Jump to content

jano

Membre
  • Nb publications

    554
  • Date d'adhésion

  • Dernière visite

Toute les publications en date du jano

  1. Jano au Championnat Canadien d’Enduro Samedi et dimanche le 12 et 13 septembre c’était le Championnat Canadien d’Enduro a Labelle, une des quatre manches ou se frottent les meilleurs pilotes d’enduro du pays. Le parcours comportait une section extrême, une section motocross sur terre battu, et une longue section enduro qui demande un niveau très avancé d’habilite. Le parcours est de 45Km et nous devons faire 2 tours à chaque jour dans ma categorie. Je suis inscrit dans la classe Super Vétéran 50+. J’aurai 55 ans la semaine prochaine. J’ai passe la semaine à préparer ma KTM 300 XC-W. Vendredi ma moto était finalement prête. J’ai remplacé les pneus et les ressorts de suspensions et fait tous les ajustements selon les recommandations de Thierry de Stadium suspension. Je partais pour Labelle Vendredi soir et je savais que j’allais avoir tout un défi à rencontrer sur une piste d’un tel niveau et en plus c’est ma première course cette année. Mais j’en avais vu d’autres et mon but premier était de compléter le parcours. Arrivé à Labelle, je suis allé m’inscrire avant d’aller faire inspecter la moto. Je démarre la moto mais soudainement le moteur s’arête et ne démarre plus. L’inspection des motos ferme bientôt et Michel Metcalfe me donne un coup de main pour remplacer la bougie. J’avais laissé le choke un peu trop longtemps. La moto démarre et je passe l’inspection avec succès. J’avais réserve une chambre a l’hôtel Labelle pour deux jours, alors je laisse ma voiture sur le site et me dirige vers l’hôtel, pour apprendre que l’hôtel Labelle ne loue pas de chambre. Merci a Claude Leonard et sa femme pour m’avoir offert l’hospitalité pour la nuit dans leur roulotte. J’étais sur la minute 29 alors mon départ était a 9:29am. Je craignais la section extrême quelque peu, mais le fait qu’elle se trouvait au début du parcours, la fatigue ne serais pas un facteur. Nous étions seulement deux sur notre minute, et mon équipier de Winnipeg roulait devant. Je suivais bien le rythme et passa la section extrême sans difficulté. Puis on se retrouve dans une section motocross en terre battue en pente ou tout se passe bien. Plus tard vint la section enduro. C’était la section la plus longue et la plus pénible. Des sections extrêmement techniques avec toute sortes de passes presque impossibles, mais on avance toujours. Je me prends pour la première fois dans la ligne électrique. Je suis cale jusqu'à l’essieu avec des roches énormes devant la moto. Je sors la roue arrière de la boue en tirant la moto de cote, puis tourne la moto de travers pour finalement m’en sortir non sans effort. Je reprends mon souffle avant de repartir pour grimper et redescendre des murs de rock assez impressionnants. Finalement j’arrive face à une impasse. Une grosse cote abrupte avec des grosse roches lousses ou environs huit motos sont prises un peu partout. J’attends un peu en bas avant de m’élancer, mais ca s’éternise et d’autres coureurs arrivent derrière moi. Je m’élance donc dans la cote et passe environs la moitié des coureurs jusqu'à ce que je me prenne à mon tour. De peine et de misère je monte la moto centimètre par centimètre en me disant que je ne ferai certainement pas le deuxième tour. Arrive en haut j’étais tout simplement vidé. Je reprends mon souffle et retrouve le rythme peu à peu. Puis ce sont des descentes infernales avec des marches de rock de trois ou quatre pieds d’un coup. Soudain un mur de rock de quatre pieds de haut est devant moi. Je cherche où passer, mais il n’y a qu’une solution et c’est de foncer sur le mur en levant la roue avant…et ca passe de justesse. Au bout de deux heures le sentier semble s’élargir, mais reste très rocailleux. Soudain un trou de boue puis une longue montée vertigineuse dans la roche. Je m’élance en deuxième vitesse, mais je lâche les gaz momentanément pour éviter une autre moto prise dans la cote, mais perd la traction et reste pris a mon