Rookie

Merci ta bmw, eee non ma bmw est une machine fénoménale

Je viens de commencer les jour 6 et 7, il devraient être en ligne pour la fin de semaines se sera les derniers pour ce raid à radisson.

ok je Vais y être si tout vas comme prévu avec ma nouvelle 800 gs que je vais chercher mercredi ou jeudi matin

J'adore ton sens de l'humour Malgré ce trou du c.. qui ta volé ta paix d'esprit. bonne ride et tien nous au courant

Merci Cette banière est parfaite, elle représente très bien l'esprit de ce que l'ont fait avec tant de passion.

Je dois dire qu'il était sympatique dans sont style ..eeeeeeeeeeeeee ok je ne connais pas son style.

Bien un nouveau Mais je suis toujours je rookie. Bienvenu.

J'adore lire des rides report comme ceux la. vous l'avez eu dure cette journé la. Bravo les gars

Hello bienvenu dans le monde de ridaventure moi j'ai beaucoup de plaisir

C'est pour quand les couches pour les animeaux? Si eux peuvent librement se soulager aux miilieux de la forêt et bien moi auusi. Et non je ne polu pas

Jour 5 Je réalise que le retour au bercail commence ce matin, il est 5hrs, la fatigue des derniers jours commence à se faire sentir. Je suis toujours dans mon lit, je regarde la multitude de maringoins qui ont passé la nuit avec moi. Il y en a 5 ou 6 dans un coin, je les écrase, une traînée de sang suis ma main. Ses petits vampires ont eu le meilleur de moi pendant mon sommeil. Je commence à plier bagage, Socrate est déjà en mouvement dans sa tente, pas besoin de rien faire pour le réveiller. Ma routine n’est plus la même, je ne sais pas si le café sera aussi bon sans la satisfaction de l’avoir réveillé d’une manière ou d’une autre. Nous sommes prêts, je regarde une dernière fois cette rivière qui nous a si souvent vu nu et sale. J’enfourche ma moto, je la démarre, le moteur vibre entre mes jambes, je la ressent de tout mon corps. Une larme coule sur ma joue, c’est peut être parce que je viens de bailler, ou peut être une poussière dans l’oeil, où c’est tout simplement que je vous fais marcher. Et bien oui, je vous ai fait marcher. c’est une superbe journée ensoleillée, il y avait des orages le soir d’avant, mais rien de sérieux. On ne prend même pas le temps de déjeuner puisqu’on a décidé de se faire arnaquer au km 381. Nous allons déjeuner avec oeuf bacon et tous le tralala. Ma surprise fut pleine quant est venu le temps de payer le déjeuner en question. $8:50 pour le tralala et un jus en prime. Arrivés à la route du nord, aucune indication qu’elle est fermée, GO direction Chibougamau. La route est très belle et l’expérience que j’ai prise dans les derniers jours ma donné confiance et je me suis permis de rouler 100 km/h et plus. Quelques petits arrêts sans intérêts sauf ok pour l’essence On arrête au km 291, un jeune pompiste Cri nous répond, Socrate qui parle assez bien anglais m’avoue en sortant qu’il na absolument rien compris du tout, le jeune homme était impossible à déchiffrer me dit il. Moi qui maîtrise la langue anglaise et comprend la plupart des accents étrangers j’ai dû user d’une concentration aigue en plus de lui demander de répéter. Je ne sais toujours pas de quoi il parlait. Peut importe ont a eu notre essence et une petite pause, nous revoilà sur nos bécanes, prochain arrêt, le dîner. Arrivée à la rivière Rupert. Il y a des pêcheurs. Pas de problème, ont s’installe, jase un peu. On en profite pour se dépoussiérer, l’eau est chaude. Après coup Socrate le Cook du voyage prépare le dîner, l’un des gars en question qui pêchait nous informe qu’il y a un feu de forêt à 20 km plus loin. Ha! Je regarde Socrate et lui dit « c’est ça que le gars de la pompe a essence voulait nous dire ». Et deuxième bonne information il nous indique que sur