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nightflyer

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Toute les publications en date du nightflyer

  1. Ça vous apprendra à manquer de respect aux anciens, non mais!!!! Pis aller Rinho : La suite, la suite...
  2. bon courage Francis, je te mets un décaf et deux roussettes au miel de côté...
  3. Ben Serge, tu fais un beau move là... C'est officiel je suis jaloux là... un 1200 tout neuf
  4. Moi j'en ai... t'a oublié dans la liste mon super Kodak 3CCD à 24MegaPixel avec flash sur trépied de 100Watts Oui, j'avoue j'avais oublié, faut dire que j'ai été aveuglé par le flash... Bon j'en étais où moi? Arrivé sur la 20 après avoir utilisé les outils électriques et l’étau du camp de bûcherons Clarence et moi, nous nous séparons du groupe sweepers+les mécaniciens arrachés à leurs équipes pour me secourir. Au moment de les quitter, j’ai un peu de doute. Je continuerais bien moi, j’ai eu trop de fun aujourd’hui. Mais plusieurs facteurs entrent en ligne de compte. J’ai une chaine patentée (c’est le cas de le dire) avec 3 mailles patentes en tout et encore un peu tordue et Clarence a donné tout ce qu’il avait. Il est suffisamment sage pour savoir qu’il a atteint ses limites. De notre équipe c’est lui qui a le plus de mérite et je sais que moi je n’aurais jamais réussi à passer au travers une journée comme celle là si j’avais eu le même type d’expérience que lui. Bravo Clarence! Lâche pas, tu as la chance d’avoir un terrain de jeu superbe près de chez vous et une gang de riders passionnés dans ta région. Donc nous disons au revoir au groupe, pour moi avec un peu d’envie de les voir continuer, mais aussi conscient que cela aurait été un peu idiot de continuer avec un bike boiteux. La 20, comme annoncé par GregVince (qui reçoit aussi une mention spéciale pour le nom de groupe qu'il propose!) est une vraie autoroute, mais en sable bien tapé. En pas long on parcours les 60 kilomètres qui nous séparent de la 117. Après une petite pause granola Clarence prend vers le nord et moi vers le sud, sans vraiment savoir où je suis. Là on est rendu l’équipe «chacunvadesonbordetbonnechanceatous». Et il se remet à pleuvoir après dix minutes. J’ai bien décidé de tracer jusqu'à Montréal, 3H45 d’après le monsieur du gas bar auquel je m’arrête pour tanker. En passant dans Mont-Laurier un beau Mc Do tout illuminé semble m’appeler à encourager mon côté animiste religieux en sacrifiant un bœuf et en le collant entre deux tranches de pain (heu? Y a bien du bœuf dans un McDo, non?). Je résiste pas et stationne mon destrier fatigué devant ce monument de la société de consommation. Pis là, ben j’sus pus motivé pantoute pour repartir. J’ai froid, j’ai les pieds trempés, les mains aussi et la perspective d’un autre trois heures sur la 117 et la 15 sous la pluie de nuit me tente pas plus que ça. Je découvre que les gens de Mont-Laurier sont très gentils, tous!!!! On m’indique un motel pas loin et pas cher. Super, il fait motel-micro brasserie-bar. Je demande si je peux stationner ma moto dans un endroit fermé et le préposé me répond «y passe tu dans le cadre de porte ton bécique? Y a qu’à le mettre dans ta chambre». Moi j’en demande pas tant, juste dans le couloir ça ira!!! En prime je reçois un coupon pour une bière gratuite. Je mets ma veste et mes gants à sécher dans la chambre, calorifère dans le fond. Je remets la douche chaude à plus tard et me dirige vers le bar directement, bottes emplies d’eau aux pieds. Je suis accueilli par la belle Geneviève du début de mon report et comme la bière est bonne, j’en commande une autre. Plusieurs personnes viennent me jaser, curieux et sympathiques. J’aime Mont-Laurier, je vais demander la citoyenneté mont-laurienne, moi. À la 5ieme bière, ma barmaid est rentrée chez elle et je suis pas loin de trouver le gros barbu au bout du bar pas si laid que ça finalement. C’est le signe qu’il est temps d’aller me coucher. J'aurais pas fait ça sous la tente: Au réveil la vue sur La Lièvre depuis le Motel, il pleut pas encore... Dimanche matin, la route se fait sans problème, sous la pluie bien sur…. et je reçois une bel accueil pour mon arrivée en avance à la maison:
  5. Oui, J'ai eu beau le questionner, ça a l'air que vous avez vos petits secrets tous les deux....ha! ces pré-ados...
  6. Après le lunch, la pluie semble redoubler en intensité. Notre moral d’équipe semble toujours pas mal élevé. Je trouve ma moto pas mal top heavy, sur le coup je pense que c’est parce que je viens de tanker pour skipper l’arrêt gas au Lac Brûlé, mais finalement je crois que c’est plutôt le gros spagat d’à midi qui augmente mon centre de gravité. Les conditions de la piste sont beaucoup plus difficiles que le matin. La pluie à fait son œuvre et la bouette est bien glissante. Je me plains pas ma moto est la plus vieille de toutes celle réunies de la Ridamox (pas grave c’est aussi la plus belle!) mais elle semble faite pour ces conditions et elle glisse moins dans les trous de boue que la KTM de Touring, que je suis comme son ombre. Et soudain, le drame. Ouais, pas non plus le gros drame. Plus comme un tout petit drame genre! Pas trop de suspens là, c’est dans tous les posts! Dans un virage en descente ma roue arrière bloque d’un coup. Je saute sur la clutch par reflexe mais c’est pas ben utile, moteur stallé aussitôt et comme on allait un bon 70 km/h je glisse sur un bon ‘tit bout. Sur le coup je pense que mon moteur à saisi. J’ai pas le temps d’y penser ben, ben. Je suis debout sur mes pegs en train d’attendre que je sois arrêté que je vois rouge. Heu! Non en fait je vois du rouge, pas mal le rouge de la KLR de c.par.là. Je sens un choc léger en arrière qui me pousse un peu. Pas trop doué en coordination de mouvements je me retourne pour voir, toujours debout sur mes pegs et pas mal arrêté. Je vois en arrière de moi la KLR de Pierre, mais pas de Pierre!!!! Pis moi et ma moto on se couche gentiment sur le côté gauche vu que j’ai pas pensé à mettre les pieds par terre. C.par.là a été roulé à ma gauche, mais déjà il se relève et se dirige vers son bike. Bon tout va bien, moi je relève le mien en entendant Rolaro notre sweeper de groupe nous crier de son ton paternel «attendez les gars, relevez pas vos motos tout seul». Ben trop tard! Ma chaîne est toute tortillé autour de l’axe de roue. C.par.là dont les reflexes ont été affuté par son grill cheese d’à midi à réussi à pas me percuter à pleine vitesse mais comme il l’a dit dans son report il a pas mal de casse sur sa moto. Comme on est là, par solidarité Rolaro a un flat. Bon alors cette équipe on va l’appeler lessolidairesquicassentleurmotoenmêmetemps, finalement. Martin qui se sentait seul d’un coup fait demi-tour et vu son expérience dans le domaine de la mécanique prend les opérations en main. On signale aux équipes qui nous rattrapent (et à yamyam qui passe tout seul) un thumb up et ils continuent rassurés. Par contre les équipes de Rinho et Frankmx cherchent sans doute une occasion de prendre un break et viennent à la rescousse. Martin et moi penché sur ma chaine on reçoit l’aide (très appréciés les gars) de Rinho et KingZoo, pendant que Frankmx étale le contenu de sa veste dans la bouette. Il nous sort un lève moto bon pour soulever 1800 livres, une chain saw, un moteur de tracteur 140 forces, une table à pique nique, un feu de camp déjà allumé et des marshmallows, une machine a expresso, du bœuf bourguignon, des vise grips d’un pied de long, deux mailles patentes en 520, un parasol de plage, 4 filets anti-moustiques, 6 tickets perdant pour la 649 de mercredi et un stand de formule 1 dédicacé par Jacques Villeneuve pour nous abriter de la pluie. C’est tout car il commence à manquer de place dans le chemin. Par contre il a pas de grinder et c’est justement ce dont on a besoin en ce moment. Ma chaine a une maille de cassée qu’on a retiré facilement. Par contre deux autres sont tellement tordues qu’elles embarquent plus sur le sprocket. Martin me semble souffrir d’un trouble de déficit de l’attention momentané. En effet il commence vaillamment par essayer de redresser les mailles tordues, puis de les briser, puis de les redresser, puis de les briser, puis de... KingZoo sacrifie ses démonte pneu et tournevis pour aider ma cause. Rinho et Martin ressortent leur lime et s’attaquent aux pins, mais sans trop de succès. Finalement, après deux heures on arrive à un consensus. Moi je me sentais plutôt mal de retenir tout le monde pour mon petit problème. On organise donc un petit shuffle des équipes. Bon, on va appeler notre équipe «lesswingers» d’abord. Touring31, Rinho, KingZoo, Clarence et moi-même on fait demi-tour vers le camp de bucherons et les autres continuent vers le lac Brûlé. Désolé j'ai pas pris de photos de tout ça...