tour. Un autre moment très pénible dans cette cote qui semblait interminable. Je termine le premier tour très épuisé et ne pense pas repartir pour le deuxième, mais après avoir bu, je rempli le réservoir d’essence et décide de repartir. J’entre dans la section extrême et passe tous les obstacles. Il me reste seulement la grosse cote de sable a pic avant de me rendre a la piste en terre battue. Déjà très fatigue, j’hésite un peu avant la cote et je n’ai pas assez de vitesse pour me rendre en haut. Alors je déboule avec la moto. Je sors finalement du sable et complète la section en terre battue. Puis j’entre dans la section la plus difficile pour la deuxième fois, la spéciale d’enduro. Je craignais les deux cotes très difficiles. J’arrive à la première et je l’attaque a la droite, pour m’apercevoir que la meilleure ligne était a gauche. Je perds contrôle et reste pris dans les roches. Entreprendre ce deuxième tour était une erreur de ma part. J’étais complètement épuisé et je ne voulais que retourner au stationnement. Mais il me restait au moins une heure et demi de sentier difficile, alors je reprenais mon souffle et buvait un peu d’eau avant de repartir. Plus tard, dans les sections de roches difficiles, le moteur perd soudainement la puissance et la moto n’avance plus. Je vérifie la roue arrière pour m’apercevoir qu’une branche de deux pouces de diamètre était coincée entre la roue et pignon, et que la chaine était débarquée. Je couche la moto sur le coté pour dégager la branche et réussi finalement à remettre la chaine en place. J’avais qu’une idée en tête, arriver au prochain check point et prendre le chemin le plus court pour l’arrivée. J’étais vraiment vidé et j’avais de la difficulté à tenir la moto. Puis j’arrive à la dernière cote difficile, la plus longue. Je m’aligne et ouvre les gaz à fond en deuxième. La monté est longue et la moto tien la ligne malgré les roches. Je n’en crois pas mes yeux, je suis finalement en haut et je cris comme un malade. Puis plus tard une mauvaise chute dans le rock et je me tords de douleur. Je reste sur le dos quelque temps en me tenant la jambe droite. Puis je m’assis et me rend compte que je n’ai rien de cassé. Je remonte péniblement sur la moto et me rend finalement au check point. Go… go… go…. Dernière petite boucle facile…lâche pas… J’étais complètement brule et cherche le chemin le plus court et le plus facile pour le retour. Pas question de retourner dans la dernière section enduro. Je reviens donc par la trail de Quad accompagné par notre ami Jackrider agent fédéré de la FMHR. Je suis très content d’avoir rencontré plusieurs personnes de Ridaventure qui étaient présent pour aider à l’organisation. Parmi les gens que je connais il y avait Runwolf, Jackrider et Touring31. Merci pour les encouragements. C’est lundi et j’ai encore un peu de misère à marcher, mais je devrais être prêt pour le GS Challenge. Si je refais le Championnat d’Enduro l’an prochain, c’est que j’aurai une saison de course dans le corps auparavant. Le parcours était vraiment digne d’un championnat de niveau national. Félicitations à Marc Giroux et son équipe pour cette organisation grandiose.
  2. Moi aussi Jano, Dommage que je t'ai manqué après, j'aurais aimé tes commentaire live, je suis presque partie avec mon 640 en sweeper, je suis bien content de pas l'avoir fait J'etais completement vide apres la course. J'ai eu beaucoup de difficulte a completer le circuit avec mon 300. En 640 je m'essayerais meme pas. Je serai encore la. Je vous conte mes aventures dans un prochain post.
  3. Oui c'etait toute une ride. Content de t'avoir renconter a Labelle.
  4. Nous avons dejeuner au Central.
  5. Oui je crois que je vais devoir remplacer la gente avant. Fatigue.....oui mais pas autant qu'en revenant du Championat Canadien d'enduro. Ca c'etait vraiement trop..... Post a venir.
  6. C'est pas une GS, mais disons que ca n'a rien a envier a une Vstrom. C'est une bonne option pour faire de la route et du chemin de gravelle, mais dans la gravelle la conduite debout est de mise.
