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Corbeau

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Toute les publications en date du Corbeau

  1. La réflexion... J'ai eu l'occasion de réfléchir pas mal, tout au long de cette aventure... Il ne faut pas le cacher, il y a des moment où je m'ennuyait sérieusement de ma VFR et de chemins sinueux de la Caroline du nord au bitume parfait... Mais il y a aussi eu d'autres moments où j'avais un large sourire à l'intérieur de mon casque, des moments forts plaisants, des petites victoires savourées. Mes plus grandes interrogations se situent au niveau de ma monture, avec laquelle je ne fais pas encore "un". Pleine d'essence, elle est assez pesante merci et je n'ai pas encore acquis la technique pour la relever seul. (Oui, je sais qu'il y a des videos sur YouTube de petites madames de 5'3" qui relèvent des GS. OK, disons une GS à la fois...) Plus que le poids de la moto, c'est surtout sa hauteur qui me donne des pensées négatives. En ville, à une lumière rouge aucun problème à glisser une fesse sur le côté pour mettre le pied gauche à plat -- quoi que j'ai l'air de ça: En roulant, quelque soit la surface, assis sur le siège ou debout sur les repose pied, aucun problème, évidemment. C'est quand les choses se corsent, où ceux qui ont plus de jambes que moi peuvent toucher à terre pour remettre la moto en équilibre, que c'est pas mal plus rushant.... Moi, quand j'essaie ça, le pied touche de l'air et quand le contact se fait avec le sol, il est trop tard parce que la moto est trop inclinée. John et Ryan m'ont dit que je n'avais pas le choix que de devenir un expert en contrôle de la moto debout sur les repose-pieds, pour compenser... Pire que ça, si la béquille latérale s'enfonce d'un ou deux pouces dans le sol, il me manque de force (et de longueur...) dans la jambe gauche pour redresser la moto à la verticale avant de décoller. Ça s'en vient plate de demander à ses chums une tite poussée sur la moto pour que je puisse partir... Oui, je pourrais sans doute rabaisser la moto d'un pouce, un pouce et demi avec des Kouba links, mais je me demande si, en terrain plus technique, la différence ne serait que marginale. C'est évident qu'un cours MXPro niveau 1 (et 2 par la suite) est de mise pour moi en 2015. La grande question -- parce que manier un 640 pour un débutant, c'est de l'ouvrage -- est «Est-ce que je garde la KTM ou est ce que je la vends, un peu à perte, pour me trouver quelque chose de plus léger pour mieux apprendre, comme un DRZ ou un petit CRF L...» Encore très indécis à ce sujet, quand je regarde mon orange stationnée dans le garage... Je maudit également la génétique et me demande bien comment Gaston Rahier y pensait...
  2. Jour 2: (Tracé GPX moins intéressant, mais téléchargeable ici.) La vue du Lac Brûlé: C'est drôle, mais en m'endormant dans un lit aux ressorts où il manquait de précontrainte, j'avais l'impression que mon derrière se balançait à gauche et à droite, comme quant la moto roulait -- dans le sens de "bateau" -- dans la bouette... À moins que ça soir la caisse de Coors Light qu'on avait réservée auprès de l'aubergiste... On s'en était parlé un peu la veille, en soupant, sachant que la section de la deuxième journée, vers Rapide des Joachims, était encore plus sablonneuse que celle de la première: peut-être ça serait une meilleure idée de sortir du bois au plus vite et retrouver l'asphalte. Après le déjeuner, Ryan propose de ne pas suivre le tracé pour Swisha (c'est ainsi que les anglais prononcent "Joachim"...) mais plutôt par des chemins de graviers principaux. J'ai été honnête avec mes deux coach, leur disant que j'avais ma