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xpower99

RidAventurier
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Toute les publications en date du xpower99

  1. Jour6 Pluie merdique ce matin, qu'importe je suis confiant que ça va s'améliorer au courant de la matinée. Je rempli mon réservoir ainsi que mon 10 litres supplémentaire de super sans plomb à un prix exorbitant et hop je suis parti vers le sud en direction de la TransTaïga. Petit arrêt à l'aéroport de LG2 à 30 km au sud histoire d'avoir le plus de pétrole possible et horreur! Mon bidon de 10 litres est tombé en chemin ! Évidemment je fais demi-tour et après 4 à 5 km il est là au bord de la route troué à cause de l'impact et le bouchon est introuvable. Désastre écologique et économique. Pas vraiment le choix de retourner à Radisson pour en acheter un autre. Ça commence mal la journée et espérons que ce n’est pas annonciateur d'une journée de merde. Impossible de trouver un 10 litres, j'achète un 5, c'est mieux que rien et ça devrais suffire. J'enfourche la moto et je me dis de c'est la dernière fois que je vois Radisson pour un bout de temps. Arrivé à la jonction de la TransTaïga, petite pause et je me dis en moi-même, ici pas de place aux conneries ni à l'improvisation. J'ai le même sentiment qu'à l'époque que j'étais apprenti motocycliste tout nerveux et je me disais d'être prudent. Étrange sentiment de nervosité, d'anxiété même un drôle de goût dans la bouche. Après toutes les histoires lus et entendus à propos de la TransTaïga, cette route est mythique. J'ai la conviction de m'attaquer à quelque chose de gros, énorme même. Je me rassure en me disant que je n’ai absolument rien à prouver et que je peux faire demi-tour n'importe quand et je ne m'en porterais pas plus mal. C'est facile; on s'arrête, je braque le guidon à gauche et un petit virage de 180 degrés tout lentement et le tour est joué... tout le monde connais ça ! Assez de remises en questions, j'enfourche l'engin et go ! Les conditions sont bonnes malgré le crachin qui s'arrête et recommence à tout moment. 70km/h. 80 km/h et tout est bon malgré que j'exploite la technique à Socrate qui dit 10 km/h sous la vitesse qu'on roulerait normalement et j'approuve à 100%. 45 minutes après je dois m'arrêter, la pluie est diluvienne et j'ai de la difficulté à bien voir devant moi et la bande de roulement au centre de la route est maintenant une rivière de savon tellement c'est glissant. Ça "sent" l'accident à plein nez et je préfère prendre une pause. 2 véhicules sont passés alors que j'attendais et ils n'ont jamais ralentit, bizarre me dis-je, ce n’est pas comme sur la Trans- Labrador ou tout le monde ralentissaient pour s'assurer que tout est ok et on n'a qu'à lever le pouce en l'air et les gens nous envoient la main. J'ai l'impression que c'est parce qu'on est au Québec... Société distincte sans doute. Enfin la météo s'améliore et je peux repartir en sécurité. La vitesse monte à mesure que la chaussé s'assèche et les conditions deviennent franchement excellentes avec le beau soleil qui s'installe pour de bon. Je dois faire attention, la route a toujours des pièges, spécialement dans les virages ou la garnottes est plus molle et aussi lors des virages à gauche en aveugle, même si il n'y a pratiquement personne sur la route (vu 5 véhicules aujourd'hui) il faut se méfier et reprendre la droite. Juste après une petite montée, quelque chose attire mon attention sur le bord de la route, c'est à 100 mètres devant mais j'applique les freins doucement, merde une meute de loup ! Des LOUPS !!!! Tous se sauvent dans les arbustes mais un seul reste comme pour me défier, le chef sans doute (?) j'ai le temps d'attraper mon appareil photo et de faire quelques clichés comme preuve. Ouf, ça c'est des émotions. La fin de journée approche et la fatigue arrive, j'arrête à la pourvoirie Nouchimi pour y manger et dormir. La pourvoirie Mirage est à 75 km plus loin mais je suis fatigué de rouler. Ici c'est le calme plat, une bande de géologues sont basés ici pour l'été ainsi qu'une bande d'africains (!!!) qui joues au foot dans le stationnement. Ils me racontent qu'ils sont travailleurs saisonnier, ils font du défrichage dans les lignes d'hydro Québec. Disons que je ne m’attendais pas à rencontrer des types comme ça ici au bout de nulle part. Difficile comme travail mais ils finissent toujours leur journées en jouant au foot lorsque la météo veut bien. Ils déjeunent à 5:30 et ils sont partis à 6:00. Personnel hyper sympathiques ici et ils sont pas mal surpris de voir un type arriver ici en moto. Étoiles filantes au menu de fin de soirée. A demain.