  7. Le tour du Lac Taureau en 900Km? La ride : Faire le tour du Lac Taureau avec Patrick Trahan, c’est 900Km de sentiers et de gravelle de toutes sortes de SMDS, en passant par Lac Launey, Sanmaur, Relay 22, Lac Martel, Lac Eleine, La Tuque, Riviere Matawin, Lac Taureau pour finalement revenir a SMDS. Nous sommes partis autour de 8:00am samedi le 5 septembre après avoir déjeuné et laisser la brume disparaitre. Direction nord vers le Lac Launey, ou nous avons remplis nos réservoirs d’essence. Après plusieurs coups de starter à la corde, le vieux générateur Honda a finalement démarré pour alimenter la pompe à essence. Le gros réservoir couche sur le sol ne semblais pas en mesure de passer les inspections environnementales. Patrick semblais beaucoup plus confient que moi ayant vécu des situations semblables a plusieurs endroits comme en Afrique. Le litre est très cher, mais dans le bois au milieu de nulle part ca vaut de l’or. Puis nous sommes repartis vers Sanmaur. Ca roule a bonne vitesse et nous devons faire attention aux gros cailloux qui sortent de la route a plusieurs endroits. Parfois avec la poussière, les grosses pierres qui dépassent parfois de huit a dix pouces sont impossible a voir et la moto cogne très dur a haute vitesse. Les deux motos en ont souffert et la gente avant de la 690 est vraiment très endommagée. Après Sanmaur, c’est le Relay 22, ou les services sont un peu plus familiers. Un ancien camp de bucheron transformé en relaie pour motoneige et quad. Puis on fait une boucle d’environ 120Km en passant par le Lac Eleine, pour revenir vers Sanmaur prendre de l’essence pour le retour. Je roulais devant et j’ai pris la mauvaise route en croyant que DakarBoy roulait derrière moi. Avec le soleil dans les yeux, je me dirigeais directement vers le réservoir Goin, et à moins d’un Kilomètre du réservoir je me suis aperçu que je roulais seul. Grave erreur de ma part. DarkarBoy m’attendait à quarante Km derrière et j’étais sur la réserve depuis au moins douze kilomètres. Je roulais lentement vers le retour en essayant d’économiser l’essence et en espérant croiser Dakarboy. Le soleil avait disparu et soudain un phare de moto apparu. DakarBoy était fâché avec raison et j’avais appris ma leçon. Le problème c’est que j’ai roulé 80Km de trop et je n’ai pas assez d’essence pour le prochain relaie. Nous sommes au milieu de nulle part et nous roulons jusqu'à ce que je manque d’essence. On transvide 4 litres l’essence de la Varadero a l’aide d’une bouteille de Gatorade, mais c’est trop serre pour se rendre a Sanmaur. On décide donc de faire 40Km et retourner au Relay 22 pour mettre de l’essence avant de retourner à nouveau. On arrive au Relay 22 à 11 :00pm et il fait très froid. On décide de manger et coucher là-bas. En revenant le lendemain matin on décide de tester la Varadero dans le sable mou. La machine est lourde, mais passe bien le sable avec les Karoo. Plus tard mon tube arrière éclate a haute vitesse. On prend un peu de temps pour le changer. Puis on revient en passant par La Tuque, Rivière Matawin, ensuite direction Lac Taureau par le parc et finalement SMDS vers 8 :00pm. La Varadero : J’ai eu l’occasion de rouler la Varadero à deux reprises, dans les sentiers rocailleux et dans le sable. Merci Patrick. J’ai été très impressionné par le confort et la solidité de la machine. La suspension est tout simplement irréprochable. La Varadero n’a rien à envier à la Vstrom. Elle est très solide en sentiers et la plaque de protection du moteur n’a rien à voir avec celles des BMW et Vstrom. C’est solide et bien adapté pour une machine d’un tel poids. Le bilan des dommages : KTM690 : Mon quatrième miroir a finalement tombé. Le support GPS Garmin a cassé par les chocs de la route. Plusieurs bosses dans les roues, dont une monstrueuse a l’avant. Tube arrière Super Heavy Duty avec valve complètement arrachée. Honda Varadero : Quelques bosses sur les roues. Quelques égratignures sur la plaque protectrice du moteur. Quelle machine solide et stable dans les cailloux. Patrick Trahan (DakarBoy) : Patrick, tu m’a pas mal impressionné avec ta grosse Varadero. J’ai appréciée ta constance et ton endurance et j’ai bien aimé rouler avec toi. Merci de m’avoir fait vire deux journées d’entrainement pour le Dakar. En tous cas tu mérite de finir le Dakar en 2010 et je te le souhaite. Bonne chance.