  7. Billie, si tu cherche à te recycler, tu peux te mettre à l'écriture de guides touristiques tout de suite je te garantie du succès. Pis j'aimerais avoir ton talent pour la photo. Vraiment magnifiques tes images...
  8. Une fois passé l’inspection mécanique on se regroupe par équipe prêts pour s’aligner sur la ligne de départ. Le team jesaislenomencore: Notre leader, Touring31: Pierre, chrono en main relâche les premières équipes, puis vient notre tour. Martin, qui aura la lourde tâche de nous leader pour la journée (C’est lui qui a le GPS), est en avant sur la ligne. Le décompte commence, le stress est à son comble, nos mains droites sur les gaz, les moteurs rugissent. Sauf celui de la KTM qui avec moins de deux secondes avant notre départ décide de s’arrêter. Encore une idée pour un nom d’équipe : stallésurlalignededépart. Je pense rapidement qu’on devrait peut être laissé la ligne de départ à ceux qui sont en arrière mais Martin est plein de ressource et connaît bien son bike. En moins de 3 dixièmes de secondes il a fébrilement retiré ses gants sorti un tournevis de je ne sais pas où et visse-dévisse-ouvre-tort-revisse-serre-démonte-remonte-referme une couple de bébelles et son moteur repart enfin. Pierre nous fait signe de nous lancer et j’imagine les longues gerbes de sable que nous devons répandre en arrière de nous dans la furie de notre départ. On roule en fou sur un bon… 600 mètres!!!! Touring31 s’arrête soudain. Le GPS ne donne pas la trace mais du direct entre chaque waypoints. 600 mètres après le départ on est déjà perdu. C’est décidé je propose un nouveau nom d’équipe «perdusdèsledépart». Concertation autour du GPS: On fait demi-tour vers la ligne de départ pour demander notre chemin. Martin aura pas une job facile. Il s’en acquitte superbement. Il navigue très bien avec les indications qu’il a. On ne fait des demi-tours que deux ou trois fois pour rejoindre la track. En plus il doit prendre un rythme qui convienne à tous les membres de l’équipe. Notre groupe est très disparate. Niveaux de riders différents (Martin et Roger ont invités Clarence à se joindre à nous et c’est sa première grosse ride), motos très différentes, et conditions de terrain de plus en plus dures à cause de la pluie. Martin, merci et bravo tu es un leader exceptionnel. Bref on roule gentiment jusqu’au barrage. Là, une des équipes qui nous précédait est arrêtée. Pas pour admirer la vue! Rinho a un problème avec la transmission de sa GS. Il est en train de limer un morceau de métal. Touring 31 en bon samaritain sort aussi sa lime et les voilà tous les deux sur la rambarde au dessus du vide à limer en cœur. Ils se doutaient pas ni l’un, ni l’autre qu’ils allaient se retrouver dans la même situation plus tard dans la journée!!! Moi pendant ce temps là j’ai de quoi à faire. J’ai mis de l’air tout neuf dans mes pneus avant de partir et faut croire que l’air de Montréal est ben trop dur pour la trail. Je dessouffle mes deux pneus de 5 livres. Ça ira bien mieux après ça. Finalement l’équipe de Captain Crackpot arrive au barrage. Nous autres on repart alors vers le CP1. Jusqu’ici la majorité de la route est en asphalte avec des petites portions sur la gravelle. Le CP1 est au kilomètre 75. C’est bien prévu par Mox, comme ça les gars en KTM peuvent faire leur premier changement d’huile de la journée. Au check point numéro un, on décide tous de refaire le plein d’essence. L’équipe qui nous précède vient juste de partir il parait et au moment même où nous on décroche de là Captain Crackpot et son team arrive et nous disent que Rinho a réparé et son équipe est de nouveau en route. Bonne nouvelle, ça aurait été plate de pas pouvoir aller plus loin. Tous bien contents de cette nouvelle on repart vers la prochaine section de trail et là