Ça, c'est la faute du no-fault... Pas toujours bon disons car, des fois, faudrait trouver et ne sanctionner que le vrai coupable. T'es pas coupable, t'as rien à payer mais t'es coupable, tu payes...mais c'est pas notre système de no-fault actuel. Les formations devraient être plus sérieuses et plus élaborées et l'accès à la moto devrait se faire progressivement, selon la grosseur de cylindrée, comme en Australie par exemple. ...Un fou demeure un fou... Ici, on peut grosso-modo distinguer deux classes de motocyclistes: Les conscients, qui suivent la plupart du temps les règles, établissent pour eux mêmes une stratégie de sécurité et de formation continue en conduite, et les inconscients, qui roulent en fou ou en gougounes et se foutent des règles quand ça leur chante. C'est ce que je dis, plus de bonnes formations pour tous. Conscientiser ça ne serait bien sûr pas envoyer aux travaux forcés. C'est éduquer, sensibiliser, former, encourager, faire la promotion, etc. Mieux que ça: Les cours de perfectionnement obligatoires pour maintenir son droit de rouler à moto. Dans le temps qu'on payait 320, c'était déjà plus de 50% plus cher que pour une automobile. C'est le dossier de l'utilisateur qui devrait primer sans que celà n'enlève toute part reliée au type de moto. Ne serait-il pas logique qu'un jeune de 20 ans qui fait ses premières armes sur une R1 contribue un peu plus qu'un vieux de 65 ans roulant tranquillement une HD FLH? La dé-responsabilisation appartient à une gestion de société de type plutôt socialiste. Lorsque nos dirigeants et organismes décrètent la façon utilisateur-payeur de défrayer pour un service, celà soulève des critiques. Il faudrait que nous sachions ce que nous voulons vraiment. Est-ce que nous souhaitons que tous payent pour minimiser les coûts de chacun ou bien si nous voulons payer le gros prix lorsque notre tour sera venu?