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nightflyer

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    De cet album: Maroc 2012

  18. J'ai vu sur le ride report des anglais qui ont changés leur pneus en Espagne que tu as dû arriver un peu après notre départ... ça aurait été le fun de te croiser là bas! en tout cas, t'es ben chanceux d'y retourner...
  19. Merci de le lire... ça me fait plaisir de le raconter, le rêve c'est assez précieux, je suis chanceux de pouvoir en distiller un peu. On c'est décidé tellement vite à le faire ce voyage, que nous autres aussi on a eu notre part de rêve avant de partir. On sentait bien dans les contacts mail et skype que nous étions tous dans un monde parallèle en attendant le départ, l'esprit déjà sur les pistes...
  20. ça me dit de quoi mais je pourrais pas le jurer... Pat???? tu te souviens??? Toujours est-il que bien souvent on c'est retrouvé incapables de trouver des waypoints pas très visibles ou mal indiqués et simplement perdus la piste pour ne jamais pouvoir la retrouver. La pays ne s'y prête pas c'est certain vu les espaces vierges, mais même dans les 4X4 ils n'ont pas non plus réussi à s'en sortir mieux que nous. Par contre le deuxième jour, j'ai proposé à Didier de faire une «route» avec les coordonnées fournies dans le road book pour son GPS, bien que cela aurait pas été évident, je crois que de mettre des points sur le GPS tous les 4 ou 5 waypoints nous auraient gardés plus proche de notre route. On va voir plus tard qu'on à méchamment jardiner certains jours. Mais Didier m'a répondu qu'on aurait pu les avoir avec les road book. Je lui ai demandé pourquoi il n'avait pas aussi commander les points GPS, réponse à laquelle j'ai rien pu répliquer : «ben sinon, elle serait où l'aventure?». Un argument comme celui là, il faut s'y plier je crois.
  21. Comme le dit Pat, on les a perdus souvent, vu les itinéraires empruntés on avait peu de réseau pour se texter. J'en parlerais, mais aussi bizarrement on la a retrouvés souvent par le plus grand des hasards. Notre organisation a vite tournée à l'aventure et l'improvisation totale... ce qui au final n'est pas forcément plus mal
  22. Comment bien stationner une moto rouge en une leçon :
  23. Les 4 continents étaient donc réunis et aujourd’hui on allait attaquer les pistes. Mais après le réveil habituel un peu lent c’était un début de journée maintenance mécanique. La moto rouge avait besoin d’un changement d’huile, Pat avait plusieurs bébelles à faire sur sa Red Bouc aussi, le tout encadré par Jo notre chef mécano. Pendant ce temps Didier roulait son road book. Effectivement, pour ce voyage, il avait décidé d’acheter un road book tout prèt. Il avait utilisé cette même marque en Espagne avec beaucoup de satisfaction et celui-ci passait par des points qu’ils voulaient refaire et nous faire découvrir en empruntant des pistes différentes. À 10H00 exactement on mettait en route pour se diriger vers le village de Taourirt pour un plein d’essence et de diesel et on partait en arrière de Didier… dans la mauvaise direction. Ça commençait bien, mais ça allait être le rythme de notre voyage. Didier a un peu tendance à partir à fond vers la première route ou piste qu’il voit et après réaliser qu’il n’est pas du tout sur la bonne trace. C’est son style et comme il est le seul à avoir un road book, on n’a pas le choix et c’est parfaitement correct avec moi (la plupart du temps, on y reviendra!). Il avait aussi un GPS, mais sans cartographie, il rentrait dedans le point d’étape du soir. Radu avec aussi un GPS avec une carto rudimentaire qui allait s’avérer bien utile car il montrait, outre quelques routes principales, le relief général et la frontière algérienne, dont on allait s’approcher plus d’une fois. Bref, Christophe nous remet sur le droit chemin (chaque 4X4 ayant un road book et un copilote pour le lire, c’est quand même plus facile pour naviguer!) et après quelque kilomètres à traverser cette ville vraiment étrange, composée de maisons en briques rouges dont aucune ne semble finie et où personne ne semble habiter, on voit le paysage changer drastiquement. Cela se vallonne la verdure rare se