la côte de l’autre côté du pont au 2e garde fous à 5 pieds du premier poteau le cellulaire fonctionne. Un peu plus et je croyais qu’il allait ajouter de se tenir sur une jambes en se grattant le nez avec le majeur de la main gauche. On peu appeler de cet endroit et bien oui le cellulaire fonctionne, il y a un chantier plus loin. Ils ont installé une tour à micro-ondes. Mais deux pieds de plus ou de moins à gauche ou a droite le signal coupe, je me demande s’ils ne devraient pas mettre une enseigne avec un X pour indiquer ou se tenir tellement c’est pas plausible. De retour sur la route la fumée commence à être visible et elle se rapproche pour finir par fermer la route comme un lourd rideau opaque. On n’y voit absolument rien. Nous sommes arrêté à 100 pieds de ce rideau derrière lequel se joue la funeste pièce d’un théâtre destructif. Socrate me regarde, je le regarde, nous nous regardons. Pour le rassurer je lui dis, « tu sais qu’il n y a pas beaucoup d’oxygène la dedans. Nous ne savons pas si c’est 150 pieds ou 15 km. » Effectivement il était impossible de le savoir mais Socrate me dit, ont n’a qu’a attendre que quelqu’un passe pour le lui demander. Ceci serait la bonne chose à faire, mais sur la route du nord, ça peut prendre du temps, alors je lui dit que je vais aller voir. Il me regarde et dit: mais tu viens juste de me dire qu’il a pas d’oxygène! Je lui répond que je vais regarder juste sur le bord. Je mets ma moto en première, j’avance et Socrate est derrière moi à ma droite, il me suis et la fumée est si dense que je vois à peine 5 pieds devant moi . Au fur et à mesure que j’avance dans le brasier, la chaleur monte de plus en plus, et devient intense et insupportable. Les flammes sont à droite, poussées par les vents, les particules en feu me frappent le visage, il nous sera impossible de faire des kilomètres dans ces conditions. Une bourrasque de vent et soudainement les flammes se jettent sur moi je clenche la moto qui se déporte de gauche à droite j’ai peine à contrôler ma monture qui est sûrement aussi effrayée que moi. La chaleur est insupportable, je ne vois rien la fumée est trop dense et à mesure que la moto accélère la fumée se dissipe et je sort de l’autre coté 150, 200, 300 pieds je ne sais pas et je m’en fous, nous sommes sortis de ce brasiers Je stop pour parler à Socrate il n’es pas la. Je descend de moto et regarde vers l’arrière rien, aucune trace de Socrate. Dans un moment de panique je crie son nom, tout en sachant qu’il ne pouvait probablement pas m’entendre. Je me dirige vers la fumée, je me demande si il n’est pas tombé lorsque les flammes ont jailli devant nous? Il était a ma droite, donc beaucoup plus près du feu, il n’a pas de full face, merde je dois aller l’aider à redresser sa moto, elle est beaucoup trop lourde avec les bagages. Je me mets à courir vers la fumée, je perçois une lumière, il sort de la fumée ma panique se transforme en un sentiment de joie, il a passé! Pendant un instant je le voyais coincé d’un coté du feu et moi de l’autre, mais peu importe maintenant il est sauf . Lorsqu’il arrive à mes coté je lui demande ce qui est arrivé. Il fit une coute pause et me regardant d’un air surpris il me dit: Je prenais des photos. -Quoi! Tu prenais des photos? -Bien oui. Combien de fois dans ta vie tu vas traverser un feu de forêt et en moto me dit-il. -Bien, je ne pensais jamais faire quel que chose du genre. Ni avoir à le faire. Un pic up est arrivé et a refusé de se risquer . Et Socrate lui et bien il prenait des photos. Je n’en revenais tout simplement pas. Je laisse Socrate le soin de vous exprimer sa vision de la situation car seul lui peut la décrire. (Socrate) Merci Rookie de me donner la chance d’intervenir dans