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Messieurs, nous pouvons le reconstruire. Nous en avons la possibilité technique. Nous sommes capables de donner naissance au premier motard bio-ionique Touring 31 deviendra cet homme. Il sera supérieur a ce qu'il était avant l'accident. Le plus fort, le plus rapide, en un mot, le meilleur. Meilleurs voeux de rétablissement Martin et bon courage à vous deux...
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Sauvage le dromadaire? Après avoir été utilisés pendant la guerre de sécession et pour les travaux du chemins de fer tous les dromadaires américains qui n'ont pas été vendus à des cirques ont été mis en liberté en Arizona (si je me souviens bien!). Ils ne se sont pas acclimatés et le dernier sondage officiel en comptait 26 ou quelque chose du genre dans la première moitié du XXeme siècle, ils se seraient par la suite éteints complétement, mais c'est peut-être encore une légende...
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Merci, j'attends toujours que Marat me email ses photos, je les ajouterais si je les reçois un jour C'est le problème de la relativité et de la verdure de l'herbe du voisin... la Tuque ça ferait changement pour pas mal de gens du Kazakhstan! moi aussi, d'ailleurs j'aimerais avoir plus l'occasion d'aller rider dans ce coin du Québec, mais ça fait loin!
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Bon, vu que je sais pas utiliser google earth, je me suis dit que c'était plus facile de prendre une photo vue du ciel!!!! À l'arrière plan on voit le réservoir Kapshagay, de là la rivière illy qui disparait dans le coin gauche. On peut voir la piste de sable que nous avons empruntée sur le côté droit de la photo et bien sûr les collines qui nous ont tant fait transpirer sur les bords de l'eau....
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De cet album: Kapshagay
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Bravo Yannick (chanceux d'avoir un prénom pareil!), superbe site et magnifiques photos, l'idée est excellente et tu as beaucoup d'énergie pour partager ta passion (peut on ressentir une vague envie ici???) . Peut-être qu'une relecture des articles te permettrais d'éliminer pas mal de coquilles et erreurs de frappe (surtout dans la rubrique «où aller?», cela ferait plus professionnel (enfin c'est mon opinion et je la partage entièrement mais je suis pas plus représentatif que ça!!!). Encore bravo et bon voyage en Sud Am... Yannick
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Merci Thierry, on se voit pour en parler dans deux semaines! Merci! mmmm! pour les photos de la page 1, je ne sais pas, moi je peux les voir, suis-je le seul???? Pour le budget, faut viser assez haut car je me disperse un peu et ça fini par coûter... le Kazakhztan est assez dispendieux et il y a toutes les tentations à moins d'une heure de la ville, ski, vélo de montagne, etc. Pis tranquille en plus, on est juste 4 sur les pistes... entre le désert et la haute montagne, 1600 mètres d'altitude, parfait pour le vélo!
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Sur la rivière une toute petite île, je j,appellais aussitôt l'île aux vaches. On s’en sort et de nouveau on se dirige vers la plaine et les longues lignes droites de sable. Petite frayeur sur un saut. J’ai vu la grosse bosse au dernier moment dissimulée par le nuage de sable soulevé par la Ténéré, ça allait vite, sans doute autour de 100. Joli saut bien effectué, atterrissage bien contrôlé dans le sable profond mais en un instant ça part en vrille! Les suspensions arrivent à leur maximum, l’avant touche, l’arrière aussi et là, surprise, ça commence à rebondir. Une fois, deux fois, trois fois… le guidon envoi des coups secs de droite à gauche (et de gauche à droite pour ceux qui se posent la question!), appeler moi captain kangourou!!!! Par réflexe je me mets vers l’arrière et je tiens la poignée de gaz ouverte! Ça fini par se calmer et je reprends le contrôle de la trajectoire. Les derniers kilomètres de sable, je les fais un peu moins vite, j’avoue! (pour ménager la moto, bien sûr!!!) On rejoint les bords du réservoir pour un lunch tardif avec vue sur le lac et les montagnes qui semblent suspendues dans les airs. Sans doute cette illusion d’optique est à l’origine de la légende locale qui veut que les montagnes n’étaient pas attachées à la terre et volaient en se posant des fois n’importe où, écrasant sans discernement gens, chevaux et yourtes. Un souverain chargea des archers de tirer sur les montagnes qui passaient à portée avec des flèches reliées à des cordes et de les attacher au sol pour éviter les dégâts. Notez au fond les montagnes Tian Shan, comme suspendues dans le ciel Oskar qui doit rejoindre son épouse pour le souper s’il veut rider la fin de semaine prochaine (les problèmes sont le mêmes partout sur la planète, si ça peut rassurer les hommes mariés du forum!), nous quitte ici. Marat en moi on part rouler de l’autre côté de la rivière. C’est très différent, un plateau surplombant la plaine où nous étions le matin même. Des pistes sablonneuses sur un tapis de mousse et de buissons odoriférants. On aperçoit quelques nomades à cheval avec leur troupeau de moutons, parcourant les plaines à la recherche de verdure pour leurs bêtes. Puis le soleil baissant vite nous rejoignons la route d’Almaty pour arriver avant la nuit. À 21 heures je sortais de la douche, débarrassé d’une bonne couche de poussière et heureux d’une journée de moto magnifique de 310 kilomètres. Le temps parfait pour aller manger sur une terrasse du centre-ville et fumer la shisha en rêvant que je ferais bientôt la route de la soie au complet… enfin peut-être.
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De cet album: Kapshagay
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Je suis un de tes lecteurs assidus et il me semble que ce n'est pas l'énergie qui te manque. Bravo pour ton compte rendu de voyage Kio.
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