journée d'hier dans le corps et préfèrerais faire moins de 100 km de garnotte pour rejoindre la 117. Voyant le thermomètre qui bougeait pas de ses 8 degrés, mes mentors ont été d'accord avec mon option. (Surtout qu'ils n'étaient pas habillés aussi chaudement que moi...) 3.8 km plus tard, nous sommes sur la 20, celle qui donne sur les chutes du Lac Roland, dans le parc. J'appelle cette route une autoroute (comme l'autre 20) de garnotte: à ce temps-ci de l'année, elle est bien tapée et superbement entretenue -- quoi qu'il faille faire attention aux côtés, victimes de l'érosion par l'eau. J'ai eu un plaisir fou sur cette route, à rouler 80, 90 km/h, un peu plus lentement dans les courbes. Ryan et John étaient devant moi et leurs pneus laissaient de belles traces dans le gravier, souvent espacées de 3 ou 4 pieds. J'ai inventé un jeu où je devais placer mes pneus entre leur traces, tout en regardant loin en avant... Grosse, grosse satisfaction, beaucoup, beaucoup moins tendu sur la moto, bref, bien plus à l'aise. Arrivés à l'asphalte, je suis fier de dire que je n'ai pas fait ceci: Mais j'étais quand même heureux de savoir que j'étais à 200 km de la maison, que la surface bitumé me donnerait une adhérence prévisible et sans surprises pour les quelques heures suivantes... Rien de trop intéressant à écrire à propos de la 105, entre Grand-Remous et Gatineau. Il ventait beaucoup, pas trop de touristes, sauf après Wakefield. Surtout, on a été au sec toute la journée... À partir du Brûlé jusqu'à chez moi, c'était 317 km à 79,6 km/h en moyenne, 3h59 en mouvement et 1h29 arrêté Le bilan: Top case arraché, aucun dommage aux milliers de dollars d'équipement - Ça se répare facilement avec de meilleures attaches Aile avant qui a perdu de la peinture, alors que la première côte a fait de moi sa bitch -- Plus un problème si je vais la modification d'aile haute. Carénage avant qui a l'air boursoufflé (même débarque dans la côte) -- Ça devrait revenir en position original en jouant avec le bracket qui a tordu un peu Le boulon qui tient le siège a dévissé deux fois -- loctite, loctite, loctite, la prochaine fois La béquille latérale SWMotech qui fait trop de rotation vers l'avant, inclinant la moto bien trop à mes goûts. Il faut que je découvre pourquoi, bien au chaud dans mon garage... Mon équipement: Mon Aerostitch Roadcrafter n'est plus aussi imperméable qu'avant. Googlez Roadcrafter wet crotch et vous saurez ce que je veux dire. 30 minutes que mes parties précieuses sont restées au sec... Pas de problème pour le haut du corps, mais une chance qu'il faisait aussi frais (15 C), sinon le 'Stitch aurait manqué de ventilation. La laine écossaise, ça garde au chaud, même humide. 3 paires de gants: vieux Joe Rocket textiles, avec soi disant membrane, mouillés ben raide après quelques heures. Changé à midi lors d'une entracte de la pluie pour des gants en cuir, qui ont encore déteint. Le lendemain, au sec mais froid, une pair de gant en cuir avec une grosse doublure, je n'ai pas souhaité avoir de poignées chauffantes (ce jour là, parce que la veille, j'aurai payé cher pour en installer sur le bord de la trail...) Bottes Sidi Discovery Rain: grosse surprise, je m'attendais à ce que ça prenne l'eau en sacrament. J'ai terminé la journée les pieds humides, c'est tout. Sur la moto: Sacoche de réservoir Small Expedition de Wolfman a fait son travail, design qui résiste bien aux intempéries sans que ça coûte autant que l'équivalent dans le Giant Loop... Sac à dos Black Diamond Covert 32, avec un paquet de ziplocks à l'intérieur... ainsi qu'une gourde MSR de 2L Dry Bag Seal Line de 5L contenant mes outils. (La réflexion s'en vient!...)
