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gratts

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Toute les publications en date du gratts

  1. https://youtu.be/x1dxirHUorE ?sub_confirmation=1
  2. J'ai acheter des alpinestar toucan au début de l'été et je ne regrète pas mon choix. Elles sont super confortables et offrent une bonne protection.
  3. Super résumé qui me donne encore plus envie de faire cette route. Content d'entendre que c'est aussi facile, ca me donne confiance !
  4. Merci beaucoup pour le le plartage. Ca fait un bout que je veux faire SMD - Latuque. J'ai fait un itineraire sur google map il y a quelques semaines mais c'est toujours mieux avoir un vrais tracé. Ca l'air toujours plus facile sur google map !
  5. Je trouve le concept très intéressant, merci a tout ceux qui participe. J'ai hâte aux prochains !
  6. C'est noté, la prochaine fois je vais essayer de passer par là !
  7. C'est par un temps parfait que ma ride a débuté le mercredi matin 15 juillet, départ de la maison à 7h, direction Chemin Scotch, un bout de chemin dont j'avais entendu parler depuis fort longtemps et que j'avais bien hâte de faire. J'appréhendais la première montée qui apparemment pouvait présenté des difficultés mais finalement la section question semble avoir été travaillé afin de la rendre plus praticable et se monte très facilement, de niveau 1 je dirais. Les paysages tout au long du chemin sont très beaux. Quand j'étais en-train de prendre mon break j'ai vu passé un autre aventurier su un KTM 500 ou 350, peut-être un gars d'ici ? Un des plus beau spot du chemin pour arrêter prendre une pause ! J'ai fini la chemin assez rapidement, par la suite j'ai tourner a gauche sur le chemin Harrington et j'ai pris plusieurs petits chemin asphaltés que j'ai improviser pour me rendre a l'accueil Montpellier de la réserve Papineau-Labelle. Encore une fois les paysages sont superbes, c'est assez rare que j'ai la chance de rouler dans ce coin, ca fait changement et je me promet d'y aller plus souvent. J'ai donc pris la route 3 de Papineau Labelle, passé a l'accueil Mulet, jusqu'à un endroit ou la route est fermé a cause que le chemin est inondé, détour foncé par la route 32 que je fais jusqu'au bout, après j'ai pris la 4 ouest jusqu'à l'entrée du Sourd. Par la suite j'ai pris la 1 vers le nord, après la 38 jusqu'à l'entrée Louvigny. De la j'ai rejoint l'entrée Pie-IX afin de redescente le Parc les routes 5-3-6 jusqu'à l'entrée Marie-Le Franc, direction La Minerve. De la Minerve j'ai programmé mon super gps pour rejoindre la 117. Il me fait passer par des beaux petits chemins, de plus en plus petits puis surprise ca finit dans une trail de skidoo qui semble être faisable. Au début la trail est facile, ca roule bien mais tout-a-coup je me ramasse dans une montée de niveau 3. Je me suis engager dans la montés sans prendre le temps de réfléchir, impossible de faire demi-tour ! Ca monte comme dans la face d'un singe ! A un moment donné les roches sont de plus en plus grosses, la côte de plus en plus apique et je me rend bien conte que je ne la monterai pas, bref je poche la chienne ! Je grimpe encore un peu le temps de trouver une place pour virer de bord; aussitôt que j'ai lâcher le gas ca a arrêter la ! Ca tout pris toute ma force et mon poids pour pas que je tombe avec le bike. Une fois immobiliser la grosseur et la lourdeur du bike se font grandement sentir. Il faut que je recule un bout dans la côte pour pouvoir virer la machine de bord, pas évident dans les grosses roches. Ça pris plusieurs minutes mais en gardant mon calme j'ai réussit la manoeuvre sans droper le bike et surtout sans rester pris ! Merci mon Dieu ! Cette aventure m'a fait perdre une heure de temps mais au moins elle se termine sur une note positive. En passant sur la 117 j'ai décider de me faire la Parc Du Mont Tremblant tant qu'a y être ! Entré a La Diable et sortie a Caribou a 21h dans la noirceur. Dans le bout du Lac des sables j'ai croiser un gars en gs800. Une autre belle journée qui se termine, j'ai déjà hâte a la prochaine. J'aurais aimer vous mettre plus de photos mais ça ne fonctionne pas j'ai dépassé la limite !