  2. Jour5 Grasse matinée, petit dej et ballade à pied au kiosque d'information touristique ainsi que la rencontre d'un cycliste bizarre que j'ai croisé hier sur la Route de la Baie James. Le gars est parti de Montréal il y à 5 jours (ouf, difficile à croire) et cherche maintenant un transport pour redescendre chez lui. Il ignorait qu'il n'y a rien ici à part l'avion, alors il s 'est mis à faire du stop avec son vélo à la sortie du village... J'ai appris en fin de journée qu'il s'est acheté un billet d'avion a 1000$ et à pu repartir en soirée. Profité de la générosité de Hydro Québec pour effectuer la visite guidée (gratuit) des installations LG2 avec transport en gros autocar climatisé et guide. WOW tout ici est géant ! Je peut dire que ça en valait la peine, spécialement la centrale LG2 souterraine qui à plus de 1/2 kilomètre de long. Rencontré 2 gars de New York en GS1200, profité de leurs expériences tout en sirotant une petite bière sur la terasse de l'hôtel. Ici c'est pas long qu'on connait tout le monde, même revu le couple de Morin Height que j'ai connu à la halte Eastmain il y a 2 jours. En fin de soirée à l'hôtel alors que j'écoutait un film ridicule à la télé, l'électricité a tombé... Dans la ville la plus électrique au monde... ça fait bizarre. Demain cap au sud avec un virage à 90 degrés à gauche au km 544 pour la TransTaïga. Aujourd'hui ce fut une petite journée mais les choses vont rapidement changer.
  3. Ouais, surtout que vous n'avez pas été chanceux côté météo. Un vrai beau voyage et c'est grâce à toi Socrate et à ta gang que j'ai pu y aller. Sans votre expérience, ça n'aurait pas été possible
  4. Soit pas inquiet Kio, j'ai des photos où il y a un vrai "troupeau" mais c'était pas si pire que ça.
  5. Ouais, disons que lorsqu'il est plein il faut s'assurer que le filet est bien en place. J'ai aussi mis un petit tapis sur le top case pour empêcher celui-ci de bouger mais c'étais plus ou moin efficace. En fait c'est 2 filets que j'ai attachés ensemble. Un seul filet étais insuffisant.
  6. Pas de track GPS, j'ai ai un mais en ce qui concerne un voyage à la Baie James, c'est très simple, la route de la Baie James, route du nord, TransTaïga bref impossible de se tromper là-bas. Merci 12bong13 pour les bons mots.
  7. Jour4 Petit déjeuner au km 381 à une douzaine de km vers le sud et plein d'essence et cap vers le nord pour Radisson. La route de la baie James est parfaite. Longues courbes et aucune pentes abruptes, la chaussé est sans trous ni rainures et il n'y a pas d'ornières laissé par les poids lourds, elle a été construite spécifiquement pour le transport des matériaux lourd de la Baie James. La vitesse ne pose pas de problème et je n’ai pas vu de police, suis pas certain qu'ils s'amusent à faire du radar dans les environs. Radisson me voilà, enregistrement à l'hôtel et ballade en "ville" histoire de me familiariser avec les environs et placotage avec la fille de la Sureté du Québec au coin de la rue. Elle m'a même donnée un lift jusqu'à l'hôtel a bord de son gros Suberban de la SQ, je préfère être assis sur le siège du passager que sur la banquette arrière dans une voiture de police. Ici on peut affirmer que le stress, ils laissent ça aux gens du sud. C'est une des raisons premières qui amène les gens ici ainsi que le plein air. Puisqu'il est tôt dans la journée, je fais le plein et hop vers Chissasibi. Petit arrêt au barrage LG1 sur la rivière La Grande et un magnifique coyote me regarde d'un drôle d'air alors que je remonte sur ma moto ! Première fois que j'en