  3. Voici donc le récit d'aventure, en commençant avec la première journée... (Pour le tracé GPX de cette première journée, cliquez ici.) Cela faisait quatre ou cinq semaines qu'on avait fixé la date du 4 et 5 octobre pour ma première aventure en pleine nature, dans des chemins forestiers plus ou moins utilisés de l'est du Pontiac. Ça faisait aussi quatre ou cinq semaines qu'il faisait vraiment beau, un été des indiens qui perdurait, avec presque pas de pluie. Mais les 20 mm de pluie tombés dans la nuit du 3 au 4, ainsi qu'un 20 mm supplémentaire pendant la journée de samedi, ont transformé ce qui aurait pu être une gentille introduction au hors-asphalte en aventure. (D'ailleurs, on dit souvent que l'aventure, c'est l'adversité racontée à loisir...) Le plan était de compléter les premiers 500 km de la Swisha Loop en deux jours, entre Cantley et Rapide-des-Joachims, en couchant à la pourvoirie du Lac Brûlé, tout juste au sud de la réserve faunique de la Vérendry. (Et à 46 km au SE du Joncas...) Ceux qui me connaissent savent que j'en suis à ma première saison en double-usage, que j'apprivoise ma monture, que mes jambes sont courtes et que ma KTM 640 Adventure est haute. Mes compagnons de voyage (ainsi que coach, motivateurs, guides, mentors et Maîtres Jedi...) étaient Ryan, sur une KLR, hybride avec ses fourches Yamaha, ainsi que John, sur une KTM 990 Adventure. Quelques jours avant le départ, Ryan avait passé toute une soirée dans mon garage pour m'aider à changer pignons et chaine sur ma 640. Nous avons également changé les pneus Metzeller Enduro 3 Sahara pour des Continental TKC80. Des pneus à pitons, oui, mais peut-être pas assez agressifs... Samedi matin, après une nuit où il a plu à siaux, rendez-vous à 8h à un Tim Hortons, là où le pont Alonzo-Wright enfourche la Gatineau et où John nous a rejoint avec une heure de retard. Il pleut un peu, parfois un peu plus, il y a de gros nuages noirs partout autour de nous. À Cantley, nous passons par le Mont-Cascades -- le chemin du Mont des Cascades est en mauvaise asphalte, les courbes sinueuses se prennent en 2e vitesse et je roule en pépère parce que je ne sais pas jusqu'à quel point je peux faire confiance aux TKC sur surface humide. La où la 366 coupe la Gatineau, debout sur les repose-pieds, nous avons pris un chemin de gravier en très bon état, traversé la Gatineau au barage Paugan, puis un autre vingtaine de km pour rejoindre Kazabazua, sur la 105. Rajoutant un peu plus d'essence, John me dit "Relaxe, t'es super tendu! Place tout ton poids sur les repose-pieds, laisse la moto bouger et se pencher sous toi..." C'était le premier de nombreux conseils. La 301 à l'ouest de Kazabazua nous a offert une belle surface et des trombes d'eau sur une trentaine de km. À N45 54.779 W76 22.509, on prend le bois, dans un chemin qui se rétrécie progressivement. Au cours des 47 km suivants, j'ai eu droit à ma première côte qui m'a donnée une leçon puis à une surface sablonneuse transformée en boue. C'est cette dernière qui était la plus stressante, j'avais l'impression que la KTM ruait comme un cheval sauvage. Ryan m'a même dit "Si on t'avais placé un morceau de charbon dans le derrière, il serait ressorti un diamant!" Ryan, à l'avant, et John, derrière moi, se parlaient par un système de communication. John faisait en temps réel la description du match à notre leader. "Oup pallaile, JF est dans le mou, ça brasse, sa swingue. Il vient de s'assoir, mais la moto est encore debout. Whoohoo, il vient de s'en tirer..." C'était moins de 50 km de forêt, mais quand nous nous sommes arrêtés au Black Rollway, dans la Forêt de l'Aigle, j'étais brûlé, plus mentalement que physiquement. Le manque d'expérience, en plus du fait que j'étais encore pas mal tendu sur la moto, les conditions moins qu'idéales m'ont fait dire à mes compagnons "Ma concentration est à 10/10..." Il devait y avoir de l'essence disponible au Black Rollway (N46 16.353 W76 17.277) mais pas cette journée là. Avec mon réservoir de 28 L, je ne m'inquiétais pas pour les 160 km à faire pour nous rendre au Lac Brûlé, mais l'autre KTM boit de l'essence comme un robineux boit ce qui se cache dans son sac de papier. Ryan a donc convaincu des quadistes de partager leur essence. J'ai pris le temps de manger un peut, de calmer mes nerfs à vifs. Ryan à gauche, John à droite, entourés de gentils quadistes généreux avec leur essence. Ici, une petite photo pour vous montrer de quoi avait l'air mon Pelican avant le voyage, et ce qu'il