on reverra pas de surface pavée avant un méchant long bout… Cette portion entre le CP1 et CP2 est vraiment fun. Pas mal variée. Du sable dur, de la grosse roche, de la petite roche et des passages d’eau assez intéressants. Clarence qui en est à ses débuts fait une super bonne job. Sans doute impressionné par son premier passage à gué il décide que plus c’est vite plus c’est mieux et rentre dans l’eau full pin! Il soulève une telle vague qu’on dirait Moise ouvrant les eaux de la mer rouge. Clarence ouvrant les eaux de la flaque bouetteuse, de toute beauté. Deux résultats à son passage : 1) il est trempé jusqu’aux oreilles et 2) quand Roger traverse, toute l’eau que Clarence à soulevé a pas encore finie de retomber. On fait une pause après chaque difficulté de terrain et à un moment il y a comme deux éclairs, un bleu et un orange qui nous dépassent sur le chemin. Je crois que c’était des motos, dont une en wheelie, mais j’sus pas certain, ça allait trop vite! 11H15 on arrive pour le lunch. On se jette tous sur le plat de spagat après une bonne soupe bien chaude (sauf c.par.là qui se jette sur un grill cheese). Fait du bien ce bon lunch, et on sèche un peu avant de remettre ça pour l’après midi. Les équipes arrivent une par une et tout le monde a un super moral malgré la pluie incessante.
  9. Si un jour je fais le Paris-Dakar, je veux Frank MX dans mon véhicule d'assistance. En plus du café, il a même proposé de faire un boeuf bourguignon pendant qu'on réparait ma chaîne, c'est vraiment un gars ESSENTIEL sur une ride... Merci encore pour le mailles patentes (j'en parlerais dans le reste de mon RR...). Envoi moi un PM je t'en dois une (enfin deux!!!! )
  10. Je suis en train de penser : Elle est cute à mort cette fille là! J’ai les pieds trempés dans mes bottes et un sourire béat sur les lèvres (certains observateurs pourraient dire «sourire idiot», mais moi je préfère béat comme terme, c’est mon report, je dis ce que je veux). Elle s’appelle Geneviève, certainement la barmaid la plus cute que j’ai vu depuis un bout, je commence même à oublier les 3 pouces d’eau qui emplissent mes bottes, tout va bien. Mais je commence par le milieu, je me fais un trip Tarantino faut croire!!! Alors je recommence : Bip-bip-bip-bip-bip… c’est pas un cauchemar, c’est mon alarme qui sonne 5 heures. Enfin je crois que c’est 5 heures, mais comme je l’ai pas utilisé depuis l’hiver dernier elle est encore décalée d’une heure et elle sonne 4 heures en réalité, je m’en apercevrai le lendemain soir, pas étonnant que je sois le premier arrivé au camp de base. Gary m’a offert l’hospitalité pour le nuit et je suis en train de penser que je hais Mox et son %$&* de &%$&*%$ de ride. J’ai pas bien lu la première page du projet de ride de Mox. La prochaine fois que je fais une ride je fais sûr qu’elle part vers 11 heures du matin pas 7 heures. Le vrai départ en fait c’était la veille dans l’après midi. J’avais rendez vous avec mes coéquipiers de l’équipe jenesaispaslenomencore, Rolaro et Touring 31 chez Martin pour qu’on fasse la route ensemble. Eux leur bikes sur le trailer et moi qui suis sur ma moto. Bon, ça commence fort, le trafic du début d’après midi dans Montréal et pas mal pire que je croyais, j’arrive 30 minutes plus tard que prévu. On part aussitôt pour se coller dans plus de trafic. Voilà une idée pour un nom d’équipe : pognédansletrafic! Du coup j’ai le temps de penser. «Noooooooooooooon!» C’est le cri que je laisse échapper dans mon casque pour moi-même (et pour la madame dans le Rav 4 bleu de la file d’à côté qui sursaute en croyant que j’ai un grave problème). Malheur j’ai oublié de quoi qui pourrait nuire à ma santé physique et mentale et du coup à la réussite de mon équipe, j’ai pas mon Off régions sauvages! Je le revois sur le comptoir de la salle de bain en imitation marbre, près du chargeur de ma brosse à dent. Ouais ça part vraiment mal, me v’là à la merci des maragouins de l’Outaouais qui sont réputés pour leur férocité, cette ride sera vraiment dure je pressens. 