  8. Je crois que c'est ma tente. J'ai du l'oublier chez toi.
  9. -------------------------------------------------------------------------------- Voici les commentaires d'Olivier: Quelle belle journée et quelle belle expérience que cette rando Jano 2. Un grand merci à Jano (Jean) pour l'avoir organisé. Il y en avait pour tous les goûts et tous les niveaux. Ravitaillement à mi-chemin pour les petites motos et resto sympa pour le dîner. Parfait! Aucun roule balloune de croisé sur 88Km (selon mon GPS)! Aucun blessé mais plusieurs bris mécaniques (crankcase, radiateurs, crevaison, noyades…). Leçon de la journée : APPORTER DES CORDES! J'ai particulièrement aimé mettre un visage sur plusieurs enduristes inscrits sur ce forum. On va certainement rouler ensemble bientôt. Pépère (Dan) à écrit: Citation: Olivierkdx, pour avoir été chercher le truck à Jano et retourner le chercher dans la montagne, j'te lève mon chapeau, t'es un vrai biker.: For the record, je m’enlignais effectivement pour aller chercher Jean avec son camion mais son buddy c’est pointé pour prendre la relève. J’ai toutefois pu l’aider avec le point marqué avec mon GPS et la carte des sentiers Google Earth imprimée la veille (Une autre bonne leçon aprise). Moi je lève mon chapeau à tous ceux qui ont fait les sentiers avec les très grosses cylindrées. J’avais l’impression d’être un tricheur avec ma zézette. Voici quelques photos Groupe 1: OlivierKdx et Segundo (les retrouvailles!) (...la police nous cherchait!) C'est Pesant un Vtwin 750. Humm, qui a dit qu'il fallait laisser les valise à la maison? Notre guide organisateur Il y avait des méhnirs..un peu. ________________ 2008 KTM 250 XCW-e Merci Olivier pour les belles photo et pour avoir aider avec la remorque. On se reprend bientot j'espere.
  10. Je crois que la liste de riders au depart est assez juste, mais je peux me tromper car je n'ai pas pris les presences a cause de deux differents emplacements au depart. 01- Jano BMW HP2 Enduro 02- MAOcteau HP2 Enduro 03- VII DRZ400 04- DRZMIKE DRZ400 05- 06- begood DRZ400 07- Lfuret KLR650 08- Paul 1313 DRZ400 09- klxpier KLX250 10- Luc g HP2 Enduro 11- Andre M DL650 12- Bikeracer KTM530 13- Denis KTM450 14- olivierkdx KTM250 15- segundo KTM530 16- Philippe DRZ400 17- Poveiro DRZ400 18- 19- 20- Oups Aprilia 450 21- Pat The Bouc Honda 750 Africa Twin 22- Chiendesbois 23- Pepere 24- Gros Buck KTM690 25- Jo KDX 220 26- Rolaro G650X 27- Dave DRZ400 28- On a pris autant de photos que t'as pu en prendre Jeudi passe. J'espere en avoir quelques unes de OlivierKDX.