voie un. Arrivé en vue de Chissasibi je décide de continuer mon chemin pour me rendre à l'île de Fort George, qui est l'ancien site du village avant que le gouvernement le déménage sur le site actuel en 1982. Arrivé au petit traversier, une foule de gens sont sur place avec leurs gros pickups. Je m'informe du pourquoi cette foule moi qui pensais que le site serait désert puisque l'île est pratiquement inhabitée. C'est un festival culturel qui dure 1 semaine pour commémorer justement le déménagement de 1982 et tous se retrouvent sur leurs anciennes terres pour pique-niquer et manger de la nourriture traditionnel et faire un gros Pow wow en quelques sortes. J'ai laissé la moto sur le continent et j'ai fait le tour de l'ile en compagnie de Yannick, prospecteur qui parle le cri parfaitement. Disons que je faisais contraste moi habillé de grosses bottes de moto et pantalon blindé au travers de tous ces autochtones qui me demandaient si j'étais perdus... sourires assurés. Disons que les blancs sont minoritaires ici. Petit tour ensuite à la Baie James quelques kilomètres plus loin m'assurer que l'eau est bien salé et faire quelques clichés. Magnifique endroit qui m'a toujours fait rêver d'y mettre les pieds, c'est enfin mission accompli. Un petit 100 km pour le retour à Radisson, un 5 à 7 au bar de la place, soupé avec 2 Américains du New Jersey en BMW GS1200 et dodo.
  8. Pas de gros nuages de moustiques sur la Eastmain, probablement parce que j'y étais plus tard en saison où la chance ? Anyway il y avait pas assez de bibites pour que ce soit un réel problème, j'ai mis mon filet antimoustique qu'une seule fois et s'est sur la TransTaïga. Pour la baignade, c'était plus loin dans le nord que je me suis saucé et l'eau était très bonne !
  9. Jour 3 Départ à 9:30h, grasse matinée oblige, je me dis que la route sera meilleur aujourd'hui grâce aux infos que les américains m'ont donnés. Effectivement tout est super, la vitesse est correcte et je peux admirer le spectaculaire paysage en route et je prends beaucoup de photos. Un chauffeur de fardier s'est même arrêté pour s'informer si tout est correct alors que je prenais une pause, s'ensuivi une discussion des plus intéressante avec ce gars du lac St-Jean. Arrivé à Nemiscau, arrêt obligé et jasette avec des gars d'hydro Québec alors qu'on attend la fille de la station d'essence partie diner. Un p'tit café et discussions avec des Cries toujours souriants et je suis prêt à repartir. Sous les recommandations de Cowdoc, j'ai tenté ma chance à la barrière pour accéder à la route d'hydro Québec normalement interdite au public. Le gardien voyant ma moto tout équipé et surtout les pneus avec des gros crampons m'a donné le feu vert en me faisant jurer d'être prudent lors des croisements avec des fardiers. Oui monsieur et hop c'est parti en direction franc nord pour le barrage de la centrale Eastmain. Puisque cette route n'est pas géré par le ministère des transports, la signalisation est pratiquement absente et j'ai manqué un embranchement, pas grave ça m'a permis de passer sur l'évacuateur d'eau juste après la centrale, spectaculaire ! Ici on peut dire que l'air est chargé d'électricité tellement il y a des lignes de transport d'énergie. Finalement je rejoins la route de la Baie James en fin d'après-midi et je me rends à la halte routière de la rivière Eastmain à 1 km vers le sud. Établi mes quartiers pour la nuit sur le bord de la rivière en compagnie d'un couple de Morin Height. Nuit sans histoire mis à part les orages et la tente détrempé au petit matin.