ton texte. Bien que certaines personnes de mon entourage croient que parfois mes aventures sont risquées, il n’en est rien. Je ne suis pas du genre kamikaze ou suicidaire, quoi que je n’ai jamais rencontré de kamikaze qui ne fût point suicidaire, la raison guide mes choix. Ma décision de traverser le feu de forêt reposait sur les éléments suivants: 1. La taiga est une forêt chiche, pauvre dans laquelle les arbres sont petits et espacés. Or je me suis dit que le brasier ne pouvait pas, dans ces conditions, atteindre un degré de chaleur intenable, ni s’étendre sur une trop longue distance. 2. Lors de notre visite du barrage, notre guide nous a dit que suite à un feu de forêt, les arbres pouvaient rester debout, brulés, pendant 30 ans. Donc, il était fort peu probable qu’on en retrouve un en flamme couché sur la route et encore moins qu’il nous en tombe un sur le casque. 3. Autre facteur, la route était passablement large à cet endroit, ce qui constituait en soi une protection contre l’élément destructeur. 4. Le facteur final qui a joué dans ma décision, est le fait que : Maudit que ça doit être le fun à traverser.....!!!! J’aime les situations extrêmes... N’oublions pas que dans toute décision logique il doit y avoir le facteur plaisir. Alors Rookie à toi: (Rookie) Merci Socrate je continue. Ils nous a fallu quelques kilomètres pour sortir complètement des feux de forêt. Ces derniers étaient un peu plus loin de la route et moins intenses. Après ça le reste du voyage devait se dérouler sans que rien ne mérite d’être écrit. Ma prochaine phrase aurais donc dû se lire ainsi « nous sommes arrivés à Chibougamau et avons pris un bon souper avec du vin » Et bien non. Cette Route nous réservait d‘autres surprises. Donc, nous roulons tranquillement sur la route du nord, tout va pour le mieux, et comme j’avais besoin d’une pause , nous trouvons un endroit où les camions se stationnent pour faire la même chose que nous. Un camion arrive et se stationne c’est un 10 roues un camion de gravelle. Le moteur ne tourne pas rond. Le chauffeur rince sont moteur à plusieurs reprise puis coupe le contact. Je me préparais à faire un topo vidéo, sur le feu que nous venions de traverser. Donc j’avais une caméra vidéo à la main. La porte du camion s’ouvre, un homme descend et se dirige vers nous. Je suis bouche bée, il porte pour vêtement une paire de, comment pourrais-je dire, un caleçon, des petites culottes, non j’ai trouvé. Une paire de bobette et rien d’autre. Je mets la caméra en marche, il me voit donc je la manipule comme si elle ne filmait pas, dans tous les sens sans objectif précis, mais lorsqu’il ne me regarde pas, je la dirige vers lui tant bien que mal. Il nous raconte ses problèmes de moteur et quelques histoires sans importance. Bon ok il est peut-être intelligent? Mais Je ne sais pas! Car, imaginer Albert Einstein, exposer sa théorie de la relativité en bobette. Personne ne l’aurait pris au sérieux. Donc notre hurluberlu en bobette, nous parlait en nous donnant quelques indications où aller camper, humm je ne crois pas que je veux camper à un endroit indiqué par cette être simplement vêtu. Et pourtant il semble totalement inoffensif, juste un peut vêtu, en fait très peu vêtu et au volant d’un camion. Il finit par nous demander si ont voulait fumer un joint avec lui. Après avoir décliné une session de fumée qui fait rire, nous avons repris la route. La route était probablement fatiguée elle aussi, car elle nous a laissé finir notre journée sans autre péripétie. Une pizza, une chambre de motel et une bouteille de vin. Voilà quel que chose de rassurant après une journée mémorable, ou plutôt difficile à oublier. Il reste jour 6 et 7 qui seront mis tous les deux ensembles.