contenait. J'ajoute aussi une photo de ce qu'il est devenu au cours de la ride, avec les explications qui suivent... On savait qu'il ne fallait pas niaiser si ont voulait arriver avant la noirceur... Après le Black Rollway, dans la Zec Pontiac, en roulant dans une section plus rocheuse, donc moins boueuse, tout d'un coup, roulant à 40 ou 50 km/h, j'entends un "Paclow!" et mon Pelican (ainsi que la plaque d'aluminium qui le retient au support arrière) s'est retrouvé dans la rhubarbe. Le gars derrière moi, John, s'est arrêté la ramasser. Aucun dommage au matériel photo. On a fini par attacher la valise à photo, accotée sur le rack à valise rigides (que je n'avais pas) avec une sangle à cliquet et quatre bungee biens tendus. Avec le gossage pour rattacher le Pelican, disons que je n'y ai pas touché du reste de la ride. D'un autre côté, même si mon équipement photo avait été plus accessible, je n'aurais pas pris plus de photo, le temps nous pressait... Me voici en train de me demander quelle est la prochaine chose qui va m'arriver: Continuez à lire, vous aller l'apprendre! Soit que j'étais plus calme sur la moto, soit que le boueux était moins glissant, mais il m'a semblé avoir plus de contrôle. L'arrière de la moto n'était pas toujours pointé dans la direction du mouvement, mais j'avais l'impression que le bockage était moins violent... Poids un peu plus en arrière, les genoux décollés du réservoir pour laisser la moto danser, le regard au loin pour ne pas fixer les ornières... J'avais vraiment l'impression de moins me faire brasser... Jusqu'à ce que ma 640 me prouve le contraire, en m'éjectant dans une direction tandis qu'elle allait dans l'autre, à 50 km/h. Court vol plané et atterrissage dans la boue. À ce que j'ai compris, la roue avant s'est retrouvée dans une ornière dont je n'ai pas pu sortir. Le TKC est un bon pneu à tout faire, mais loin d'être spécialiste de la boue. (John avait des Motoz Enduro ST, Ryan un Mitas C-23 neuf à l'avant et un E-9 ou E-10 usé à l'arrière). Des photos de cette cette section boueuse... J'ai pris le clos tout juste à gauche de ma moto, au fond... Rembarque sur la moto une fois remis de mes émotions, et encore un somme de la moto, juste au départ, alors que ma haute KTM s'est retrouvée en déséquilibre et qu'il me manquait de longueur de jambe pour la réchapper. Même chose un peu plus tard quand Ryan, notre navigateur, a presque manqué une jonction et a décidé d'arrêter juste en bas d'une côte où la surface était très molle... Les mollets commençaient à être fatigués, mais les nerfs allaient mieux. Je voyais sur mon GPS un waypoint approcher, avec une tête de mort comme symbole et identifié "Sand Trap" (à N46 28.928 W76 49.546). Aucun problème à passer ces quelques centaines de mètres, car, à ce que John dit, c'est quand le sable est sec qu'il est mesquin. Bon succès pour ma première traversée de trou d'eau. Une cinquantaine de pieds de long, de l'eau jusqu'en haut de l'essieu et des superbes conseils de la part de mes partenaires. Le fond de gravier était solide, Ryan avait vérifié l'absence de roches. Seule ombre au tableau: J'y suis allé un peu rapidement et je me suis retrouvé avec de l'eau dans mes gants -- les manches de mon manteau étaient à l'intérieur des gants, ces derniers faisaient un bel entonnoir... Il faisait de plus en plus noir, et je commençais à rouler de mieux en mieux... Pourquoi? Parce que je ne regardais plus chaque roche devant mon aile avant, j'étais beaucoup plus souple et que je laissais la moto se promener sous moi, la laissant faire son travail. Les côtes étaient prises plus agressivement, avec beaucoup plus de détermination. De plus en plus souvent John derrière moi pouvait voir mon poing gauche soulevé en signe de victoire après une section plus technique. Nous avons terminé par 20 km d'autoroute de gravelle, la 20 dans la Vérendry avant d'arriver vers 20h45 à la pourvoirie., où café, repas chaud et bière froide nous attendaient... Tiré du site de la pourvoirie, une photo mon chalet avec le chauffage au maximum avant que le générateur de groupe ne s'éteigne à 23h... À partir du lieux de rendez-vous jusqu'au Brûlé, c'était 337 km à 47,6 km/h en moyenne, 7h07 en mouvement et 3h58 arrêté. (À venir: mes réflexions personnelles sur mon avenir en hors route...) Le tracé de la Swisha Loop en entier (avec tous les waypoints et passages alternatifs) est disponible gratuitement à partir du site graveltravel.ca. Il suffit de suivre les directives et d'envoyer un courriel à Ted...