  11. Je suis arrive au resto la Bonne Assiette avec MikeDRZ a 7 :40am et déjà quelques rider étaient arrives. Puis un a un les autres sont apparu. On a fait deux groupes d’une quinzaine vu que personne avec un GPS ne connaissait la piste. Les gros bikes étaient au rendez-vous. Trois HP2 (MAOcteau, Luc et le miens), ainsi que Pat De Bouc avec sont fameux Africa Twin. J’étais en tête du premier groupe et Mike DRZ guidait le deuxième. J’avais bien hâte de voir comment les motos allaient se comporter dans ma ride. On a joint quelques motocross et enduro dans la montagne qui se sont joint a nous, puis on est entré dans la trail. La première section allait bien, a part une crevaison dont le deuxième groupe a hérité la réparation (merci encore Mike), et une moto qui a tourne de bord au tout début vu la difficulté de la trail. Bonne idée qu’il l’a fait a ce point, car ce qu’il l’attendait était de beaucoup pire. La HP2 roulait bien, mais la nouvelle suspension semblait un peu trop molle. C’était bien dans les cailloux, mais ca tapait assez fort dans les bonnes dénivellations. Faut dire qu’on roulait assez vite pour une grosse machine de la sorte. On attendait après chaque difficulté et intersections pour s’assurer que tout le groupe suivait dans la bonne direction et s’entraidait si nécessaire. La chaleur en accablait quelques uns pour ne pas dire tous. Tour a tour, les grosses machines on eu besoin d’aide a quelques reprises. Une chance que je connaissais bien la piste et savait exactement où passer. La grosse BM tenait bien le rythme à l’avant mais l’erreur n’était pas permise. La fameuse monte de roche a été très difficile pour certains. La moto est presqu’en haut, mais le gars est retourne en bas complètement…la moto part plus..y fait chaud…Finalement tout le monde y est et on repart. ‘Y en a tu ben long encore comme ca?’ Il me semble que cette question est familière…oui, c’est la même question que dans la Ride a Jano 1… Puis on arrive au finalement au restaurant. Les gars de motocross sont assez impressionné de voir rouler les gros bike dans des trails pareilles. On s’installe et on boit…puis on mange… Puis arrive le deuxième groupe. VII a des problèmes d’idle. Oups a brise sont moteur sur une roche et l’huile pisse. Ca va mal. Plusieurs gars (une bonne dizaine) décident de retourner par la route. Je repars avec la gang de motocross et enduro. Pas sitôt dans la trail, une chute et un radiateur défoncé. Un autre qui fait demi tour et prendra la route. Ca roule tres bien mais ma suspension frappe fort dans les dépressions. Je dois donc ralentir un peu, mais sur le plat j’en profite un peu. Les gars du groupe sont heureux du rythme et ca va tres bien. Puis on arrive a la fameuse cote maganée du Vietnam. Je m’élance en premier, mais la fameuse grosse roche me fait perdre l’équilibre. La HP2 est finalement sur le cote pour la première fois. Je recule la moto et prend une autre ligne pour me rendre en haut. Le rythme est bon et on se rend a Kilmar. On met de l’essence et on repart. Je décide de prendre une autre trail pour faire différent. Erreur!!! On traverse facilement le lac a Touche, puis un peu plus loin on arrive dans les sections d’eau. Je traverse les deux premières sections en passant sur le fameux tuyau de ciment. J’entends un léger cognement de ma skid plate mais tout va bien jusqu'à ce que je m’aperçoive qu’une nappe d’huile me suivait dans l’eau. Ma plus grande peur avec le HP2….fendre le block moteur…ca y est…s’est ce qui venait d’arriver… En même temps, deux autres motos on pris l’eau. La ride était devenu pas mal moins le fun. J’ai du pousser la moto avec l’aide de Secundo sur environ deux kilomètres jusqu’au chemin Scotch. Attendre dans le bois jusqu'à huit heures pour que Mike vienne me chercher avec la remorque. Je suis quand même tres content de la ride et remercie tous les participants ainsi que Mike pour s’être sacrifié encore une fois avec le deuxième groupe de rapides. J’espère revoir tout le monde encore l’an prochain pour la Ride a Jano 3 (pas en HP2 cette fois).