pour moi c'est de l'amélioration avec une bonne bouteille de vin je suis très satisfais de mon achat et whoooohaaawww

La journé 5 est fait. Mais j'ai du demander a Socrate de Remplir quelque trous, car même après plusieur essait je n'est pas réussie à lire dans sont esprit. vous allez aimer cette journée particulièrement. elles est pleinnes de rebondissement

Les images sont superbes. Pour une petite journée relaxe et picnic avec sa douce sa doit être parfait.

Trippant les gars. j'ai hâte de voir le reste. les motos avec des cases étaient t'elle avec vous?

je suis très heureux de mon choix, la ride a Radisson a confirmer que je vais faire de la moto longtemps.

Superbe récit. ta ride a été difficile et le fun. se sont souvent les plus mémorables

Jour 4 Et non ! Pas de lavage a l’ancienne aujourd’hui. Il est non pas 4 hrs mais 4:30. Quand même grasse matinée! Je récupère la bouffe que nous avions mis à l’abris de l’ours qui aime la moto. Ha oui! C’est vrai, je ne vous ai pas compté cela. Bon petit retour au jour 3. Nous faisions le plein au km 381, vous savez la chiotte à 100$! Le monsieur qui aimablement nous donne le boyau d’essence, a la parole facile. Bon je peut le comprendre, il na pas vue personne de tout l’hiver. Néanmoins, il aime bien parler. Étant donné que nous avons des motos, et bien il parle moto. Il nous raconte que la nuit passée, il y avait un ours avec une fringale, et que celui-ci n’ayant pas en sa possession 25$ pour un p’tit maudit souper cheap, a donc décidé qu’une Harley Davidson avec des sacoches pleines de gourmandises ferait l’affaire. Le monsieur en question aurait cependant pu confondre aisément un ours avec un chauffeur d’Harley un peu obèse et barbu. Mais ça, l’histoire ne le dit pas. Bon restons avec l’ours c’est plus poli. Je disais donc, notre ami l’ours a décider d’enfourcher la Harley ou tout simplement s’asseoir dessus, et d’ouvrir les sacoches de la seule manière connu d’un ours, soit avec la délicatesse légendaire connue de nos amis omnivores. La Harley est repartie avec un peu plus de lanière de cuir que prévu. Curieux moi et Socrate sommes allés dans la direction indiquée par notre interlocuteur. Et oui sans trop de surprise il y avait effectivement des excréments et des traces très visible de la visite d’un ours. Bon je m’excuse auprès du gars de la Harley que j’ai vu, mais la ressemblance était frappante. Donc le monsieur nous conseille de na pas laissé la nourritures dans nos moto. Hum! Très bonne suggestion Sherlock. Un merci pour l’information et nous voila au campement. La nourriture dans le back en plastique qui me sert de top case, une strap autour, pas pour l’ours mais pour les petits voleurs (raton laveur). Donc pour revenir au jour 4. Je récupère la nourriture et bien sûr pas d’ours dans les parages, ont a pas des Harley nous. Il est temps de ramasser mon stock, mais Socrate dors toujours et j’ai besoin d’un café. Donc je plie ma tente, je la plie et la replie trois fois