route ou dans un évènement bientôt pour vous la payer cette bière Merci encore les gars
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