  4. Voici comment ce qui était un top case a fait la ride. (Sauf pour les 100 premiers kilomètres hors-bitume...) (Attaché comme ça, bien évidement que je n'ai pas pris de photo. Surtout que les conditions étaient contre nous et que nous avons terminé la journée après avoir roulé 2 heures après la brunante....)
  5. J'ai pas le choix, faut que je les remplace... OK, Rhino, tu peux m'envoyer un gros "J'te l'avais ben dit!". Les attaches ont rempli leur fonction pendant 100 km de vieux chemin forestiers. Tout d"un coup, roulant à 50 km/h j'entends un "Paclow!" et mon Pelican (ainsi que la plaque d'alu) s'est retrouvé dans la rhubarbe. Le gars derrière moi s'est arrêté la ramasser. Aucun dommage au matériel photo. On a finit par attacher la valise à photo, accottée sur le rack à valise rigides (que je n'avais pas) avec une sangle à cliquet et deux bungee biens tendus. Avec le gossage pour rattacher le Pelican, disons que je n'y ai pas touché du reste de la ride. Récit d'aventure à venir, pour ceux qui aiment les mots et qui peuvent se passer de photos...
  6. J'ai tellement de beaux souvenirs du Black Canyon of the Gunnison... Merci pour le flashback.
  7. Beau récit, belle aventure. C'est vrai que, en solo, on a parfois a prendre des détours...
  8. En passant, Canada's Motorcycle est la version en ligne du distributeur Parts Canada...
  9. Trouvez pas que ça fait Batman un peu, comme moto? (Et pas dans le sens du Batman quétaine des années 1960 à la tévé...)
  10. Ça, c'est mon genre d'aller pour se rendre au Rocheuses. "Assis-toi là, tourne ça." Après le 2e réservoir d'essence, tout ce qui peut faire mal dans ton corps fait mal. À partir de ce point là, tout ce qu'il faut, c'est de la patience...
  11. Corbeau

    Pneus Pour F650Gs

    Je suis heureux sur la route avec mes Metzeler Enduro Sahara 3. Je viens de vérifier et ils sont disponibles dans la grandeur requise, mais il ne sont pas donnés...
  12. Je garde l'oeil ouvert, Rhino, (Merci du tuyau!)
  13. Je vais garder les mêmes attaches. Pourquoi la question? En effet, ça va prendre du loctite partout. La partie "on boulonne" était surtout pour savoir si mes trois étaient bien alignés. (La réponse est "oui".) Je vais donc désassembler et refaire les choses comme il se doit. Pas envie de voir 3000 piastres prendre le bord, même protégé par un Pelican!
  14. Sapitch, pas convaincu que Nic650 était sérieux dans son message... (Belle analyse quand même, mais sans doute pas méritée...)