  8. Merci beaucoup Olivier ! Je met ça sur ma liste de ride pour cet été. Très apprécier.
  9. C'est quel niveau de ride, Est-ce que ça se fait seul avec un gros bike (ktm1290) ?
  10. Cool, je te reviens avec ca !
  11. Salut Lanidrac ! Je suis parti le 19 September. C'est très tard pour faire une ride dans le nord comme ca mais c'est les seules dates disponible ou je pouvais prendre des vacances. J'ai été chaiceux, il a fait chaud, jusqu'a 21 C en après-midi. Le matin c'étais froid mais ca se réchauffait vite. Rien pour m'incomoder. Pour la trans-labrador l'année prochaine je vais pouvoir prendre en vacance la derniere de aout et la premiere de septembre. Si t'es partant fais moi signe !
  12. Moi aussi un jour j'aimerais la faire jusqu'à Radisson, peut être même la transtaiga.
  13. Après avoir beaucoup hésiter ces dernières semaines et changer d’idée à peu près tous les jours, parfois même 2 plusieurs fois par jour ! Je décide finalement d’opter pour la Route du Nord pour faire mon road-trip. Après tout, la météo ne semble pas si pire pour faire le voyage. Jour 1 : Mascouche – Matagamie Je quitte maison, femme et enfant de bonne heure, à 7h du matin pour une grosse journée plate sur la 117, environ 800 km à faire. À peine rendu à 2 coins de rue de la maison je me rends compte que le u-bolt qui tient la ram-month de mon gps est desserré. Ça commence bien ! Déjà un arrêt forcé ! Je fais rapidement la réparation, fait le plein et finalement c’est un départ dans le trafic du matin. 640, 15, 117 là ça commence à être plus beau, je roule comme un porc à bonne vitesse, dépasse tout le monde, au diable les pneus, de toute façon ils vont être fini après le voyage. Premier arrêt à Mont-Laurier juste le temps de faire le plein, après c’est reparti direction Val-d’Or ou j’arrête au Maxi pour acheter quelques provisions pour le diner. Les routes sont désertes et c’est la première fois que je passe là ce qui rend le trajet intéressant même si je suis sur des grosse routes d’asphalte, presque pas de trafic, c’est le bonheur total ! J’arrive à Matagamie de bonne heure, environ à 16h et je me rends compte que la ville est plus petite que je ne l’imaginais. Je me trouve une belle place pour coucher qui s’appelle le Gite de la belle rivière, vraiment une super place, pas cher en plus. Même si j’ai avec moi tout mon équipement de camping j’aime mieux coucher à l’intérieure car il vente super fort et il va pleuvoir durant la nuit. Pourquoi se donner de la misère ? Je déteste défaire la tente dans la pluie… Jour 2 : Matagamie – Némiscau Pour rallier Némiscau j’ai 400 km à faire ce qui correspond exactement à l’autonomie de mon bike dans des conditions optimales. C’est pourquoi j’emporte avec moi un 11 L d’essence supplémentaire pour avoir une marge de sécurité. Au gaz je parle avec un vieux gars de bois qui est intéressé par mon bike, il me rassure en me confirmant qu’il y a bien de l’essence à Némiscau et au Camp Némaska d’Hydro-Québec, ce que je savais déjà; il me dit qu’il y a quand même du monde qui passent sur la route du Nord et que personne ne va me laisser mal-pris la (bonne nouvelle !). Mais le gars pour conclure nôtre courte conversation me lance : « tu vas voir des monstres (camions planétaire), des pick-up tout défaits qui roule juste sur un bearing, tu vas tout voir… » c’est une aventure que je lui répond ! Le gars me rétorque : « t’en veux une aventure mon homme ben tu vas en avoir toute une ! Tu vas faire ça une fois après tu ne le referas plus jamais ! ». J’entame donc la route de la Baie-James un peu perplexe suite à notre conversation, une route que je veux voir depuis longtemps. Le temps gris fait place au beau ciel bleu. Je me sens comme si j’étais à l’autre bout du monde ! Presque personne sur la route, les conducteurs des rares véhicules que je croise m’envoie tous la main. Dans une région aussi isolée on est toujours content de croiser d’autres êtres humains. En même temps on comprend très vite qu’on moindre pépins on va être seul pour s’arranger avec nos troubles. La prudence est de mise. Je passe en mode économie de carburant, cruise-control à 100 km/h. Question de pimenter la journée je me fixe comme objectif de rallier Némiscau sans utiliser mon 11L d’essence supplémentaire. Les paysages sont superbes, mis à part la route, partout où on regarde c’est vierge ! C’est presque une expérience