  12. C'est un grand secret. Elle sera poste dans les prochains jours.
  13. Haaaa que de souvenir, on repart quand ??? Quand t'es pret.
  14. Superbe de ride Merci Runwolf pour avoir organiser et si bien orchestrer cette ride. Sachant qu'une des etape avait plus de 200Km, j'ai decider de laisser la 690 a la maison et de preparer la HP2. J'ai donc passer une bonne partie de la nuit a preparer la moto, reservoir 23l, couverts carbone, barres de protections, roues 18/21, Akropovick, etc... Vers 2 heurres du matin, j'avais presque terminer pour m'apercevoir que le systeme d'echappement Akropovick ne s'installait pas avec les barres de protections sans modifier le support pour les barres. J'ai alors reinstaller le systeme d'origine pour la ride. J'avais fini et c'etait grand temps d'aller me coucher, mais avec toutes ces modifications je me devais d'aller essayer la moto. J'ai allors essayer de reculer la moto hors du garage pour m'appercevoir que les rayons de la roue arriere bloquaient sur le block de frein. Fatigue et decourage, je ne pensais plus faire la ride. Apres un petit repis, j'ai alors limer a la main le block frein pendant pres d'une heure, pour ensuite remonter la roue. La moto roulait bien et tout semblait fonctionner. J'ai loader la moto dans la remorque et fait un petit somme de quelques heures. A 7:00am j'etait le premier rendu chez Runwolf. J'ai pris quelques photos du bike avant de partir. Puis tout le monde est arrive un a un. On a loader les baggages dans le beau camion couleur HP2 a MAOcteau. On s'est rendu a St-Come par la route pavee sans probleme, ou on a rencontrer Gros Buck et aller chercher une tente chez klxpierre. Apres avoir dejeuner, on a pris la trail vers SMDS. A part quelques montees rocailleuses, j'etait un peu decu de voir que la trail plus difficile que je connaissait etait devenue une autoroute pour quatre roues. Ca n'as pas empecher la perte de baggages par trois fois qui nous a pas mal retarder. Diner/souper a SMDS puis on repart pour 200+Km vers St-Jovite. Beaucoup de poussiere et des trails tres rapides. C'etait bien pour le HP2 mais l'incertitude de se rendre avant la noirceur etait presente parmis le groupe. Le Kilometrage semblait interminable j'usqu'a ce qu'on arrive dans des sentiers un peu plus rocailleux et serrees. Puis face a une marre d'eau assez impressionnante, du genre ou on pense a virer de bord avant de traverser. Runwolf traverse le premier bien au centre at a de la difficulte. La moto blanle beaucoup dans l'eau, puis s'immobilise soudainememnt et se met a spinner sur place tout en chnageant de direction. Il y avait d'enormes roches sous l'eau. Je m'essaye en deuxieme un peu plus a gauche. Les gros cailloux me font perdre l'equilibre et je m'efforce de coucher la moto du cote gauche pour eviter l'eau d'entrer dans le moteur. Premiere egratigure sur le protecteur en carbone. Gros Buck passe completement a gauche sur le bord et aucune roche sous l'eau. Les autres suivent et la traverse se passe bien. Le sentier se retreci avec de plus en plus de trous d'eau, roches et calvettes. Je m'habitue a la machine et la HP2 se porte bien, mais ca brasse pas mal et le rider commence a etre un peu fatigue. Puis la trail s'elargie et ca roule rapidement avant d'arriver a une autoroute de gravier lousse ou on peut facilement rouler a 160+ dans les droit et les courbes se prennent en 5 ieme, et ce sur 40 Km. MAOcteau et Gros Buck partent a l'avant, on attent que la poussiere retombe puis je part a mon tour. Un feeling auquel je ne suis pas habitue, tres different des enduro et endurocross auquel je suis habitue. La moto danse de cote a grande vitesse et je ne me sens pas tres a l'aise. Je me rend contre que je roule seul et je ne suis pas certain jusqu'ou aller, alors j'attend les autres derriere. On est presque arrive et on prend une petite trail sympatique pour finalement arriver au chalet de Runwolf. Pour la premiere fois la ride a Runwolf a ete complete et tout le mode est fatigue mais content. Genevieve nous attendait avec nos baggages. La suite plus tard......
  15. Jano, est-ce qu'elles étaient vraiment à high ou ct'une joke? Marc-André, moi j'étais pas trop fatigué avec ma DRZ... j'étais bien content de ne pas avoir ma GS! C'est pas une joke, j'avais les deux mains brulantes avant que je m'en appercoive. On a du accrocher le bouton en voulant sortir la moto de la bouette avant que je roule avec. Je l'ai ferme mais ca chauffe longtemps pis je ne pouvais pas m'arreter dans le rough de peur de rester pris.