bat sur le fond pierreux et les couleurs jusqu’ici ternes prennent de teintes beaucoup plus riches. Puis soudain, sans préavis on entame cette côte, toute en lacets serrés qui s’élève vers on ne sait où. De toute beauté, mais le plus frappant c’est l’odeur. Nous traversons une forêt de pins et l’odeur de la sève en est presque enivrante. Nous débouchons à près de 1000 mètres d’altitude. il y a une moto sur cette photo: Après quelque kilomètres de montée, nouveau changement sans transition. Nous sommes sur le plateau du Rekham. La végétation y est rase, le décor encore vallonnée va en s’aplatissant rapidement et la pierraille, coupante, abondante, omniprésente sera le spectateur silencieux des jours qui suivront. Enfin, nous attaquons la piste, on est venu pour ça après tout, non? Après quelques kilomètres nous décidons de scinder le convoi. Nous, à motos sommes plus rapides que les camions et nous fixons un point de rendez-vous pour le lunch page 12 du road book, un fort posé sur une colline qui devrait être facile à trouver. Le problème c’est que suivre une piste est un art difficile par ici! Il y n’y a pas qu’une piste, il y en a des dizaines, des centaines. Cela me rappelle la steppe Kazakhe, où même mon guide qui était bien familier du terrain s’y perdait un peu parfois. Didier mène la danse, Pat en second, puis moi et en arrière la moto rouge. Et avec quel plaisir. Le rythme est plutôt rapide, je m’amuse à coller en arrière de Pat qui part en drift de tous côtés, parfaitement en contrôle, mais je me calme un peu après avoir mangé ma dose de roches projetées par sa roue arrière. Très vite il est évident que Radu est à fond pour nous suivre et ne tient pas le rythme. Didier est un pilote hors pair avec ses 25 ans de motocross puis d’enduro (c’est moins dur sur ses vieux os ), Pat est le pilote d’exception que tout le monde connait et respecte, moi je suis le vrai poireaux sans grande compétence mais j’ai suffisamment roulé hors route pour pouvoir les suivre quand ils ne vont pas trop vite. Pour Radu c’est sa première expérience hors route, mis à part les pistes d’Amérique du Sud, mais il était chargé de bagages et allait moins vite que le rythme que nous lui imposons aujourd’hui, même si sa moto rouge fait maintenant 685 cc au lieu de 650. Le temps de l’attendre est pour Didier l’occasion de faire le point sur notre position, qui de plus en plus est trop à l’ouest il semble. à la tortue moitié blanche tu tourne à gauche... Nous profitons aussi d’un des arrêts pour donner un «crash course» à Radu sur les techniques pour rouler en hors route et j’avoue que notre ami, qui est plus habitué à rouler sur route avec sa Triumph Sprint apprend très vite. En une matinée ses progrès sont énormes et vraiment impressionnant. Respect total pour sa performance, je crois que Pat sera d’accord avec moi! Bref on fonce dans le désert et en début d’après-midi, on s’avoue qu’on est bien perdu et bien trop à l’ouest. Le relief semble plus élevé sur notre gauche et rappelle certains points de repères du road book. Donc, au diable les pistes, on coupe tout droit à 90 degrés de notre trace actuelle. Au moment où nous spottons le fort et sa colline juste devant nous, au détour d’une petite hauteur débouchent nos camions eux aussi un peu trop à l’ouest (mais moins que nous), ils nous suivent donc jusqu’au point de pique-nique pour la plus grande joie de Pat dont l’estomac avait déjà oublié les toasts de ce matin. Les repas du midi allaient être un peu monotones. Avant le départ de France, nos coéquipiers avaient fait le plein de conserves pour des repas froids. Avec un choix de Sardines, maquereaux et pâté Hénaff. Pat et moi n’aimant pas les sardines ni le maquereau allaient fausser la donne. Personnellement je mangerais du pâté Hénaff à tous les repas sans problèmes, Pat allait se lasser assez vite et du coup les autres devaient se contenter de manger des sardines tous les midis, ce qui allait les lasser aussi. Je crois que c’est plus gros problème que nous ayons eu du voyage!
  24. nightflyer

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  25. nightflyer

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