  15. Si vous avez un rack tubulaire et songez à installer une caisse Pelican par dessus, continuez à lire! J'ai donc un 640 Adv, avec rack arrière d'origine. Ça ressemble à ça: Comme tout bon fabricateur, j'ai commencé avec du carton: J'ai cherché à gauche et à droite pour ces attaches en forme de P, Canadian Tire, Home Depot... Finalement, commandé chez NAPA. Y étant allé en Jeep et non en KTM, j'ai acheté les attaches de 5/8", 1/2" et 3/8". Celle de 1/2" étant lousses un peu, c'est finalement les 3/8" que j'ai utilisées. (Remarquez que j'ai fini par les installer dans l'autre sens, avec le côté droit du P contre la plaque de métal...) Éventuellement, ça ressemblera à ceci: Vu d'en haut. Ça va me prendre un plaque de 10"x15". Au Sharpie, j'ai indiqué (approximativement) où iront les trous pour des boulons de 8mm. Ici, la plaque d'aluminium 3/16", achetée chez un marchand de métal où ils coupent sur mesure et on ne paie que ce dont on a besoin. (Mais ça revient plus cher la livre, évidemment. La plaque m'a couté une trentaine de dollars...) Remarquez que mes calculs sont en mm... En côte à côte: à gauche, la marque au crayon, à droite, la marque au poinçon: Ma perceuse à colonne doit bien avoir 40, 45 ans, mais elle perce en tabarn... (En passant, pour faire passer un boulon de 8mm, ça prend un trou de 5/16", pas 19/64". Demandez pas comment je sais ça...) À l'oeil, une marque de crayon, un coup de poinçon et on perce avec une mêche de 19/64" en premier, avec une Makita 1/2". C'est le dessous de la Pelican. Tous les trous sont percés, on commence à installer. Le gugusse bleu, c'est de la loctite en pâte, probablement pas assez... Vu par en haut, on remarque les rondelles, pour distribuer la force un peu. Truc intéressant: à plat, sur une surface plane, le bas de la Pelican accote sur des arêtes. Mais les boulons qui tiennent la plaque au rack sont plus haut que les arêtes, ce qui aurait fait que la valise aurait été accotée sur seulement quatre points. J'ai donc placé deux bandes de joint d'échantéité (OK, du gasket!) en liège, 1/8" d'épais. On voit qu'il y a de l'espace entre la tête de boulon et la valise, si on regarde comme il le faut: Gros plan pour ceux qui ont de la misère: Avec la mousse installée. (Ne vous inquiètez pas pour mes objectifs, il y a au moins 1" de mousse entre la tête des boulons intérieurs et les trous dans la mousse...) Pardonnez la qualité des deux photos suivantes, c'est la faute au iPhone. (Impossible de prendre une photo de son appareil photo avec le même appareil photo...) (C'est mon kit de base de randonnée moto: Canon 7D grippé, 10-22mm, 50mm f/1.8 et 70-200 f/4) Valise fermée, cadenas ouvert. (Me semble qu'il manque un autocollant Ridaventure...) De plus, pour me rendre au boulot, si j'enlève la mousse, j'ai juste assez de place pour mon sac Klim. Il ressemble à ceci, en attendant que je le prenne en photo: (Note à moi-même: n'oublie pas le loctite bleu sur les boulons qui tiennent la valise à la plaque...)
  16. Je sais passi c'est juste moi, mais je trouve ça plus intéressant à regarder qu'une course de motocross...
  17. Trouves pas que tu mets 20 piastres plus souvent?
  18. C'est du Red Bull, assez mental merci...
  19. Corbeau

    Pelican Chinoise

    À ce prix là, ça revient moins cher que juste la mousse (OEM, de remplacement) de Pelican.
  20. Plaignez-vous tant que vous voulez du prix de l'essence, mais moi, quand je brûle du gaz avec le moteur d'une de mes motos, j'ai toujours un gros sourire sur la face...
  21. Pour le moto-camping, si on prévoit des températures autour du point de congélation la nuit -- parce qu'un voyage à moto à -20, c'est pas dans mon genre -- on achète un sac de couchage cotté à quelle température? 0, -10? (En prenant pour acquis que le matelas de sol (Thermarest) soit de bonne qualité et fasse sa job...)
  22. Pas nécessairement, mais ce site peut t'aider, en cherchant par activité: http://www.ontariotrails.on.ca/
  23. Corbeau

    4 Pneus D'hiver...

    ... qui proviennent d'un Ford Escape 2011, avec jantes. Plus de spécifications, photos et prix plus tard aujourd'hui...
  24. Je vais être obligé de visionner ça une deuxième fois à la maison. La première fois, j'étais en salle de classe, donc pas de son... (Mes élèves lisaient pendant ce temps...)
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