spirituelle ! J’arrive au km 274, le début de la Route du Nord, que j’entame très prudemment (je pense encore à mon vieux gars de bois !). Après quelques kilomètres la nervosité disparait et je prends mon rythme, le chemin est facile mais les beaux paysages peuvent devenir un piège car ils ont tendance à nous faire quitter la route des yeux. À certains endroits il y a des « sablières » avec des traces de semi-remorque dans le sable mou, ça fait partir le bike dans tous les sens ! Je roule à 70-80 max, toujours en mode économie. Je finie par arriver à ma destination sur la réserve de carburant, avec seulement 40 km d’autonomie. J’ai jamais descendu mon réservoir aussi bas. Au poste d’essences je mets 19,4 litres d’essence sur 21 litres d’espace dans le réservoir. Dans la réserve j’ai 2 options pour coucher : l’hôtel qui en fait est se résume à quelques chambres dans un gros bâtiment de la nation Crie. Je me rends sur les lieux et j’ai la chienne parce que le bike va demeurer toute la nuit sans surveillance et super loin de ma chambre en plus. J’opte donc pour le « lodge » à l’entrée de la réserve ou je peux laisser la moto juste devant ma fenêtre. La chambre est assez de base, salle de bain et mini cuisine commune, à peu près comme ce à quoi je m’attendais. Il y a aussi une épicerie dans le village ou j’ai pu acheter de quoi pour me faire un petit souper. Jour 3 : Némisco – Chibougameau – Alma Après une assez mauvaise nuit de sommeil passé en compagnie de voisins de chambre actifs jusqu’aux petites heures du matin je me lève à 6 :30 avec une seule idée en tête : reprendre la belle Route du Nord ou je l’avais laissé. Je ne me gêne donc pas pour réveiller tout le monde de bonne heure le matin en partant le gros 1290 car après tout ils m’ont bien tenu éveille tout la nuit ! Je quitte Némisco dans la grosse brume qui se dissipe après quelques kilomètres pour faire place au beau temps. En progressant vers Chibougamau, les conditions de la route s’améliorent grandement, ça roule par bout à 100-120 km/h. Je croise beaucoup de beaux endroits avec des tables à piquenique aménagés, également beaucoup de beaux endroits où on peut camper. Je dévore le chemin comme une bête et je progresse beaucoup plus vite que prévu. On est samedi, aucun camion planétaire en-vue. J’ai cependant rencontré beaucoup de trafic vers la fin de la route, surtout des pick-up qui roulaient pas mal vite, j’ai fait le saut à quelques reprises. Je prévoyais coucher à Chibougamau mais j’étais arrivé à 13 :00 seulement. Après avoir pris un bon break, je décide donc de descendre à Alma pour y passer la nuit. Jour 4 : Alma – Isle aux Coudes Petite journée très relax. Après avoir fait quelques chemins de gravelle dans les alentours de Alma je commence à descendre la route 170 vers Saint-Siméon. J’ai roulé pas mal tout le trajet jusqu’à la 138 dans la pluie. Je m’étais fixé comme objectif de coucher à la Malbaie mais rendu là rien ne m’inspirait, je décide donc d’aller a Baie Saint-Paul. Quand je croise le chemin qui mène au traversier de l’Isle aux coudes je décide d’aller voir. J’arrive juste à temps pour embarquer sur le bateau. Juste le temps d’y penser et je me retrouve aux beaux milieux du fleuve en direction de l’Isle. Les paysages tous autours de l’Isle aux coudes sont à couper le souffle ! J’avais entendu dire que c’était beau mais je ne me doutais pas à quel point. Je fais rapidement le tout de l’Isle presque 2 fois et finalement je décide de coucher à l’Hôtel Cap-aux Pierres pour la nuit. Belle place, on y mange très bien. Jour 5 : Isle aux coudes – Mascouche Après avoir fait la grasse matinée, pris un super déjeuner il est temps de mettre fin à mon voyage et de retourner à la maison. J’ai roulé tout le trajet dans la grosse pluie, ça laver le bike un peu et mon habit aussi ! C’est un voyage qui m’a fait du bien. Mon équipement de camping n’a servi absolument à rien sauf à me rassurer sur la Route du Nord. J’ai été quand même assez chanceux pour la météo. J’aurais bien aimé avoir un partner pour faire la ride mais tout le monde travail à ce temps ci de l’année, en plus il n’y en pas beaucoup qui sont asses fou pour faire ce genre de voyage ! J’ai adoré et je le referais n’importe quand ! PS – Désolé pour les fautes, je correcteur n’a surement pas tout vu… Avis aux intéressés pour la fin de l’été prochain, je me fais la Trans-Labrador.