  16. Y a toujours de la place pour toi oups dans ma ride. J'espere qu'on va se voir.
  17. La seule chose d'Éclopés dans cette ride était la trail elle-même . Beaucoup de trou de bouette et des cotes de roche très techniques. Il fallait que je ralentisse et j'aille tranquillement sinon j'aurais arraché la skid plate et une partie du moteur en descendant. Je n'ai pas eu de misère le matin, tout allait bien, je me tenait en arrière avec Alain et Frank en roulant lentement. Ça me donnait amplement le temps de choisir une bonne ligne et je me suis pris seulement une fois dans un sillon de bouette. Je m'en serrai peut-être sorti si une racine n'avait décidé de shifter à ma place et me mettre au neutre pendant j'essayais de sortir du trou. Pour la première fois, je dois vraiment m'avouer vaincu . Je n'ai pas pu terminé la ride sur ma GS. L'épuissement et la chaleur ont eu raison de moi . En après midi vers 17h, je n'arrivais plus à me concentrer et je me dirigeais inévitablement dans les pires lignes et je me prenais. Un gros merci à Jano et surtout à VII pour s'être sacrifié dans le trou de bouette en me poussant . J'ai des photos que je vais poster ce soir. Quand j'ai enlevé mon casque en panique parce que j'étoufais et le mal de coeur me montait aux lèvres, Jano m'a gracieusement offert de finir les 5 à 10 km restant avec ma GS. J'ai pris un bon break pour cooler off (je n'étais pas vraiment déhydrater car j'ai bu au moins 5 litres d'eau pendant le journée mais il faisait vraiment chaud surtout en forcant et on n'allait pas assez vite pour se refroidir. Même le matin quand on arrêtait, je cherchais les spots à l'ombre). Je suis donc reparti sur le 690 à Jano. Je n'avais pas plus de concentration mais c'est tellement maniable et léger que ça pardonne toutes erreurs. En fait, je cherchais les pédales tellement j'avais l'impression d'être sur vélo de montagne Je trouve le 690 trop petit pour moi, je roulais assis parce que debout j'étais complètement perdu. J'ai vraiment hate de rouler avec mon HP2 Moi aussi je trouvait qu'il faisait pas mal chaud sur ta grosse BM. Tes poignes chauffantes etaient a high. J'ai aussi hate de rouler en HP2 dans les trails.
  18. Mouais, Je n'ai aucune rancune ... Mais par simple précaution, j'ai quand même pris le temps d'aiguiser mes deux couteaux de chasses Browning de 9" pour la fin de semaine qui s'en vient ... J'ai aussi installé le scope Leupold sur le 690 ... Des fois qui me passerais de quoi d'intéressant dans la mire ... Une idée comme ça ... J'insiste: sans rancune aucune ... Taquinerie formelle et délicate ... Paul Jr oO 8 Alors GB on se voit en fin de semaine. Moi je ne tire jamais sur ce qui bouge. Seulement quand ca bouge pu.
  19. Wow wow wow !!! Ne partons pas de rumeurs !!! Falco a décidé de viré de bord. Pas moi ... Mais dans le fond il avait un tantinet raison puisque nous nous sommes couché à la maison vers les minuits pour se relever le lendemain vers les 05:00 pour la ride du Saguenay ... Pis en plus nous avons été mal informé car nous avions tout les deux compris que vous refaisiez la trail au complet ... Faut quand même pas oublier que pour Samedi et Dimanche, en plus de deux jours de rides enduro, ça nous faisait 900 km d'auto et une veillée de lavage de linge ... M'enfin. Soit pas inquiet. Il va y avoir une revange ... Paul Jr oO 8 Ca veut tu dire que tu viens a ma ride le 16 aout? J'aime bien taquiner les taquins, mais je sais de quoi tu est capable.
  20. Ben non ... Juste une gang de gars avec un certain âge et une perception un peu déteriorée. Paul Jr oO 8 Gros Buck, ca ressemblait presque a la ou tu a decider de virer de bord dans ma ride.