150 mètres (et 45 minutes) plus tard, je m’aperçois que j’ai aussi oublié mes mailles patentes et links de spare pour ma chaine. Bon, ça c’est pas trop grave, des années que j’en traine partout et je les ai jamais utilisé, alors pas de stress. À peine deux heures plus tard j’ai un moment d’excitation intense, en effet je passe la deuxième vitesse! On dirait que ça commence à être un peu plus fluide sur la 15 Nord. On arrive plus ou moins à l’heure pour le briefing de Mox et du Furet. C’est là que je réalise à quel point c’est de la job préparer une ride, chapeau bas Mox. Une chose est certaine vous verrez jamais la rideanightflyer, ben trop de travail! Faudrait que je commence à prendre du ritalin tout de suite pour planifier un truc de même. Le reste de mes coéquipiers, Rolaro, Touring 31 et c-par-là son hébergés par Rinho et moi par Gary alors on split là et on se dit à demain. Un dodo avant la ride. Trop excité, j’ai du mal à trouver le sommeil… Le jour se lève à peine, Gary et moi on se prépare pour le départ.
  11. Mox et ses chums (et sa charmante conjointe) ont fait une job exceptionnelle pour préparer cette ride, un gros merci à eux, c'est une organisation impeccable qu'ils nous ont offerte . Le concept du style P2D est vraiment un bon modèle pour ce genre de ride... Merci encore aux ridaventuriers qui m'ont aidé sur le chemin. J'vais arrêter les merci là sinon ça va ressembler à la soirée des Oscars là (ben, enfin merci à mes team mates quand même...) J'ai hâte de rouler de nouveau avec tous les maniaques que j'ai vu en fin de semaine, on a vraiment eu du fun malgré la pluie...
  12. bravo Serge, à toi et à ta blonde... Beau petit voyage, oublier pas de nous dire si la famille s'agrandie!!!!!!
  13. Je vous souhaite aussi un superbe voyage... Je vais vous suivre avec intérêt, c'est un trip que j'aimerais bien faire. Soyez prudents...
  14. nightflyer

    Paris Dacre

    Félicitations à toutes et tous pour avoir participé, et surtout bon rétablissement à Falco... C'est vraiment une superbe épreuve, j'aimerais la faire aussi un de ces jours! Bon moi je commence à me motiver tout de suite pour l'an prochain, comme Stou je suis pas trop du style à me lever tôt le matin non plus...
  15. Bonjour à tous, Je ne peux pas vraiment comparer mon voyage avec l'aventure de Gilles avec mes 14 pays, 30 000 kilomètres en 6 mois (en une semaine!!!). J'ai bien essayer de vendre mon corps, mais sans succès , et téléphoner à ma mère pour qu'elle m'envoit du cash n'a fonctionné qu'une fois. Mais la clef de tout voyage c'est qu'il faut vouloir le faire pour pouvoir le faire. Pour moi perdre ma job a été le déclencheur. J'ai vendu mon char, mon autre moto et toutes les bébelles qui encombraient plus qu'autre chose mais dont on nous fait croire qu'elles sont essentielles. Puis Gilles le dit lui même, il prépare ce voyage depuis les années 80. On a comparé nos budgets quand on c'est rencontrés en Patagonie, et moi qui me croyais frugal je dois dire qu'à côté de lui je dépense autant qu'Oprah en vacances à Dubaï avec Bill Gates. C'est peut-être pour cela que lui a perdu 15 livres et moi j'en ai pris 13 La réponse à ta grande question AirOne, chacun la trouve quand il est prêt, j'ai rencontré autant de voyageurs qu'il y a de moyen de vivre dans ce genre de voyage et toutes les solutions que tu cites en font parties... Désolé je veux pas paraître philosophe, mais je crois que comme dit plus haut dans ce fil par GlobalRider, il est plus facile qu'avant de faire ce genre de trip...
