En 2011, pour nos réservations (4 adultes et 2 motos) du bateau, nous les avions faites en février et on nous avait mis sur une liste d'attente. Nous avons reçu notre confirmation quelques mois plus tard.
Pour les gens un peu claustro, dans les cabines les moins chères , il fait noir en titi les lumières éteintes et dans le bunk du haut le plafond est très proche . Par contre on s'habitue au bruit des machines.
Dans notre voyage (vers le sud), après l'escale nocturne à la Romaine, les gens des cabines "de luxe" n'ont pas apprécié les petits nouveaux embarqués qui couraient partout et s'amusaient à cogner aux portes de leur cabine et puis se sauver.
La TLH à moto, en plus de l'aventure (potentiel de panne-accident loin de nos références habituelles) et du plaisir de piloter une moto, c'est aussi l'occasion de rencontrer et de jaser avec des "géants ordinaires" c'est à dire les gens qui y vivent à l'année.
L'idée de faire la partie bateau en début est idéale: on a le temps de relaxer et jaser après la croisière. N'est ce pas le but des vacances: débrancher l'agenda ou la carte de temps! Et comme la section la plus difficle de la TLH tombe alors en début ...le reste du voyage ne peut que mieux aller ensuite...ce qui est idéal si la fatigue (conditions météo ardues) s'installe.
Merci Steve, belle plume et beaux déclics.