jusqu‘au moment ou j’entant Socrate bougé. Yes ! Mon café vas bientôt être prêt. Bon les motos sont prêtes et nous sommes repartis vers Radisson. Une vitesse maximum de 140 km/h. y pas de police par là, mais pas du tout, il doivent tous êtres au Tim Horton le plus près, soit à 600 km plus loin, à Matagami. Donc arrivé à Radisson je vais confirmer nos réservations pour la visite de LG 2, ou le parc hydro électrique Robert Bourassa. Bon ok LG2. Tout est parfait il faut arriver 10 minutes à l’avance. Nous allons prendre un bon dîner au restaurant bar du coin, qui est le seul de toute façon. Après un très bon repas, je vais m’informer à stop feu si la route du nord est ré ouverte. Voilà leur réponse. Bien oui, mais peut être qu’ils vont la refermer, ont ne sait pas où ni quand. Donc avec ses informations très précises il sera facile de planifier le voyage de retour. Après avoir perdu Socrate dans le ville immense de 308 âmes que Radisson héberge, ont se rejoint sur le site d’Hydro Québec. Après les formalités d’usage, qui sont « Vous ne pouvez faire ceci ou cela et pas ça non plus » ont nous présente une vidéo qui ressemble plus à un commercial télé, mais qui donne toute l’information quand même. Ont se dirige vers l’autobus nolisé par Hydro Québec. C’est a ce moment que nous avons reconnu l’homme qui s’est fait dévaliser son Harley par un ours. Un être énorme pour ne pas dire obèse, marchant de façon difforme, et reniflant constamment tout en marmonnant des mots incohérents. En passant, j’aimerais m’excuser auprès de l’ours pour l’avoir confondu avec un australopithèque. Durant toute la visite, cet être infâme avais toute les réponses qu’il exprimait à tout ceux qui voulait l’entendre, ou pas. Il vas sen dire que ses réponses était toutes erronées. Mais assez parler de l’époque préhistorique. Donc moi et Socrate ont se tiens le plus loin possible du lui et la visite se déroule bien, jusqu’au moment ou il faut remonter dans l’ascenseur. Je me retrouve avec l’australopithèque en question. Nous sommes 6 personne à l’intérieure, le garde de sécurité ferme les portes et indique le plancher supérieur à l’ascenseur, les portes s’ouvrent. Ont a pas bouger du tout, le garde recommence et la même chose se produit. Il regarde un peut gêné notre homme des cavernes. Lui fait comprendre subtilement de descendre, Et oui, ont est partie vers le haut. Il a fallut un voyage spécial pour notre ami avec pas plus de trois personnes a bord. Donc la visite extérieure est plus facile ont peut aisément rester loin. Mais sa voix est malheureusement très présente. La visite finie ont se dépêche de quitté les lieux. Un bon souper au resto bar le plus populaire en ville et nous sommes repartis vers le même spot ou ont a camper le soir d’avant. Pas de problème pour se rendre. Le Tim doit toujours être plein à Matagami. Il fait toujours clair à 22H30. Le bain quotidien et dodo. Demain la route du nord ouverte ou peut être pas. Mais la route du nord quand même.