  10. Jour 2: Départ après un bon p'tit déjeuner en direction de Chibougamau par la grande route asphalté, pas de trail de 4 roues aujourd'hui, j'ai assez donné hier. Route sans histoire, un petit 2 heures à 100 km/h qui fait contraste avec hier. Je sens maintenant que je monte dans le nord avec la forêt à perte de vue et les épinettes qui défilent le long de la route. Arrivé à Chibougamau, drôle d'ambiance sur la rue principale; on entend la radio locale diffusée dehors, bizarre... Surtout quand on entend des publicités. Un p'tit café et un tour au garage au centre-ville pour le plein d'essence et un extra de sécurité parce que je prends la Route du Nord. J'ai envie de me rendre à Nemiscau mais ce n’est pas un un objectif absolu, je me dis on verra, de plus je suis autonome pour la bouffe et le dodo. La route commence dans des conditions parfaite mais je ne suis pas pressé; 80km/h 90 km/h et tout est parfait dans le meilleur des monde... trop beau pour être vrai... j'ai vécu l'horreur... a environ au km 50, la surface (en garnotte pour ceux qui se demande) a commencé à être difficile. La bande de roulement en dur, donc facilement navigable est dans le centre de la route, lorsque un immense fardier arrive, il faut se "tasser" à droite, il n'y a pas de négociation possible, Tu te tires de là au plus sacrant et c'est mou... Très mou.... vraiment mou... tellement que la moto tangue de tous les côtés en attendant que le monstre soit passé. Un peu plus loin que vois-je au loin ? Un grader (niveleuse ) qui étend une belle couche de gentille gravelle toute molle tout partout. . Inutile d'expliquer que ce n’est pas le temps d'envoyer des bye bye aux camionneurs lorsque je les croise, je tiens le guidon à deux mains et les yeux sont ouverts au maximums tellement que j'en ai mal aux sourcils. Inutile de dire que les jolies pointes de vitesses des débuts se sont réduits comme peau de chagrin... Je roule a 50 au max et je suis obligé d'arrêter quand un fardier arrive même que je ferme le moteur lorsque j'ai le temps histoire de préserver mon filtre à air tellement la poussière est intense. A un certain moment j'aperçois au loin la surface de la route avec une couleur différente, ça ressemble à un jolie brun pâle je dirais même couleur or ! Excellent me dis-je, ça ne peut qu'être mieux qu'ici, c'est déjà l'enfer....... erreur.... oui l'avez deviné; si il y a un enfer sur terre c'est exactement là, la chaussé a 3-4 bon pouces de mou partout sur toute la largeur et la seule trace que je pourrais qualifier de "roulable" ressemble à une trace de ski au petit matin après une tempête de neige. Inutile de vous dire comment c'est "agréable" de devoir "sauter" en dehors de cette trace lorsqu’un camion arrive... Imaginez un gros V-strom 1000 chargé à plein avec un bidon de 10 litres d'essence sur le top case... Un éclair de génie m'a traversé l'esprit après cette route et quelques (!) frayeurs, je tire la plug et je pique ma tente à la première halte routière que je rencontre. Dure fut les 30 km qui me séparaient de la halte de la rivière Broadback, mais je me suis rendu en un seul morceau. 132 km seulement de fait sur la Route du Nord mais je suis lessivé et j'ai envie de dormir. A peine terminé de monter ma tente qu'un groupe de 3 motocyclistes arrivent. Il s'agit de 3 américains de Géorgie qui arrivent de Nemiscau. Ils s’arrêtent pour la nuit et s'installent à côté de ma tente. On a passé une agréable soirée à discuter et la nuit fut la bienvenue.
  11. La Baie James est populaire cette année ! Alors j'en rajoute. C'est mon ''ride report'' de mes aventures dans le nord. enjoy ! Jour 1 Départ de Québec en direction de La Tuque. L'habit de pluie est de mise aux petites heures du matin. Arrivé à St-Tite, je peux enfin retirer ces inconfortables habits et je peux rouler à mon aise. Petit lunch a La Tuque et puisque les conditions sont bonnes; je prends le pont pour traverser la St-Maurice et allez hop dans les superbes chemins forestiers. 80-90 km/h et plus si on veut tellement la route est belle mais je me retiens. Une chose que je me suis juré avant de partir étais de rouler sécuritaire et j'y tiens mordicus. Pas vraiment envie de me retrouver dans le trouble. Après environ 1 hre merde, je ne suis pas le chemin indiqué sur le GPS, j'ai manqué la fourche il y a 4-5 km... Retour et j'emprunte un chemin de 4 roues que le GPS indique. Correct dans les premiers km mais ça se gâte après, chemin très étroit et bonnes montées ainsi que des descentes abruptes. Aucun problème en temps normal mais avec la moto chargé comme un mulet, je n’aime pas vraiment ça. Allez hop on continue et advienne que pourra mais je reste hyper concentré. Quelques km ou rien n'es à signaler arrive une bonne montée, arrivé au sommet une petite voix dans mon casque me dit de faire gaffe... la descente immédiatement après le sommet est une véritable plage du Maine... du sable partout. Disons que la descente à été ardue avec les yeux gros comme des pièces de 2 dollars. Les paysages sont à couper le souffle avec la belle température mais je commence à être vraiment fatigué avec ce chemin difficile. Une chance que c'est sec, Cowdoc m'avais déconseillé de passer par là par temps de pluie.... mil mercis du conseil, tu as foutement raison. Petite pause à Roberval pour quelques emplettes et j'apprends que c'est le diner annuel dans les rues du centre-ville. La municipalité organise cet évènement depuis quelques années et c'est un immense succès mais tout est loué en ville, il ne reste aucune chambre de libre. A cela qui tienne, je me rabats sur St-Félicien où je trouve probablement la dernière place de libre, enfin parce que je suis très fatigué. Bonne bouffe dans un pub sympathique du village et dodo.