  21. Mechante ride des eclopes. En tous cas les vraies eclopes en ont arracher un peu et certains en on eu leur voyage. Faut dire que ca a commence un peu raide avec une trail assez maganee dans la roche avec gros trous de bouette ou les BM y ont laisser quelques morceaux. Le voyage d'aller etait long et penible car ont passait plus de temps a attendre qu'a rouler. Malgre quelques chutes dans la bouette, Louise nous a assez impressionner en roulant plutot vers l'avant du groupe. En tous cas les attentes etaient bien justifiees par les difficultes parfois surprenantes, mais chaque fois le tracteur BMW de MAOcteau apparaissait et on entendait un commentaire de VII qui n'en revenait juste pas. "Comment as-t'il fait pour passer la?". Merci a Pierre et Louise de nous avoir aceuilli a leur chalet pour nous permettre de salir leur belles chaises de parterre et de manger des hambergers aux ognions. Ca nous a permis a tous de nous connaitre un peu plus. Une vraie belle gang. Sur neuf rider au depart, on etait seulement trois pour le retour dont le gros tracteur BMW. VII roulait a l'avant a un bon rythme et c'etait un peu plus sportif comme disait MAOcteau. Les attentes etait beaucoup moins longues. Les descentes un peu techniques se sont transformees en montees difficiles pour la grosse BM, mais a chaque fois on entendait le ronronnement puis le phare avant apparaissait. Apres quelques chutes et avoir pris une mauvaise ligne et cale le tracteur jusqu'au siege ou VII a fait de la plonge sous marine dans un lac de bouette en essayant d'aider MAOcteau de sortir son enclume, MA etait completement epuisee. J'ai alors eu la chance d'apprecier l'effort qu'il a du y mettre en sortant la BM avec un shifter en forme de cure dent de la derniere section rocailleuse et bouetteuse. VII semblait satisfait de voir qu'il etait humain un peu comme nous autres. Mais quelle effort ca prend de rouler cette grosse machine dans des trails aussi difficilles. Si j'en ai la chance, en tous cas moi je fais equipe avec MA pour le GS Challenge. Je suis bien content d'avoir finalement rencontrer Stou. Sa clavicule semblait en meilleur forme que sa batterie. Merci VII pour l'organisation, J'ai bien aime cette ride et je suis pret a y retourner n'importe quand, surtout si il pleut. PS: Apres maintes analyses, j'ai finalement decouvert comment je brise mon flasher arriere droit. Je l'acroche avec ma jambe chaque fois que je debarque du bike. Je pense me faire pose un deuxieme muffler du cote droit pour regler le probleme.
  22. jano

    RallyRaid Ontario

    DRZMIKE pis moi sont revenus a Montreal hier soir. Le reste de la gang avec photos et videos reviennent aujourd'hui. Y avait vraiment rien a gagner. C'etait plutot une ride, mais j'ai eu ben du fun a rouler avec Mike et Pat a l'avant dans les sections techniques.
  23. Les Quebecois remportent le RallyRaid Ontario haut la main. Malgre un peu trop de route a mon gout, le RallyRaid Ontario a ete pas mal le fun. Les quelques sections de trail et les traverses d'eau ont mis un peu de piquant au bon moment. A part quelques sorties de pistes dans des courbes tres serrees, et une GS qui a avale de l'eau, tout c'est bien passe et la biere etait bonne apres la ride. Je suis tres content d'avoir connu d'autres gars du quebec qui savent bien rouler avec des grosses machines. Avec son nouveau pneus AC10, l'arriere de DRZMIKE etait une douche de rocaille. Tellement que la lumiere de Pat Le Bouc s'est casser et la roche est restee a l'interieur. Merci a Mike de Kingston de nous avoir bien guide et de nous avoir lacher lousse dans les sections plus techniques.
  24. Y a pas l'aire chaussé en TKC non plue Mieux que TKC, des MCE Karoo 2 En fait, je roule un Karoo (pas le KAROO T pour Traveler mais le KAROO agressif) à l'arrière et un TKC à l'avant. C'est un compromis comme ça pour la semaine je change seulement ma roue arrière monté avec un tourance. J'optimise la traction sur la route et en hors route mais je compromets sur le controle de la roue avant autant sur la route qu'en trail Ce scénario s'est un peu imposé quand j'ai commandé un Karoo et j'ai oublié e mentionné le T donc j'ai eu le vrai Karoo. Quelle belle erreur de commande que je ne regrette aucunement depuis C'est des MCE Karoo 2. J'en ai trois flambant neuf pour mon HP2. C'est des pneus plus agressifs pour le hors route.
  25. Y a pas l'aire chaussé en TKC non plue Mieux que TKC, des MCE Karoo 2
×
×
  • Create New...

Information importante

En utilisant ce site, vous acceptez nos Conditions d'utilisation.