  16. Stou, tu n'as pas tort. Voici les statistiques officielles. Pour chaque 2,6 jours de voyage j'ai eu un jour où j'ai été immobilisé par une panne sur la moto. C'est la moins fiable de toutes celles que j'ai eu. Oui, ça bousille un peu le plaisir, mais j'arrive pas à regretter pareil. Va savoir ce qui me serait arrivé avec une autre moto, pis ça m'a au moins permis des belles rencontres...
  17. Désolé de vous avoir laissé sans nouvelles. Pas grand chose à rapporter. J'avais fait envoyer mon moteur refaire à Bahia Blanca. Il est revenu au bout de 23 jours (au lieu de 4!!!!!!!!). Avec les mauvaises soupapes... Après des négociations assez vives, le propriétaire du garage qui a ma moto en otage a accepté de commander des soupapes d'origine chez Yamaha et de payer pour les frais, ainsi que pour mon hôtel. Yamaha à promis un service «overnight», c'était il y a plus de deux semaines. Hier j'ai appris que le colis n'avait pas encore quitté Buenos Aires. Je me demande comment un pays peut fonctionner comme ça. Il y a depuis deux semaines un américain qui attend un shock de rechange pour sa BM, le morceau est arrivé en Argentine en deux jours et est bloqué à Buenos Aires depuis. Incroyable!!! Je suis de toute façon à cours de cash et je rentre à Montréal très bientôt, je compte récupérer la Ténéré et la shipper par bateau dès que possible. Merci de m'avoir suivi, on se verra sur les pistes du Québec, bon début de saison à tous...
  18. Brian, merci pour ta réponse à ma question sur un forum anglophone. Dommage que nos routes de se soient pas croisées, bon retour à vous deux, Yannick
  19. Bonjour à tous et à toutes, de Cuenca en Équateur je tiens à souhaiter à tous les membres du forum une bonne et heureuse année 2010. Plus particulièrement à ceux d'entre vous qui m'ont dit que le voyage vers Ushuaia était leur rêve. J'en suis à peine à la moitié, mais je sais déjà que c'est une des expériences les plus fantastiques que vous vivrez avec votre moto, alors je vous souhaite de réaliser ce rêve. Bonne année, Yannick http://45nord54sud.blogspot.com/
  20. Merci à tous pour vos bons mots, ça fait très plaisir à lire. Runwolf, tu lis dans mes pensées. J'ai réalisé que je pouvais pas rester sans bouger deux semaines Je planifie sauter dans un greyhound d'ici un ou deux jours. Pour où? je le sais pas encore.... Merci encore de votre soutien moral Nightlfyer, voyageur (temporairement) immobile...
  21. Bonjour à toutes et tous, moi aussi je voulais y aller, ben c'est fait je suis parti vers la Terre de Feu, j'sus pas rendu par contre... J'ai commencé mon blog, et je ne pense pas passer trop de temps sur les forums pendant mon voyage, alors en voici l'adresse : http://45nord54sud.blogspot.com/ Si vous avez encore 5 minutes de libres et le goût de suivre un de plus qui part vers le sud, je vous invite à y faire un tour. Mes excuses à ceux d'entre vous que j'avais rencontré un mardi soir à Laval et promis que je repasserai dès que je serais prêt pour le voyage, mais je ne pensais pas n'être prêt que quelques heures avant mon départ J'espère que ma moto et moi reviendrons assez en forme pour rider avec vous l'été prochain. Bonne fin de saison à vous tous...
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