  14. Après avoir beaucoup hésiter ces dernières semaines et changer d’idée à peu près tous les jours, parfois même 2 plusieurs fois par jour ! Je décide finalement d’opter pour la Route du Nord pour faire mon road-trip. Après tout, la météo ne semble pas si pire pour faire le voyage. Jour 1 : Mascouche – Matagamie Je quitte maison, femme et enfant de bonne heure, à 7h du matin pour une grosse journée plate sur la 117, environ 800 km à faire. À peine rendu à 2 coins de rue de la maison je me rends compte que le u-bolt qui tient la ram-month de mon gps est desserré. Ça commence bien ! Déjà un arrêt forcé ! Je fais rapidement la réparation, fait le plein et finalement c’est un départ dans le trafic du matin. 640, 15, 117 là ça commence à être plus beau, je roule comme un porc à bonne vitesse, dépasse tout le monde, au diable les pneus, de toute façon ils vont être fini après le voyage. Premier arrêt à Mont-Laurier juste le temps de faire le plein, après c’est reparti direction Val-d’Or ou j’arrête au Maxi pour acheter quelques provisions pour le diner. Les routes sont désertes et c’est la première fois que je passe là ce qui rend le trajet intéressant même si je suis sur des grosse routes d’asphalte, presque pas de trafic, c’est le bonheur total ! J’arrive à Matagamie de bonne heure, environ à 16h et je me rends compte que la ville est plus petite que je ne l’imaginais. Je me trouve une belle place pour coucher qui s’appelle le Gite de la belle rivière, vraiment une super place, pas cher en plus. Même si j’ai avec moi tout mon équipement de camping j’aime mieux coucher à l’intérieure car il vente super fort et il va pleuvoir durant la nuit. Pourquoi se donner de la misère ? Je déteste défaire la tente dans la pluie… Jour 2 : Matagamie – Némiscau Pour rallier Némiscau j’ai 400 km à faire ce qui correspond exactement à l’autonomie de mon bike dans des conditions optimales. C’est pourquoi j’emporte avec moi un 11 L d’essence supplémentaire pour avoir une marge de sécurité. Au gaz je parle avec un vieux gars de bois qui est intéressé par mon bike, il me rassure en me confirmant qu’il y a bien de l’essence à Némiscau et au Camp Némaska d’Hydro-Québec, ce que je savais déjà; il me dit qu’il y a quand même du monde qui passent sur la route du Nord et que personne ne va me laisser mal-pris la (bonne nouvelle !). Mais le gars pour conclure nôtre courte conversation me lance : « tu vas voir des monstres (camions planétaire), des pick-up tout défaits qui roule juste sur un bearing, tu vas tout voir… » c’est une aventure que je lui répond ! Le gars me rétorque : « t’en veux une aventure mon homme ben tu vas en avoir toute une ! Tu vas faire ça une fois après tu ne le referas plus jamais ! ». J’entame donc la route de la Baie-James un peu perplexe suite à notre conversation, une route que je veux voir depuis longtemps. Le temps gris fait place au beau ciel bleu. Je me sens comme si j’étais à l’autre bout du monde ! Presque personne sur la route, les conducteurs des rares véhicules que je croise m’envoie tous la main. Dans une région aussi isolée on est toujours content de croiser d’autres êtres humains. En même temps on comprend très vite qu’on moindre pépins on va être seul pour s’arranger avec nos troubles. La prudence est de mise. Je passe en mode économie de carburant, cruise-control à 100 km/h. Question de pimenter la journée je me fixe comme objectif de rallier Némiscau sans utiliser mon 11L d’essence supplémentaire. Les paysages sont superbes, mis à part la route, partout où on regarde c’est vierge ! C’est presque une expérience spirituelle ! J’arrive au km 274, le début de la Route du Nord, que j’entame très prudemment (je pense encore à mon vieux gars de bois !). Après quelques kilomètres la nervosité disparait et je prends mon rythme, le chemin est facile mais les beaux paysages peuvent devenir un piège car ils ont tendance à nous faire quitter la route des yeux. À certains endroits il y a des « sablières » avec des traces de semi-remorque dans le sable mou, ça fait partir le bike dans tous les sens ! Je roule à 70-80 max, toujours en mode économie. Je finie par arriver à ma destination sur la réserve de carburant, avec seulement 40 km d’autonomie. J’ai jamais descendu mon réservoir aussi bas. Au poste d’essences je mets 19,4 litres d’essence sur 21 litres d’espace dans le réservoir. Dans la réserve j’ai 2 options pour coucher : l’hôtel