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gerbois

RidAventurier
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Publications posted by gerbois

  1. Payé environs 800$ avec les taxes... si c'est pas plus...

     

    Porté 2 saisons. A parfois voyagé très vite, mais ne s'est jamais arrêté abruptement... Est en parfait état.

     

    Casque très léger et confortable.

     

    Intérieur démontable, lavable.

     

    Grandeur XL

     

    200$

     

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  2. Enfin! Marquez se fait battre à la régulière! Et par nul autre que Rossi! Quelle remontée de Rossi, partit 8ième et qui, en plus, se fait bousiller son départ par Ianone. Marquez ne peut s'en prendre qu'à lui-même pour sa chute. Le dixième titre de Rossi apparait possible, mais la saison sera longue. Quelle saison jusqu'à maintenant!!! em3600

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  3. Pour moi, Coma maîtrise mieux l'ensemble des facettes du Dakar et ça fait la différence. Il n'a pas eu de galère sur aucune des étapes, il a tout géré avec constance (vite et très bien) et il avait la meilleur moto. Peut-être que l'an prochain Honda sera au même niveau et si Coma disparait du paysage moto pour s'en aller sur quatre roues, ça pourrait basculer.

    • J'aime 3
  4. Laïa Sanz 5ième aujourd'hui!

     

    L'article cité ci-après provient d'ici: http://www.20minutes...ille-ego-hommes

     

    Ça les intéresse parfois plus que leur propre place. A l’arrivée des spéciales, alors qu’ils n’ont même pas enlevé leur casque, il n’est pas rare de voir les motards du top 30 demander s’ils sont «devant ou derrière elle»? Elle, c’est Laia Sanz, une pilote espagnole de 29 ans en train d’en rendre jaloux plus d’un sur le Dakar.

    En progrès constants depuis sa première participation, en 2011, la Catalane, 9e au général après sa 5e place à Iquique ce lundi, étonne, impressionne… et énerve, un peu, dans le monde très masculin de la moto. «Je sais qu’ils n’aiment pas que je les batte. Ils ne me le disent pas clairement mais je le sens, avoue-t-elle en souriant. Ils peuvent perdre contre d'autres pilotes, ça ne les dérange pas. Mais quand c’est moi là c’est autre chose.»

     

    Sur la route menant à Copiapo, la semaine dernière, sa présence juste derrière lui a ainsi motivé le Français Michael Metge. Soulagé d’avoir finalement gardé sa position, il se fait gentiment chambrer par Luc Alphand à l’arrivée. «Tu voulais pas te faire passer, hein ?», lui lance en plaisantant le consultant de France Télévisions, vainqueur de l’épreuve en 2006. «Ah non, c’est sûr que ça m’a poussé !», répond le motard, qui se montre toutefois beau joueur : «Elle va vraiment vite, elle est régulière, ne fait pas d’erreurs. C’est impressionnant».

    «Il faut se rendre compte du niveau général. Il y a vingt pilotes pros, et Laia est là, au milieu, et va les chatouiller. Elle a la force, le mental, et en plus à l’arrivée elle n’a jamais l’air cramée, contrairement à d’autres», ajoute Alphand. A force de régularité - elle n’a jamais fait pire que 19e d’une étape cette année -, Laia Sanz est en train de gagner le respect de tous. «Je pense que le résultat de l’année dernière [16e] y est pour beaucoup. Et la manière dont ça se passe cette année confirme ça. Ils se rendent compte que ce n’est pas de la chance», explique celle qui cumule 15 titres mondiaux en trial et enduro.

    «La douche, c’est plus compliqué»

     

    Si elle devient peu à peu un pilote «comme les autres», il est une chose pour laquelle son statut de femme la rattrapera toujours: la promiscuité à l’intérieur du bivouac qui l'oblige à quelques stratégies. «C’est vrai qu’au moment de prendre la douche, c’est plus compliqué. Je dois faire attention à y aller au bon moment et en avoir pour moi, raconte-t-elle. Mais souvent les gars m’aident, c’est gentil.» Même s’ils n’aiment pas trop la voir devant sur la piste, les motards ne sont finalement pas si rancuniers le soir venu.

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  5. J'ajoute que la raquette, c'est quasi tous les soirs de semaine, moi aussi pour le cardio et les jambes. Ça me permet de tenir sur la machine les fins de semaine. C'est plate à dire, mais en vieillissant tu t'entraîne quasiment plus pour pas perdre que de gagner des capacités... em0300

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  6. Pour moi, la motoneige complète la moto, mais pas l'inverse. Moto 7-8 mois par année, contre 3 mois pour la motoneige. Et dans le mot motoneige, il y a le mot ''moto''... :mrgreen:

     

    La moto peut faire office de véritable moyen de transport, exemple pour aller travailler, ce qui n'est pas le cas de la motoneige en général, sauf exceptions.

     

    Mais la motoneige me fait aimer l'hiver et moins le considérer comme une ''privation'' de moto. Et elle constitue un trait culturel de l'identité québécoise, dans notre adaptation au climat nordique.

     

    Si BRP pouvait se remettre à faire des motos, ça serait le boutte du boutte!

  7. Oui Lampkin est une légende du trial 7x champion du monde outdoor et 5x indoor. Un peu vite relégué aux oubliettes par Toni Bou l'extraterrestre.

     

    Il faut quand même dire que ses pneus doivent être pinés, parce que sans ça sur la glace, ça n'a aucune grip.

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