  12. Excellent récit et que dire des photos! J'ai l'impression de revivre notre voyage de l'an dernier. Merci pour le ride report.
  13. Ouf, toute une aventure Daniel (Cowdoc), je suis très heureux que tes blessures soient superficielles si je peut m'exprimer ainsi. Soigne tes plaies et revient nous en pleine forme. J'ai hâte de te revoir avec ton éternel sourire !
  14. Ouf je suis inquiet !!! La moto de Cowdoc ne bouge plus depuis 11.34h aujourd'hui et celle de Jacques-GS est de retour vers Mirage sans s'être rendue à Caniapiscau ........ Ça sent pas bon merde !!!!! ou j'ai manqué quelque chose. Éclairez-moi svp si vous savez quelque chose !
  15. Superbes images ! C'est invitant comme terrain de jeu, quelqu'un a une trace GPS de ces chemins ?
  16. Les chemins de garnottes sont légion dans la région, viens donc faire un tour au Tim Hortons coin Hamel et autoroute Henri4 juste à coté du restaurent Le Biftèque mardi soir. On va pouvoir mettre un visage sur ton nic name. Autant plus quelqu'un avec un gros Vstrom, on aimes ça! La preuve, j'en ai un.... Sois le bienvenue dans la gang !
  17. Salut Gros Buck, va voir Daniel Desjardins à Shannon. Il m'a fait une belle job ce printemps pour mon rack à bagages de ma VStrom. Beau bon et pas cher, en plus il est motocycliste. 418 922-3412
  18. xpower99

    tank bag

    Salut Frank950r, question: aimanté le sac, vendu?, de quelle région tu viens ? Combien de litre Merci
  19. Les examinateurs de la SAAQ ont 2 ou 3 trajets possibles pour les examens moto. Un truc que j'ai fait avant mon examen; je me suis stationné dans le parking de la SAAQ rue St-Jean Batiste et j'ai suivi (discrètement bien sur) un fonctionnaire qui faisait passer un exament à un motard. Faut pas montrer que tu les suient, le type ne te trouverait pas drôle.... Comme dit Kingzoo, faut rester relax, ses conseils sont judicieux et je rajouterais qu'il faut que tu te fasse aller la tête, je veut dire par là que tu dois tourner la tête à chaque fois que tu fait une manoeuvre de changement de voie, départ, virage.... bref tout le temps.... l'examinateur va te le dire avant l'examen. L'examen est sévère mais correct, il note TOUT, il va vérifier ta moto avant l'examen. Si il y a quelque chose de pas ''légale'' bye bye examen, tu retourne chez toi. Vérifie ton claxon avant; il doit fonctionner... les clignotants.... lumière et arrive pas en short et en gougounne, tu dois avoir une protection pour les yeux: lunettes ou visière sur le casque. Good luck et arrive relax !!!
  20. Méchante belle gang ce soir. On a pu admirer la superbe strom 1000 de yvesv avec moin de 200 km au compteur !
  21. Avec un sourire comme ça, la saison va être bonne !
  22. A mon tour d'en ajouter quelques unes.
  23. xpower99

    test

    test
  24. A mon tour d'ajouter quelques images de cette belle journée. Le maître à l'oeuvre Une tite frette sur la terasse de DakarElle en finissant la journée
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