qui en fait est se résume à quelques chambres dans un gros bâtiment de la nation Crie. Je me rends sur les lieux et j’ai la chienne parce que le bike va demeurer toute la nuit sans surveillance et super loin de ma chambre en plus. J’opte donc pour le « lodge » à l’entrée de la réserve ou je peux laisser la moto juste devant ma fenêtre. La chambre est assez de base, salle de bain et mini cuisine commune, à peu près comme ce à quoi je m’attendais. Il y a aussi une épicerie dans le village ou j’ai pu acheter de quoi pour me faire un petit souper. Jour 3 : Némisco – Chibougameau – Alma Après une assez mauvaise nuit de sommeil passé en compagnie de voisins de chambre actifs jusqu’aux petites heures du matin je me lève à 6 :30 avec une seule idée en tête : reprendre la belle Route du Nord ou je l’avais laissé. Je ne me gêne donc pas pour réveiller tout le monde de bonne heure le matin en partant le gros 1290 car après tout ils m’ont bien tenu éveille tout la nuit ! Je quitte Némisco dans la grosse brume qui se dissipe après quelques kilomètres pour faire place au beau temps. En progressant vers Chibougamau, les conditions de la route s’améliorent grandement, ça roule par bout à 100-120 km/h. Je croise beaucoup de beaux endroits avec des tables à piquenique aménagés, également beaucoup de beaux endroits où on peut camper. Je dévore le chemin comme une bête et je progresse beaucoup plus vite que prévu. On est samedi, aucun camion planétaire en-vue. J’ai cependant rencontré beaucoup de trafic vers la fin de la route, surtout des pick-up qui roulaient pas mal vite, j’ai fait le saut à quelques reprises. Je prévoyais coucher à Chibougamau mais j’étais arrivé à 13 :00 seulement. Après avoir pris un bon break, je décide donc de descendre à Alma pour y passer la nuit. Jour 4 : Alma – Isle aux Coudes Petite journée très relax. Après avoir fait quelques chemins de gravelle dans les alentours de Alma je commence à descendre la route 170 vers Saint-Siméon. J’ai roulé pas mal tout le trajet jusqu’à la 138 dans la pluie. Je m’étais fixé comme objectif de coucher à la Malbaie mais rendu là rien ne m’inspirait, je décide donc d’aller a Baie Saint-Paul. Quand je croise le chemin qui mène au traversier de l’Isle aux coudes je décide d’aller voir. J’arrive juste à temps pour embarquer sur le bateau. Juste le temps d’y penser et je me retrouve aux beaux milieux du fleuve en direction de l’Isle. Les paysages tous autours de l’Isle aux coudes sont à couper le souffle ! J’avais entendu dire que c’était beau mais je ne me doutais pas à quel point. Je fais rapidement le tout de l’Isle presque 2 fois et finalement je décide de coucher à l’Hôtel Cap-aux Pierres pour la nuit. Belle place, on y mange très bien. Jour 5 : Isle aux coudes – Mascouche Après avoir fait la grasse matinée, pris un super déjeuner il est temps de mettre fin à mon voyage et de retourner à la maison. J’ai roulé tout le trajet dans la grosse pluie, ça laver le bike un peu et mon habit aussi ! C’est un voyage qui m’a fait du bien. Mon équipement de camping n’a servi absolument à rien sauf à me rassurer sur la Route du Nord. J’ai été quand même assez chanceux pour la météo. J’aurais bien aimé avoir un partner pour faire la ride mais tout le monde travail à ce temps ci de l’année, en plus il n’y en pas beaucoup qui sont asses fou pour faire ce genre de voyage ! J’ai adoré et je le referais n’importe quand ! PS – Désolé pour les fautes, je correcteur n’a surement pas tout vu… Avis aux intéressés pour la fin de l’été prochain, je me fais la Trans-Labrador.
  15. C'est quoi l'astuce pour décoller un pneu tubeless ? J'ai essayer ça chez nous avec des barres a tire, bien installé dans le garage pour me faire une pratique et j'ai jamais été capable.
  16. Salut lanidrac ! Ça l'air d'une belle ride à faire, aurais tu le tracé de la kingston loop ? Merci à l'avance !
  17. En plus on a arrêter aux mêmes places !
  18. Je ne pensais pas qu'il y en avait tant que ça des lac Croche. Je parlais de celui-la:
  19. gratts

    Pression des pneux

    À quel pression vous roulez vos pneux lorsque vous faites du hors-route ? Les pneux sur mon bike sont des twindoro MS. C'est les pneux d'origine . Je roule à la pression recommandée dans le livre(42 arrière et 37 avant si je me souviens bien). En hors route me semble que c'est trop dur. Vous en pensez quoi ?
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