Ça dépend de la suspension en grande partie, des ajustement de damping et rebond, si ajustables... Certaines motos bien ajustées ne le sentent même pas... et biensûr... faut rider debout Va voir la discusison suivante qui traite de tout ceci, question de ne pas trop polluer ce post. viewtopic.php?f=35&t=3102 Tout ça c'est bien pour apprendre mais SVP soyez gentil et utilisé le lien de touche pour cette discussion je vous remerci

OK mais avant lis ceci, A mes débuts sur les bateaux, nous étions a Victoria BC. Les gars qui voulaient impressionner leur blonde, me demandaient d'écrire leur lettre d'amour. Ce fût un franc succès, j'usqu'au jour où j'ai été transferé sur un autre bateau. ils ont dû apprendre à écrire dans un style qui était le mien. Pour certain cela a tourné au vinaigre. J'en ris encore aujourd'hui quand ont s'en reparle.

Des Photos à faire rêver, ils actives l'imaginaire, ont se voie en voyage quel que part ou personne ne nous connaîs. J'aime beaucoup belle job de photos

Jour 3 Levée à, vous allez être surpris, et oui 4 hrs., pas d’escadrille pour me harceler. Le soleil se lève au dessus du lac, je relaxe, finalement comme la journée d’avant, mais là je relaxe vraiment. J’ai besoin d’un café. je crois que je devrais réveiller Socrate il fait du bon café. Ben non voyons ! Je suis pas cruel je vais attendre à 5 ou 6 hrs mais pas une minute de plus. Sauvé à 5:30 son cellulaire sonne se n’est pas moi qui le réveille. J’attend Socrate répondre et il dit : Rookie! c’est pour toi, c’est ta blonde, Maudit que je l’aime elle. Mon café s’en viens! Après quelques minutes de discussion, je raccroche et je sent l’odeur merveilleuse du café. Finalement j’aime Socrate aussi ! Ont ramassent tout et les motos prennent la direction de la route du nord . La garnotte reprend de plus belle. 409 km de garnotte qui débute avec un lavage à l’ancienne. Et oui ! De la planche à lavé. Bon ! Je me dit que cela ne durera pas, et j’avais raison. 200 km plus loin ça s’arrête (mes dents claquent encore). Ont met de l’essence dans un petit village Cris, Némaska je cois. Après coup, Socrate le cordon bleu, achète deux cans de chef boyardi, et tout heureux de me dire voilà le dîner. Mon regard est devenu limpide et vif. Je surveille les lapins ou autre bestioles qui pourrait faire le dîner, je vois un chien. Merde il est au bout d’une lesse. Je dois me résigner à cette can qui est loin de ressembler à une cane. Ont se dirigent vers le parc municipal. Socrate met les pieds à l’eau il s’écris elle est chaude je me lave. Bon ok. Il y a des pick-up qui passe tout les 5 minutes. Pas de problème pour entrer dans l’eau et pas de problème pour en sortir. Je fais le guet et il entre dans sont costume d’Adam,se lave et ressort sans problème. Merveilleux ! C’est mon tour. Je met le même costume que Socrate. Un pick-up passe. Je cours et up, je suis a l’eau avant même d’être vue. Je me lave et oui un pick-up se dirige vers la plage. Je suis nu comme un ver, je cours pour sortir de l’eau avant d’être repéré. Juste le temps de mettre ma serviette autour de moi et il sont sortis de leur véhicule juste a 15 pieds de nous. Une famille complète avec le chien que j’avais envisager de manger auparavant. Je dois me r’habiller car je ne crois pas que papa va apprécier que sa fille de 13 ou 14 ans contemple cette étranger nu. Sauver, je trouve mes cuissard de vélo que je met pour la moto. Je suis convaincu qu’il mettent des cuissard dans ce monde perdu. Bon peut importe ! J’enlève la serviette, je suis en cuissard. Le père me vois et se dirige vers nous. Il me regarde attentivement et regarde Socrate torse nu, son regard change. Il s’est déjà fait un idée sur notre orientation sexuel. Socrate qui est un excellent communicateur mais qui n’as aucune idée du langage non verbal qui vient de se passé entre moi et le monsieur en question, offre de prendre une photo, avec moi ,qui porte des cuissard. Sur ce, je décide donc de sauvé les meubles et m’empresse de dire un instant. Je remet mes vêtements. Notre invité trouve que c’est une bonne idée. Nous avons pris les photos en question. Nous quittons ce petit village très sympathique avec espoir de ma part de ne pas y retourner avant que je me fasse oublier. La route du nord est beaucoup plus roulante. Nous avons pris très peu de pose et avons traversé des feux de foret que étaient a quelques kilomètres donc pas de problème. On finis par sortir de la route du nord. J’avais envie d’embrassé l’asphalte, mais je me suis retenu. Ont arrête au km 381 pour du carburant et manger. Socrate me regarde et dit : une chambre pour ce soir ce t’irais ? Oui et une douche. Après information, 100$ la chiotte. Non merci. On prend un souper très léger 25:00$. Ok on abuse pas, mais je crois qu’il fixe ses prix en fonction du désespoir. Il est le seul a 300 km a la ronde. Nous ne sommes pas désespérés à ce point. On repars et trouve une bonne place pour camper à la rivière Eastman. En costume d’Adam, ont se lave. Une bonne nuit de sommeil et demain Radisson. J’ai hâte a mon Café.

moi aussi je y être a jeudi

Reste avec nous sur ce site et tu découvriras des gens tripant que font des chose encore plus trippantes.

je le ferais pour lavatar mais J'aime bien mon nic.